Dégénérescence pélasgique d’une dépréciation éthérée de vicissitudes macchabées. Abrogation hyperbolique et rocambolesque, ignominie cadavérique et exécrable. Euphorie exaspérante d’une telle contingence. Ataraxie nimbée d’une luminescence de lymphatisme apathique. Perception velléitaire d’un panorama dantesque et délétère. Néant chaotique régentant cette place mortuaire au silence et à la vue cauchemardesque. Excavation frivole et palpable, engendrant l’oscillation subversive de cils drastiques. L’empyrée pléthorique et draconien discernait parcelle cataclysmique, la resplendissant d’une lueur miroitante. Dans cet enfer pandémoniaque réside un Démiurge éthérique, paraffiné d’une intransigeance irréfragable. D’élagage exacerbé et d’envergure éléphantesque, le Révolutionnaire subsiste inerte et impassible, cerné par l’abîme séraphique errant en cet endroit funeste. La verdure désagrégé en de la terre déprédatrice et effrayante, amalgamait désastre et terreur autour du Rebelle. Dans ce Tartare méphistophélique, Heartless se submerge d’une excitation furtive, ses pas tintamarresques étant les seuls grésillements de l’île. Le macabre silence de cette île en dévoilait moins sur ce qui y contenait qu’on ne pouvait se douter. Charismatique île, de nature décontenançant, d’où l’attrait qu’elle procure à ceux qui s’y arrêtent. Des rugissements, qui semblaient relevés du mythique, de plus en plus thaumaturgiques, dépréciaient cruellement l’ouïe du Révolutionnaire, patientant le moment propice. C’est toujours un plaisir pour Heartless de mettre les pieds sur cette île.



Angélophanie béotienne, dévoilant une bête antinaturelle, sublimant les trentaines de mètres. Fixant continuellement le Révolutionnaire, le Fauve magistral se délectait d’un potentiel festin. De ses crocs providentiels, le fauve déclara sa voracité monstrueuse. Mais une ombre ombrageuse et gigantesque dissimula les deux protagonistes. Dans les airs, un Oiseau de physionomie insondable exposait son omniprésence, et là-aussi, une quelconque voracité extraordinaire. Naquit sur le faciès séraphique de l’abscons un sourire mirifique, divulguant son allèchement à la situation. « Shunsui ». Suite à cette parole aux connotations majestueuses, l’écorce corporelle du Révolutionnaire se désagrégea abruptement dans l’air. Ce n’était qu’en fait qu’un déplacement instantané, auquel le possesseur, c’est-à-dire Heartless, peut réguler entre une promptitude simple que les yeux peuvent suivre, jusqu’à la vitesse de la Lumière, comme maintenant. Heartless peut, grâce à ce déplacement, se mouvoir à n’importe quel endroit de la planète à tout instant. Son utilité subsiste indubitable. Le pied incrusté sur le museau du Fauve, Tendô réitéra le Shunsui vers l’empyrée éthéré, en direction du volatile. S’agrippant aux ailes du volatile, Heartless avec sa main droite, propulsa l’air avec une grande promptitude, ce qui fît chuter l’oiseau ainsi que le Révolutionnaire vers le sol. Conscient que cette chute causerait énormément de dégâts, Heartless exécuta un dernier Shunsui quelques secondes avant la chute, témoin du fracas pléthorique causé par l’écroulement de l’Oiseau gigantesque. Quelques fines gouttelettes de sang ruisselaient le long du visage du Révolutionnaire. Lors de « l’explosion », une pierre proéminente avait égratigné durement son sourcil. Mais ceci n’arrêtait pas Heartless, qui maintenant, se confrontait à deux Monstres colossaux.



La fumée se dissipant promptement, le Trio infernal se fixait, chacun prêt à bondir à n’importe quelle seconde. Heartless, lui, n’avait pas la patience. Ses deux bras, chacun orienté vers un monstre, se levaient. En une fraction de seconde, le Révolutionnaire propulsa de l’air comprimé à vitesse fulgurante vers les deux monstres. L’effet recherché fut celui occasionné. Deux explosions aux dégâts éléphantesques apparurent. Dans d’énormes chocs mortels, la pression de l’air à grande vitesse projeta les monstres dans un vacarme incommensurable. Les arbres complètement annihilés, deux chemins étaient donc tracés, chacun menant à la bête que l’on désirait affronter. Heartless s’orienta vers le chemin de gauche, en direction de l’oiseau, qu’il veut s’occuper en premier. A moitié du chemin, Tendô percevait les cris aigus de l’oiseau enragé, qui dans une vitesse phénoménale, apparut en face du Révolutionnaire. L’attaque de Heartless a bel et bien porté ses fruits : du sang ruisselait sur les ailes et sur certaines parties du corps du volatile, mais il n’en avait pas pour autant perdu sa force et sa vitalité. Ses ailes catapultant vigoureusement l’air ambiant, Tendô n’avait autre choix que d’exécuter le Shunsui afin de s’écarter pour ne pas être aveugler par l’excès d’air que lui avait envoyé le volatile. Mais ce que le Révolutionnaire n’avait pas perçu, c’était l’arrivée rapide et surpuissante du fauve. Le choc des deux êtres fut plus douloureux pour Heartless que pour le fauve. Bombardé à quelques mètres plus loin, Tendô semblait s’être surestimé et les deux animaux eux aussi pouvaient agir avec intelligence. Cependant, ce simple coup n’avait même pas égratigné le Révolutionnaire, qui, à partir de maintenant ne plus faire les mêmes erreurs et rester vigilant.



Le Fauve, aussi impatient que le Révolutionnaire, fonça droit sur l’Humain. Heartless, en comprimant l’air par ses mains sur le sol, projeta l’air avec une telle pression, que Tendô dévala avec une promptitude fulgurante qui l’éloigna très loin des deux animaux. Une fois revenu sur la terre ferme et prêt à reprendre la confrontation, Tendô envoie une forte pression d’air sur les deux jambes de devant du Fauve, ce qui le fit chuter aussitôt. Alors, ne perdant aucune fraction de seconde, Heartless se téléporte instantanément devant la bête pour ensuite se propulser dans les airs où il se prépare à exécuter un arcane des plus grandiloquents. Sa main gauche cernant sa main droite, Heartless concentre en mouvant cette main gauche à la vitesse de la lumière, ce qui permet au Révolutionnaire de bénéficier dans sa main droite, d’une pression d’air si prométhéen que les dégradations opérées sont théologiques. Sa main droite de Pression orientée vers le fauve avec les jambes levées vers le haut du ciel ; Heartless se propulse à la vitesse de la Lumière, ce qui va désormais agrémenter chaque seconde la puissance de l’attaque, vers la bête. Comme affirmé, le choc fut inouïe, dans une crépitation abracadabrante. Une fois tout dissipé, on pouvait clairement percevoir la victoire glorieuse de Tendô. Le fauve gisait sur le sol, ensanglanté, mais pas mort, car Heartless ne tuait pas les bètes même s’il s’en « servait » pour ses entraînements quotidiens. Mais l’entraînement n’était pas terminé, l’oiseau subsistait toujours en forme et plus combattif que jamais. Cependant, pour Heartless, tout s'arrêtait là pour aujourd'hui. Grâce à son fruit des Pattes, le Révolutionnaire quitta immédiatement l'île...