Kaizoku No Sora.

Reprenons tout depuis le début...

Nom : Lightning.

Prénom : Sora

Surnom : Shadow.
Age : 22 couronnes.
[âge]

Sexe :
♂

Lieu de Naissance : Grand Line.
Camp : CP9

Race : Humaine.

Métier : Espion/Combattant.
Fruit Du démon / Arme d'exception : Hoo Hoo No Mi.

But / rêve : Entrer de la légende.

Equipage : /

Descriptions

Descriptions Physique

Minimum 7 lignes

Deux magnifique pupilles d’une jolie couleur havane accompagnées de leur iris violet à la forme ovale tel la pupille d’un chat fixant sa proie et prêt à bondir sur cette dernière dont il s’approche à pas de bête féroce, deux sourcils finement dessiné s’accordant parfaitement à sa délicate frimousse de jeune adulte de 22 ans ; ainsi pourrions-nous décrire son regard perçant et captivant, un bel éphèbe adroitement bâti aux formes lisses et attrayantes. Jouvenceau au faciès pointu à la fine mâchoire avec un nez peu prononcé, mais vaguement pointu, nez aquilin en quelque sorte. Embelli par un petit menton à en faire envier toutes les femmes et à la dentition parfaite d’une brillance aveuglante lorsqu’il sourit en coin de bonheur. Deux oreilles aux ravissantes rondeurs malgré leurs bouts pointus, telles celles des félidés à l’ouïe avisée et s’informant avec attention de leur entourage, peu considérables et pâles. Ses pommettes saillantes associées à ses joues creuses aux traits subtils lui donne un visage d’ange aussi dû à la pâleur de sa mâchoire malgré son teint assez hâlé de vif pirate. Ce ton de peau passablement bronzé qui sied agréablement avec ses cheveux volumineux, à s’étaler jusqu’à sa nuque, et ébouriffés aux reflets d’or grâce à la lumière du jour. Pour ce qui est de sa nuque, il possède un mince cou d’Abyssin plutôt court légèrement plus foncé que sa peau relié à des épaules mi-tombantes, mi-carrées qui, malgré son air relativement menu, lui donne une certaine carrure, guère conséquente, mais impose un inéluctable respect à son égard. Tout ces beaux et doux attraits appartiennent à une seule et même personne : Sora Lightning, un jeune homme plutôt bien taillé pour son âge qui n’est que de 16 ans. Un bel adolescent au sourire d’ange, à la vue de lynx et à l’épiderme d’une nuance basané. Quant au reste de son corps ?
Avec sa chemise noire et assez lâche, on pourrait croire que Sora est frêle et qu’il ne doit même pas avoir le moindre gramme de muscle dans ses bras ni dans ses jambes non plus vu que son pantalon est noir aussi et que ses jambes paraissent démesurément grandes et sveltes, pourtant lorsque ce jeune homme se découvre, on discerne des bras et des jambes à l’aspect grêle mais loin d’être dépourvus de masse musculaire, un torse royalement tracé aux contours arachnéen et concis. Une sangle abdominale d’excellence pour encaisser sans difficulté les chocs, des biceps athlétiques pouvant envoyer de puissants coups de poings à faire valser quiconque le provoque quelques mètres plus loin. Un tronc puissant et robuste malgré son air faiblard qui lui confère l’expérience d’un combattant aguerri et amplifie la déférence à son sujet, accentuée encore plus avec sa taille assez élevée qui doit sûrement dépasser le mètre 80 et peut-être avoisiner le mètre 90 ou 95. Toute cette splendeur cachée ne font qu’appuyer sur le mystère de ce garçon chétif, à l’air angélique et aux galbes soulignées et délicates.
Par-dessus toutes ses courbes séduisantes de Sora, celui-ci porte, comme dit plus haut, une assez lâche chemise noire amincissant sa carrure déjà étroite de jeune gaillard adjointe à un pantalon assez serré, qui appuie encore sur la taille de ses larges gambettes, s’échouant sur ses pompes ébènes, elles aussi, scrupuleusement cirées. On pourrait dire que son style vestimentaire est plutôt simple et ne se résume qu’à du noir, des chemises longues et larges avec des pantalons cintré, mais il lui arrive de mettre des T-shirts au col largement ouvert ou bien des chemises colorées du même type accompagnés de pantalons un peu plus décontracté, mais toujours noirs avec ses sempiternelles pompes obscures pourtant brillantes à la clarté de l’astre lumineux.
De plus, son aspect ne renforce que davantage l’atmosphère incompréhensible qui semble planer autour Sora, la relax. Surnom qui lui vient surtout pour son air et ses vêtements décontractés, son habitude à fumer et sa main dans sa poche

Descriptions Mentale

Minimum 7 lignes

Au sujet de son caractère, Sora vit sa vie au jour le jour et de façon plus décontractée, n’oscillant pas une seconde à plaisanter et à amuser la galerie pour mettre la bonne ambiance dans son entourage qu’il soit proche ou non. Il apprécie les soirées arrosées et fumer quelque soit l’heure, le temps ou encore l’endroit. D’ailleurs, il se promène toujours avec un briquet et un paquet de cigarettes a portée de main. On pourrait le définir de boute-en-train de service. En outre, c’est un dragueur né qui ne peut s’empêcher d’être attiré et de sauter sur les belles femmes qu’il croise sur son chemin afin de les flatter et d’obtenir des rendez-vous avec elles. Justement, les femmes constituent l’un de ces principaux points faibles, puisqu’il ne pourra jamais frapper une belle dame quelque soit son caractère ou ses agissements. Il a aussi la fâcheuse tendance de tout prendre à légère, comme si de rien n’était ou bien de faire semblant de ne pas comprendre, malgré le fait qu’il ait exactement compris la situation, de plus il n’hésite pas à se laisser frapper ou dominer quand il juge que réagir est inutile lorsqu’il est le seul concerné.Cette passivité naturelle forme un autre de ces points faibles et sous-entend à croire qu’il est facilement manipulable. A ce qu’il laisse apparaître en surface, il semble être un ami fidèle, gentil, attentionné et à l’écoute de son entourage, mais tout ceci n’est qu’en réalité qu’un masque pour garder dans le secret sa réelle personnalité.
En vérité, on découvre un homme calculateur voire cruel, d’une vive et constante réflexion, froid et ne souciant que de sa propre personne, égoïste et ne songeant pas le moins du monde aux personnes l’entourant, qui, elles, ne l’intéressent même pas. Il ne tergiverse pas à sacrifier des alliés encore étranger selon lui pour sauver sa propre peau ou des causes qu’il respecte ou qu’il veut accomplir. Il n’est pas du genre patient et préfère, la plupart du temps, effectuer le travail tout seul lorsqu’il estime que les individus qu’il a désigné pour exécuter sa besogne tardent trop. Pour lui, il est le seul qui compte et ne se voit pas vraiment insérer d’autres quidams à sa vie. Pourtant, il lui arrive de s’attacher peu à peu aux personnes qui lui sont proches comme son équipage à force de passer un certain temps avec eux et d’apprécier leur compagnie.
Un être malin et prometteur pour son jeune âge, paraissant gentil et crédule au premier abord, mais en réalité, doté d’une intelligence rare et impressionnante et au caractère glacial, malgré qu’il puisse se révéler être doux, câlin et agréable à vivre tel un ours en peluche auprès de ses amis les plus proches.

Biographie

Minimum 30 lignes

I – Rencontre Troublante...

Mon histoire ? Ma vie ? Tout ce qui s’est passé ses 16 dernières années, vous souhaitez le savoir ? Ce ramassis de souvenirs au sens bien défini qui m’est propre, et bien... Je vais vous la conter... C’était il y a 19 ans, ma mère était une Marine renommée, enfin plus précisément, l’une des 6 Sous Amiraux. La Marine détenait une vraie perle et il ne comptait pas la laisser virevolter à travers les mers sans la surveiller de près et d’inventer de sombres desseins à son égard... Ils voulaient créer le soldat parfait, le meilleur Marine qu’il n’est jamais eu, celui qui battrait quiconque en moins d’une fraction de seconde... Un soldat parfait basé sur un élixir que devrait boire ma mère afin qu’il ne lui reste plus qu’un seul sentiment : celui du sacrifice, car au vu de ses capacités, on ne pouvait pas rêver mieux... Pas le sacrifice dans le sens où l’on sauve n’importe qui, une sorte de dévouement entier à la marine quelque soit la mission et qui pousserait à l’effectuer avec corps et âme quitte à en mourir. Il n’y avait aucun sentiment dans cet abominable projet ... Cependant, l’élixir était encore en formation et ce n’était pas encore prévu dans l’immédiat. Quant au reste, sa popularité dépassait les frontières et presque toutes les villes la connaissaient, pas en mal bien sûr, mais en bien. Elle savait remarquablement bien se battre à l’épée comme à mains nues. Elle était belle, autoritaire, joyeuse, forte, déterminée et n’abandonnait jamais... Je ne l’ai jamais vraiment connu, car je n’ai pas passé que quelques années de mon enfance à ses côtés et les mémoires qui me restaient demeuraient moindres. Je disais donc qu’elle n’abandonnait jamais, et voyez-vous, tout ce que je relate, ici même, se trouve n’être que qualités, il ne faut pas oublier ses défauts comme son individualisme, non pas qu’elle possédait un certain égoïsme, mais plutôt qu’elle préférait être indépendante et seule, malgré qu’elle pouvait compter sur ses hommes toujours au garde à vous et prêt à agir dans n’importe quelle situation. Elle détenait aussi la mauvaise habitude d’être un peu arrogante et négligeait la possibilité qu’on la batte un jour...

Et bien, c’est ce qui arriva... Par un homme, un pirate... Ma mère voguait sur les mers de Grand Line à la recherche d’un pirate de renom suite à une mission à laquelle elle avait été affectée... Mon père faisait la même chose, mais lui et son équipage naviguait à la poursuite du One Piece... Et comme je le conte, ils se sont croisés sur une petite île du plus grand océan du monde, mon père, afin de se ravitailler et ma mère, pour obtenir des informations au sujet du bandit qu’elle suivait. Ma mère, toute encapuchonnée, laissant une ou deux mèches dépasser de sa longue cape d’ébène, son visage de porcelaine et sa pulpeuse bouche de vermeil s’adressait au barman en toute discrétion tandis que mon père arriva, le pas lourd et disgracieux en riant sans retenu devant toute une assemblée de personnes normales ou assez louches... Il fallut qu’ensuite, il s’approche de ma mère et du barman, qu’il mette une main sur celle-ci et qu’il lui propose un verre ne sachant même pas à qui il s’adressait réellement et qu’elle se décide à accepter son offre pour qu’un interminable combat âpre ne commence... Combat qui finira par la première défaite de ma mère au cours d’une lutte intense et passionné. Cet échec fut une révélation pour ma mère, elle avait devant ses yeux ébahis l’homme de sa vie, un farouche pirate de Grand Line et elle, une importante officière renommée de la Marine, pourtant, elle passa outre ses barrières totalement disjointe et lui demanda de l’emmener avec elle, la faisant quitter tout ce qu’elle connaissait jusqu’à maintenant.

Toutefois, elle ne regrettait pas, elle connaissait les plans de sa marine à son sujet et ne souhaitait pas du tout finir sa vie en tant que cobaye pour l’une des expérimentations de la Marine. Une histoire heureuse me direz-vous, tout se finit merveilleusement bien pour eux, un conte de fée dont je suis le réjouissant résultat qui vécut avec bonheur pendant quelques mois aux côtés de ses parents. Néanmoins, seulement quelques mois...

II – Esclavage...

En vérité, la Marine n’avait pas oublié ma mère, au contraire, elle avait mis force et brutalité à nous retrouver tous les trois en utilisant toutes sortes de bassesses les plus infâmes les unes que les autres jusqu’à ce qu’ils nous capturent à cause d’une simple erreur de calcul de la part de mes parents. Ils furent attrapés et traînés devant les Hauts Gradés pour être jugé et leur sentence fut la mort... Une mort en public en tant qu’exemple pour tout ceux qui ne respectaient pas l’ordre... Fusillés jusqu’à la moelle, juste sous mes yeux, pour me détruire... Pour me faire abandonner tout espoir... Pour être réduit à l’esclavage afin de produire une sorte d’élixir à base de minerais qu’il fallait extraire, soi-disant pour montrer qu’il avait de la pitié envers les enfants même si ses parents avaient été tués devant ses yeux pour l’annihiler. Cependant, cet élixir n’était pas banal, je dirais même qu’il était plutôt spécial, car nous étions apparemment le seul campement d’esclaves à extraire ce type de roche et j’avais ouïe que cet élixir, après être transformé en liquide suite à des pratiques peu conventionnelles en laboratoire, pouvait être bu et conférait un étrange, mais utile pouvoir à quiconque le buvait. Et j’allais aider à son extraction, c’était une sorte de punition qu’on m’infligeait pour les fautes de mes parents. Leurs erreurs qui me retombaient sur le dos... Ainsi, quelques jours après l’exécution, je fus intégré aux esclaves de cette ville pour effectuer de lourdes tâches jour et nuit, sans relâche...

Nous étions fouettés, battus, insultés, mis sous pression, coupés du monde et mal nourris. Il fallait extraire toute la journée, piochés, faire des tâches accablantes.... On nous menaçait de tuer nos amis sans aucun scrupule et lorsque cela arrivait, ils nous faisaient culpabiliser jusqu’à ce qu’à aliénation ... On n’avait pas le droit de parler... On ne pouvait plus dormir... Il faisait froid... Pour le peu de repos que l’on nous offrait, les rats nous mordaient les oreilles, les insectes nous piquaient, nous portions des guenilles... Nous étions des animaux... voire pire... Nos droits humains nous étaient retirés... Nous étions des bêtes forcées au travail... Ceux qui tombaient de fatigue étaient fouettés jusqu’à ce que mort s’en suive ou quand, nos bourreaux étaient cléments, on les emmenait à l’infirmerie pour se faire soigner...Enfin se faire soigner... Le mot était faible, c’était toujours une rude torture... Il fallait payer pour avoir droit aux soins et souvent, on coupait une partie du corps lorsque c’était un homme ou l’on violait les femmes ou les fillettes... Un régime de souffrance, de torture, de déchéance... Nous étions entassés les uns sur les autres dans nos prisons à se lamenter pour une délivrance illusionnelle... La rudesse et la longueur des journées m’assujettissaient, je n’en pouvais plus... Pourtant, je croyais encore à la vie, j’espérais encore pouvoir m’enfuir et recouvrir ma chère liberté d’antan... Alors j’enfreignais les règles quitte à risquer ma vie, je volais à la sauvette quelques bouts de nourriture en plus durant le temps de la courte pause repas, enchaînant moult cascades, pirouettes ainsi que course effrénées à travers le bâtiment sans jamais réussir à me faire attraper, partageant mon butin avec mes compagnons et gagnant , de jour en jour, un peu plus de vigueur, d’acuité de même que de détermination pour croire à mon affranchissement. J’y crus corps et âme jusqu’à une semaine qui me marqua... L’un des gardes était venu me voir pour me dire que ma peine avait été levée et que dans quelques jours, j’aurais le droit de quitter cet Enfer... Alors, ma force me revint... J’étais revigoré et heureux et je m’empressais de le dire à mes compagnons qui demandèrent leur droit eux aussi, néanmoins, il se trouvait que cette heureuse nouvelle n’était qu’un leurre, commis pour supprimer toute raison et asservir entièrement notre esprit... Je m’étais accroché à ces paroles dur comme fer, j’y avais cru des jours et des jours et on m’annonça quelques temps après que ce n’était que plaisanterie... Une plaisanterie qui finit de m’achever. Je ne voulais pas y croire... Mon innocence me forçait à penser que ce jour arriverait, même si je me rendais parfaitement compte de la situation... J’avais été berné et pourtant je croyais que ce n’était qu’un cauchemar, que ce jour viendrait, alors j’attendais... J’attendais plus que les autres... Je tapais contre mes barreaux en criant qu’on allait me sortir d’ici sous le regard ravagé de mes compagnons de cellules... Je pleurais de toute mon âme... Un enfant démuni... Un papillon en cage... Longtemps, j’espérais que cette cage allait s’ouvrir, mais des semaines après, je dus me prouver à moi-même que ce n’était qu’un moyen de souffrance de plus... Moyen qui me brisa... J’étais vidé de toute force mentale et physique... Mon regard était vide... La vie me semblait horrible et je haïssais au plus haut point la société...

Un soleil ardent qui a longtemps refusé d'apparaître, nous étions tous ternis par le désespoir, comment trouver un minime sens à ma vie, comment déclencher mon génie à cet instant précis, trouver la plus svelte des rationalités à ma vie devant ce halo de chaleur, mes yeux s'éteignent tel le lotus luttant encore pendant quelques frêles secondes au fond de cette boue graisseuse et en soumission face la lumière, et mon cœur qui s'abrège de lui même devant de longues poussées ? Mon cœur ? Je me rappelais que beaucoup des esclaves à mes côtés souffraient de graves maladies et étaient nécessiteux de greffes... La marine, ne voulant pas demander à la population leurs organes, préféraient utiliser les organes en bon état d’esclaves morts et les greffer sur les souffrants afin de les remettre au travail... Voilà la solution, puis je sortis une carte poussiéreuse, dans cette carte l'on pouvait faire don d'un organe, si je ne peux poursuivre moi-même, quelqu'un d'autre se battra avec les sentiments, et mon âme qui retentira en lui, je ferme les yeux, et me voilà devant le spectre ultime d'Hadès seigneur des flammes noires, mais qu'importe ? J'avais trouvé un sens à ma vie, je l'acceptais alors sourire à pleine gorge. Tous mes compagnons firent de même et me remercièrent, car j’avais trouvé un sens à leur vie, même dans cet ultimatum de nécromancie. Malgré tout, nous survécûmes et nos liens se ressérèrent, tandis que je recouvrais un peu de joie de vivre à leur côté... Ils m’étaient précieux... 4 amis esclaves, comme moi, à mes côtés... Azusa, Aika, Chigiru et Isamu, 2 filles et 2 garçons qui formaient une sorte de bander réconfortante à mes côtés et qui me vivifièrent...

III – Démence...

Il y eut aussi ce jour où je décidais de me rebeller, je ne voulais pas finir ma vie en tant qu’esclave, je voulais fuir cet endroit, fuir cette ville, fuir cette île... M’en aller sur les mers et devenir la personne la plus puissante de la Terre. Alors j’organisais la révolte... Et elle se fit, tuant un maigre nombre de Marines, mais beaucoup de mes alliés et la Marine savait exactement qui était l’investigateur de cette rébellion, alors on m’emmena dans une cellule plus spéciale que les autres... Une cellule où l’on était constamment attaché et torturé, où il était interdit de dormir, de boire ou encore de manger... Ma sentence avait été prononcée par l’Amiral en Chef, j’étais condamné à cette atrocité jusqu’à ce que mort s’en suive... Mais je résistais, j’étais résolu à ne pas me laisser abattre par la souffrance... A résister quoi qu’il me fasse et il avait essayé de nombreux moyens physiques et psychiques et malgré tout, rien ne marchait, du moins, à ce que je laissais paraître, car plus le temps passait, plus je sentais que j’arrivais à la limite et je n’allais pas tarder à devenir fou si je n’avais pas le moindre répit. Ils essayèrent même l’élixir destiné à ma mère, de me le faire boire comme expérimentation. Ils s’attendaient à ce qu’après tant de torture, je sois devenu un petit toutou obéissant et que je servirais de chair à canon dans leur combat. Sauf que le résultat de l’expérience fut contraire à leurs attentes, il n’y avait pas la moindre once d’envie de se sacrifier, mais tellement de haine qui émanait de mon esprit qu’il m’était de plus en plus ardu de la contenir... Je devenais dément... Je ne souhaitais plus qu’une seule chose et c’était de tuer... Tuer tout ce qui m’entourait tant que j’étais dans cet état... J’hurlais ma haine et tirait sur mes chaînes, il n’y avait que colère et animosité qui se dégageaient de mon regard... Je forçais sur mes chaînes tellement qu’elles se brisèrent après de multiples et puissantes tentatives... Ensuite, je pris le premier élément qui me tombait sur la main et qui consistait en un simple bout de verre pour me déchaîner sur les gardes de ma cellule... Ils n’étaient que deux et les tuer étaient faciles, d’autant plus qu’ils étaient surpris que j’ai pu détruire ces chaînes, mais croyaient aussi qu’ils pourraient me maîtriser en un clin d’œil puisque j’étais un enfant, excepté que je m’étais jeté comme une bête assoiffée de sang et que je les avais éventré sans hésité. Ils n’eurent pas le temps de crier pour alerter la sécurité avant que leur misérable vie ne s’achève en un rien de temps. Ensanglanté, épuisé et bouleversé à la fois, je m’accordais un moment de répit pour me reposer.

Néanmoins, je me relevais... Mitsu Kuro... Il restait une personne que je n’avais pas tuée et c’était mon bourreau... Celui qui m’avait amené ici... Je m’approchais de son bureau, en toute discrétion toutefois chancelant, le regard démoniaque, un large sourire carnassier et le bout de verre d’où coulissait le sang de mes victimes... Puis, quand j’arrivais à l’endroit où il se terrait hors de vue de nous autres, esclaves, il était pétrifié et terrifié... Terrifié que ma haine est été si grande et si dévastatrice... Alors, je lui tranchais la gorge d’un coup vif et puissant tandis qu’il rejoignait les autres dans l’autre monde... J’étais devenu une sorte d’ange des ténèbres assoiffé de sang lorsqu’il laissa aller sa monstrueuse véhémence.
Ange qui était las... qui avait besoin de repos et qui se laissa tomber au sol pour dormir jusqu’à côté de son cadavre inanimé.

IV – Liberté et Identité...

Après avoir commis cet assassinat sans nom, je m’étais enfui pour être enfin libre et partir de ce bagne... Je ne savais pas vraiment où aller, ni qu’est ce que je devais faire dans mon futur. D’autant que j’avais quitté tous mes amis et mes compagnons jusqu’au dernier sans hésiter le moindre instant... Un moment, leur absence me fit culpabiliser, mais cette pression partit bien vite quand je me convaincs que cette fuite était l’œuvre de ma démence engendré par la folie sadique de la Marine et que je n’avais donc rien à me reprocher... Pourtant, je me rappelais de leur chaleur, des rires, des plaisirs partagés avec eux... Ces quatre-là me manquaient déjà... Puis je me rappelais que le plus vieux d’entre eux m’avait parlé de Fruit du démon et de Logia... Les Logias étant apparemment plus forts que les fruits du démon, mais je n’en avais guère à faire et l’un d’eux avait justement attiré mon attention, le Hoo Hoo no mie, fruit des ombres. Je trouvais que sa puissance était telle qu’il serait un atout pour moi si j’avais la chance de le posséder... Je m’étais alors mis en quête pour récolter des informations et trouver ce précieux fruit...

A bord d’une simple barque, je naviguais d’île en île pour demander à de nombreuses personnes des indications sur comment trouver ce fruit ou encore des précisions sur ce fruit... Mes recherches furent longues... Très longues... J’avais dû y passer plusieurs années, cependant j’avais erré tout ce temps sans résultat... Pourtant je me refusais de lâcher l’affaire, car c’était l’une de mes seules raisons de vivre... Je m’y accrochais encore... Cette fois-ci, j’étais persuadé que j’avais le pouvoir de le maîtriser et de l’obtenir... C’était ma voie, j’y étais destiné, de plus, je sentais que ce fruit était une partie de moi... Je me remémorais souvent les passages de l’hécatombe dans mes rêves obscures et quelque chose me disait que mon dévolu devait être jeté sur ce fruit, qu’il était fait pour moi... Déraison ou Intuition ? Je n’en savais rien... J’allais là où et je faisais ce que je le désirais, car moi, seul comptait... Au fond, les autres n’étaient pas si utiles que ça... A part pour leur léguer de futiles tâches par-ci, par-là, je n’avais rien à faire de leur existence...

Néanmoins, je me résolus à trouver un équipage pour m’aider dans mon périple et ce fut au cours de nombreux voyages et aventures qu’il se composa, de diverses personnes aux personnalités variés et aux qualités salutaires... Ils m’avaient juré allégeance et je réussis à trouver un bateau suite à des discussions avec de multiples contacts à travers le monde. J’étais sur la bonne voie pour conquérir ce trésor inespéré et devenir le Seigneur des Pirates, parce que je voulais dominer le monde... Parce que j’avais besoin de puissance... Parce que je devais choisir le bien et le mal... Parce que j’étais destiné à le devenir.

V – Un ami assez utile...

Alors que moi et mon équipage nous étions arrêtés afin de prendre quelques repos et que je décidais de visiter l’île avec une étrange passivité, je fis une rencontre qui bouleversa totalement le cours de mes fructueuses recherches. Je demandais innocemment mon chemin à un vieillard qui passait par-là, sauf qu’au lieu de me répondre, il se mit à engager la conversation sur mes raisons de venue sur ses terres... Avec nonchalance, je rétorquais que j’étais le capitaine d’un groupe de pirates et que je cherchais le fruit du démon des ombres... Étonné, ce pauvre vieux monsieur me raconta qu’il n’y a pas si longtemps de cela, un autre équipage avait accosté ici et ivres morts, ils avaient chanté à tue-tête, dans son bar, qu’ils posséderaient ce fruit et qu’ils deviendraient les maîtres du monde... Ses paroles réveillèrent ma vivacité et je m’enquis sur l’anonyme équipage qui détenait ce fruit que j’avais tant cherché... Apparemment, l’homme qui cherchait ce fruit s’appelait Hachi... J’avais aussi appris que l’île sur laquelle ils faisaient une halte était soi-disant maudite, cependant, ce n’était pas le ragot de quelques personnes qui allaient m’arrêter. Je réveillais tout mon équipage et les obligeaient à repartir vers cette mystérieuse île... Je sentais que l’accomplissement de mon désir était proche. Je chercherais ce fruit avec lui, puis je le lui volerais, ensuite je l’avalerais devant lui pour ensuite l’achever et devenir le nouveau maître des ombres...

En quelques jours, nous fûmes dans l’archipel où se trouvait la terre maudite, comme le vieux nous l’avait décrite, on voyait un volcan fumant en plein milieu. J’exigeais qu’on accélère la cadence et que l’on se tienne prêt au combat. Mon équipage était au garde à vous et nous atteignions déjà la terre sombre et dépéris... Je posais un pied à terre et j’entendis un craquement sous mes pieds, un crâne de mort et ce n’était pas le seul, pas étonnant que cette île soit déclarée maudite... Enfin, je continuais tout de même d’avancer, une lueur assoiffée dans les yeux... Ma tension atteignait son paroxysme et mes muscles étaient crispés au maximum. J’avais du mal à retenir l’excitation qui me tenaillait et devait faire preuve de concentration pour ne pas perdre mon sang-froid. Pourtant, cette île était étrange... Pourquoi y avait-t-il autant de morts ? De plus, aussi récent... Ça ne pouvait pas dater de la Grande Guerre, car elle était déjà passée depuis bien longtemps. Néanmoins, je me décidais de ne pas tenir compte de l’aspect et imposait à mes hommes de fouiller ces terres de fond en comble pendant que je patientais tranquillement sur le bateau pour de nouvelles informations. Et elles ne se firent pas prier... A peine quelques heures plus tard, un homme au bord de la mort porté par un autre qui me criait qu’il l’avait découvert. Aussitôt, je les rappelais tous et nous foncions vers sa précieuse découverte. Et celle-ci ne fut rien d’autre que l’emplacement où se reposait l’homme dont on m’avait parlé ainsi que son équipage d’un effectif réduit. Je descendis à ses côtés et décida de devenir ami avec ce dernier. Il semblait foncièrement épuisé, alors je lui offris le repas avec les ressources que nous possédions. Pour ne pas paraître traître, le lendemain, je lui parlai de ce fruit et lui proposai de partir en quête du fruit ensemble, ce qu’il accepta aimablement. Je me doutais que ce fruit était sur cette île - île maudite, en vérité, parce qu’il se disait aussi que les morts accablés par la haine et la souffrance se réveillaient à chaque fois qu’un étranger osait y pénétrer et qu’ils le tuaient par d’atroces moyens - alors j’envoyais des troupes à sa recherche, une fois de plus, pendant que j’atermoyais avec les autres pirates pour qu’ils ne bougent pas d’ici jusqu’à ce que mes hommes reviennent avec l’emplacement du fruit.

Quand ce fut fait, je lui suggérais de venir avec moi, tout seul, à voir de l’état de ses hommes qui était médiocre, pour qu’il puisse prendre ce fruit, cependant, ce bougre n’était pas fou et il prit tout de même une épée afin de se défendre en cas de trahison, mais cela ne m’arrêtait pas, je savais me défendre en faveur de ma jeunesse mouvementée. Le fruit se trouvait sur le plus au point de l’île et le plus inaccessible, mes hommes ne l’avaient pas vraiment vu, mais après avoir fouillé de fond en comble cette île et ne pouvant pas aller voir dans cet endroit, ils avaient déterminé que c’était la place où il se terrait. Ainsi s’en suivit une longue et dangereuse ascension de cette montagne, nous n’étions plus vraiment « ensemble », mais plus chacun pour soi et c’était le premier qui arriverait qui l’aurait. Malgré tous les efforts que je fournissais, je n’arrivais pas à le dépasser et nous arrivions là-haut en même temps. Néanmoins, j’avais plus d’un tour dans mon sac et j’usais de nombreuses ruses durant ce court périple afin de le perdre ou de le faire déroger de ses ambitions, mais il était coriace et croyait dur comme fer qu’il pourrait me ravir ce fruit. Nous n’en étions pas venus aux mains, mais cela n’allait plus vraiment tarder... Je bouillonnais tellement d’impatience que j’avais vraiment envie d’en finir avec lui sur-le-champ. Toutefois, nous arrivions au but et lorsque nous vîmes le fruit, il n’y eut plus aucune retenue... Je me mis à le pousser pur courir jusqu’à ce cher fruit.

Alors commença un violent et sanglant combat, alors que je dévisageais l’homme qui voulait le fruit que j’avais cherché avant de lui sauter au cou et de feinter un coup de poing qui se révélait être un coup de pieds puis d’effectuer des enchaînements à mains armés... Le combat dura longtemps... Et plus il durait, plus je m’énervais et plus j’avais la rage de vaincre, toutefois, lorsque le dernier rayon du soleil se coucha, une vive lueur éblouît ces yeux, une lueur rouge qui transperça l’iris de ces yeux et l’illumina, le faisant vivement reculer, et ce fut ce moment que je choisis pour lui asséner le coup fatal dans le cœur et le laisser agoniser lentement alors que je récupérais le fruit, fier de mon œuvre, avant de l’avaler pour capturer son ombre et augmenter ma puissance... J’étais heureux de l’avoir tué, heureux de posséder le fruit, heureux. Heureux de la fin de mon histoire... Tout finissait bien, pour moi du moins...

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Invité

Bon, et bien après la lecture j'avoue être un peu déçu. Non pas que je m'attendais a un grand roman qui aurait pu être un best seller, mais plutôt a la banalité de l'histoire. Il faut le dire, elle n'a rien d'original et il n'y a pas vraiment de grand contre-coup énorme qui nous redonne l'envie de lire. J'ai eu l'impression de lire quelque chose qui avait toujours le même ton: joie, malheur, joie, malheur....

Il est vrai que l'on retrouve souvent des histoire avec le même type de scénario, mais y'a quelque petite chose en plus qui mon encore plus déçu. La première, qui est petite, mais qui a son importance, est la mise en page. Toute ta pres, est terne , triste. Des couleurs pour différencié le moment ou l'on parle est toujours le bienvenue.

Ensuite, je te demande, qu'est-ce que vient faire Monkey D. Luffy dans ton histoire??? Pourquoi a plusieurs moment, tu me parle de toi comme un pirate, ou en prononçant des phrases tel que "Pas n'importe quel pirate, il voulait devenir, le roi." en parlant de toi?....j'ai pourtant lu, révolutionnaire en haut dans ta carte d'identité.

Il y a aussi le fait que dans ta description tu me parle de ton personnage comme d'un homme se laissant aller a l'extreme, mais dans l'histoire, on a pas du tout affaire a ce type de personnage , mais plutôt a une bête humaine.

Je pense donc a t'accorder le niveau 8, mais pour ton fruit il va falloir en trouver un autre, car je ne pourrai pas te donner un zoan légendaire.

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J'avoue que j'avais la flemme de faire un truc énorme ^^. Mais t'en fait pas ce week je te sors l'histoire du siècle Wink

. Le niveau 8 est quand même buzay... Comparé à d'autres présentation accordé au niveau 11 et n'en valant pas moins que moi.

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Le truc c'est que ton histoire n'était pas accordé au contexte du forum.
Passe lire le background et les règles si c'est pas fait.

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Invité

Je suis près a revoir ta pres entière si tu fait l'effort de la retaper.

Et dans mon explication je n'ai pas parlé QUE, du fait que tu n'ai pas changé ton histoire, vis a vis du contexte. C'est peut être ce qui ta fait perdre plus de point, mais il n'y a pas que ça.

Donc c'est comme tu veut. Soit tu en reste la et tu aura le lvl 8 et il faudra voir pour un autre fruit. Soit tu change et si tu fait cette effort je serais prés a t'accorder le phoenix à partir du lvl 12 voir 11.

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Bon je pense et espère avoir bouclé la présentation.

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Invité

Alors, nous re-voila. Tout d'abord tu a refait un personnage ce qui est on ne peut mieux, ensuite, tu est celui qui me servira de test pour le bareme des présentation que l'on est en train de refaire. Il en faut bien un, mais pas d'inquiétude...il n'y a pas de raison que tu soit rabaissé, surtout avec ce que j'ai lu.

Ce bareme ce divisent en 4 parties.

Ces 4 parties seront expliqué dans le topic approprié a la vue de tous

qualité: 8/10
français: 9/10
quantité: 5/6
Moyenne du forum: 4/6

Total. 25/32 . Ton niveau donne donc 26 divisé par 32 multiplié par 15 égale: 12.18. Ce qui donne lorsque l'on retire la virgule une niveau de personnage de 13.
Ton fruit est bien sur accepté.

Tu a buté sur la mise en page. Je t'avais dis que c'était terne car c'était tout blanc, maintenant c'est tout bleu....dommage. Le français, personne n'est parfait, et j'ai relevé quelque faute de grammaire. Pour la quantité, tu a fait plus que ce qui n'était demandé, c'est bien...mais pour le score maximum faut faire très bien, mais je t'ai mis un point en plus car ton récit est particulièrement long.
Par rapport au autres pres' que j'ai put voir, tu est au dessus de la moyenne, mais il m'a manqué un truc, la chose dans ton histoire, qui ma fait dire que tu te classé au dessus.

Voila bienvenue parmi nous et bon rp...dans l'histoire j'ai perdue un révo moi^^

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Merci beaucoup Oga-San ! Smile

Pour ce qui est de la mise en page je croyais être obligé de respecter celui qui ets proposer sinon j'aurais sorti le gros html ! Very Happy

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Je te met des couleurs.
Au niveau de la présentation il dit ça parce que tu met une couleurs unie : bleu.

Et sortir du HTML sert à rien si y'a pas de css Wink

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Okay, merci Smile

, sinon je débute apprenti cp9 ou ?

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Oui Apprenti, tu va pas être un dieu de suite Wink

Pour le FDD tu devra attendre dimanche pour voir si tu peux l'avoir.

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