Sujet: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Mer 8 Déc - 18:54
Saint Urea. Grand Line. En ce jour de Décembre, notre jeune capitaine corsaire Nyaa, et son équipage ont accostés sur une île nommée, Saint Urea. Cette île est réputée pour être l'un des repères des révolutionnaires. Mais ce n'est pas suffisamment terrifiant pour pouvoir effrayer Nyaa. Elle et son équipage ont accostés depuis peu pour faire le pleins de provision. Même si cette île est réputée pour être remplit de révolutionnaires pour le moment elle ne voit rien de grave. Elle marche dans une rue, sans pour autant voir des personnes menaçantes... Tout ce qu'elle voit c'est simplement des marchands, des visiteurs et des gens louches qui font des échanges étranges avec d'autres personnes louches. Nyaa n'est pas descendu du bateau pour rien. Elle a juste eu envie de faire un tour et de découvrir un peu les alentours. Elle continue de marcher toujours tout droit, et fini par voir une taverne. Cette taverne a pour nom ''Black Hell''. Un nom pas commun du tout et surtout effrayant pour tout les passants. Nyaa fixe longuement la porte d'entrée de la taverne, puis après plusieurs bonne minutes, elle décide d'entrer à l'intérieur pour voir. Elle s'avance vers la porte, quand soudain, un homme armé d'un sabre lui fonça droit dessus en criant comme un crétin. Mais Nyaa, trop occuper à regarder cette porte orné d'un crâne le frappe sans le regarder. Un bon coup droit en pleine face lui suffit pour mettre l'homme à terre et complétement HS. Puis après ce petit incident, elle pousse la porte, et sans même comprendre et avoir vue ce qu'il y avait à l'intérieur, une forte lumière vint lui éblouir la vue. Tout en mettant sa main devant ses yeux, pour empêcher la lumière de l'éblouir elle fini d'entrer puis après, ce fût le choc. Ce qu'elle vit n'était pas à voir. Ce bar n'était autre qu'un bar interdit aux pirates. Il n'y avait que des civils de chaque côtés. Et à une table, la seul table à être caché de la lumière, il y avait d'étranges hommes. Mais Nyaa n'a même pas voulu savoir qui ils étaient, qu'elle alla directement voir le barman.
-Bonjour cher Barman. Je voudrais un verre de lait !
S'exclama-t-elle sans honte et sans gène. Le Barman surpris, lui sourit et répond :
-Ok, Mademoiselle ! Attendez quelques secondes je vous prie.
Nyaa lui sourit à son tour, puis s'assit sur un tabouret en attendant son verre de lait, et voyant que tout le monde la zieutés, elle leur tira la langue. Ce qui fit rire pas mal de monde, mais c'est bien car ces gens là ne veulent pas de personnes méchantes et horribles, comme le sont les pirates. Nyaa rigola aussi, elle se retourna pris son verre et le fini coup sec. Une fois son verre vidé, elle le posa sur le comptoir et remercia le vieux barman, puis se leva pour partir, quand soudainement, un des hommes étranges dit :
-Boire du lait à son age... Haha ! Pitoyable jeune fille !
Cette phrase parvint à l'oreille de Nyaa qui s'arrêta net après avoir entendu ça. Elle tourna la tête pour regarder l'homme qui a dit ça. On le voit peu, mais suffisamment pour vous dire qu'il est jeune et surtout, qu'il a l'air prétentieux. Les cheveux en crête et entouré de femmes, il et assit sur un sofa les bras croisés et les jambes croisées sur la table basse. Son sourire est horrible, un peu gamin sur les bords, mais il doit en être fier. En tout cas, les femmes autour de lui, rigolent tous d'une façon assez chiante. Surtout pour Nyaa, elle qui déteste les personnes trop arrogantes... Nyaa, ne lui répondit qu'avec un mot.
-Gamin.
Mais ce mot suffit pour énerver le jeune homme qui fini par se lever et sortir un kriss de je ne sais où. Le jeune homme toujours souriant regarde Nyaa, et lui dit d'un ton assez fort :
Gamin ?.. Tu as osée me traiter de gamin ? Moi ?.. Tu ne vas pas t'en sortir comme ça gamine.
Nyaa ne prit même pas la peine de lui répondre qu'elle continue sa marche vers la porte d'entrée, elle veut éviter tout conflit en présence de personnes innocentent. Eh oui, les civils sont toujours là, et surtout tous inquiets. Ils n'osent même pas bouger un pouce. Ils se contentent tous de baisser la tête et de ne rien dire. Même le barman fait pareil. Quand Nyaa fût à peine a quelques centimètres de la porte, une tomate arriva dans sa tête. Elle se ré arrêta net toujours sans dire un mot. Le groupe du jeune homme se mit à rire, tous. Nyaa prit un mouchoir de sa poche, s'essuya un peu partout, puis jette le mouchoir dans une poubelle. Puis fini par se tourner vers le jeune homme et le regarde avec des yeux plutôt inquiétants. Elle serra ses poings, quand le jeune homme lui dit :
-Oops, excuse moi ! Je voulais viser la poubelle... Ah mais flûte ! Suis-je bête ? C'est bien toi la poubelle que je visais ! Hahahaha...
Même pas a-t-il eu le temps de finir de rire que Nyaa était maintenant devant lui, et lui donna un coup de poing en pleine face. Un coup qui mit le jeune homme K.O. Enragée, Nyaa est sans pitiée même avec les membres du groupe de celui-ci. Nyaa fait un baiser dans le vent, puis créer un cœur avec. Ce qui d'ailleurs, a surprit tout le monde dans la taverne. Cette technique se nomme ''Slave Arrow''. Elle tira le cœur comme si elle tenait la corde d'un arc, puis lâche. Des centaines de flèches sortir du cœur, des flèches qui transpercent les personnes du groupe tout en les pétrifiants. Là toutes les personnes de la taverne se sont regroupés dans un coin de la taverne quand l'un d'eux dit :
-C'est... c'est... C'est la Schichibukai !
Tous paniqués, il sortir tous de la taverne laissant ainsi, le vieux barman et Nyaa à l'intérieur. Nyaa regarda le vieux barman qui lui sourit, puis alla se joindre à lui. Sans même lui demander pourquoi il n'est pas parti comme les autres. Alala... Que va-t-il se passer d'autre encore ? Qui sait ?
Ikkinetsu
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Mer 8 Déc - 22:14
[HRP: Je précise que je n'ai pas encore acquit mon fruit au moment de ce flashback et que je ne suis pas encore pirate officiellement]
Nyaa
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Sam 11 Déc - 16:10
Depuis que Nyaa nous a offert son joli spectacle avec le groupe de fauteur de trouble, la taverne est devenue beaucoup beaucoup plus calme. La taverne est aussi devenue vide. Car toutes les personnes qui se trouvaient à l'intérieur se sont tous enfuient en criant ''La Shichibukai ! C'est la Shichibukai !''. A croire qu'elle va tous les exterminer. Il n'y a que le vieux barman qui est resté. Il semble ne pas craindre du tout Nyaa. Tous les deux papotes de tout et de rien, mais a un moment le vieil homme lui demanda si elle voulait bien écouter son histoire. Nyaa très curieuse ne refusa pas du tout et tout en buvant son verre de lait, elle l'écouta. Assit sur le tabouret et les mains tenant le verre de lait, elle regardait le vieil homme passionnément. Il n'avait encore même pas commencé à parler qu'elle était déjà toute excitée. Le barman s'assit sur son tabouret de l'autre côté du comptoir, les coudes posés sur le comptoir, il se gratta vite fait la tête, puis posa doucement sa serviette sur la table.
-C'était un jour d'hiver. Un jour froid et très sombre. Ce jour là, moi et mes hommes devions arrêter un grand pirate, j'étais alors un Vice-Amiral. Mais je me rappellerais toujours de ce jour là. Le jour le plus horrible que j'ai jamais connu. Le pirate que je devais attraper était connu sous le nom de ''Death''. Un homme cruel qui avait une prime très élevé. Sa prime devait être, si ma mémoire est toujours bonne, environs cinq cent millions de Berrys. Ce n'est pas rien... Mais comme je l'ai dis, ce jour là était sombre. Déjà parce que nous étions en Hiver, il faisait froid, et les nuages noir était de toutes part dans le ciel. Moi et mon équipage, avions donc accostés sur une petite île, qui était encore inconnue dans le temps, mais c'était l'île où se trouvait notre homme. Un endroit bien déplaisant ! Crois moi petite. Les arbres morts... Les corbeaux qui nous fixaient... Brrr, rien que d'y repenser ça me fait froid dans le dos.
Nyaa posa maintenant ses mains sur sa jupe, en tremblant un peu, mais pas de peur, non. Elle tremble d'excitation. Le vieil homme continu toujours sont histoire.
-Nous avions cherchés de partout dans l'île, aucun signe de vie. C'était à croire que cet endroit était l'enfer...
Même pas le barman eu le temps de finir de raconter son histoire qu'un jeune homme entra dans le bar. S'avança vers Nyaa et le vieil homme, puis s'assoit en souriant et demanda au vieux barman, un verre de Ice-Tea. Nyaa, un peu dégoutée de ne pas avoir pu entendre la suite, boit d'un coup sec son verre de lait, puis regarda le jeune homme. Il était plutôt grand, oui déjà plus grand que Nyaa et avait des cheveux en piques et blond. Apparemment, d'après ce que peut voir Nyaa, il adore l'Ice-Tea et ne demande que de ça au barman depuis son arrivé. Ce qui rend bien content le vieux. Nyaa arrêta de fixer le jeune homme, puis se mit à regarder les personnes qu'elle a transformée en statues.
-Ah oui ceux-là... Faudrait que j'annule mon pouvoir...
Elle se lève, puis se rapproche de ce tas de statue. Elle ferme les yeux puis claque du doigt. Cette technique se nomme ''Mezameyo''. Pouvoir qui consiste à annuler les effets de son pouvoir, exemple là, elle annule les pétrifications. Les personnes pétrifiés paniquent et cours tous vers la sortie en voyant Nyaa. Notre jeune Shichibukai souffle un peu, puis retourne s'asseoir près du jeune homme et du barman. Puis redemande un verre de lait au vieux Marine. Tandis qu'elle commence à s'ennuyer, le jeune homme lui, la regarde l'air étonné. Il doit surement être surprit de voir qu'a son age, Nyaa détient un tel pouvoir. Mais bon. C'est comme ça.
Ikkinetsu
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Mer 15 Déc - 17:15
Heihashi D. Shuuhei
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Dim 19 Déc - 18:25
Dulzura Naciente
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Sujet: Re ==> Flash back. Sam 19 Mar - 17:59
o° Pekopeko °o
Une voile blanche volait au gré du vent, laissant des plis sur le tissu lisse. Attachée à un mât, elle ne pouvait mieux remplir son rôle. Le mât, lui, rendait le bateau plus petit encore que ce qu'il était déjà. De la même couleur que la voile, une bête s'accordait un moment de répit, tandis que moi, je tenais le gouvernail. Bien que mon expression est l'air concentré, ce n'était que le fruit du vent qui m'empêchait d'ouvrir grand mes yeux. Et bien que ma main caressait le gouvernail sans que celui-ci se laisse porter par le souffle de la nature, je n'avais aucune idée d'où j'allais atterrir. Peut-être que la peur ou bien l'angoisse aurait dû prendre possession de mon corps. Cependant, ce n'était pas le cas. Seule la faim occupait le vide de mon estomac. Il est bien beau de partir de son propre chef pour venger des êtres bien aimés. Il est cependant bien stupide de s'aventurer sur les mers avec pour seul bagage des habits et aucune nourriture. Certes, mentalement je m'étais préparée, mes pouvoirs et mes techniques m'étaient connus, mais pour ce qui est des préparatifs… Je n'étais parti qu'avec mon chien. Celui-ci d'ailleurs se leva soudainement, faisant tanguer le bateau sous le mouvement de sa masse blanche. Il aboya alors si fort que toute tentative de discrétion m'était impossible.
La raison de son agissement venait d'une odeur que je ne pouvais sentir avec mon odorat d'humaine. Plus nous avancions, plus une terre se laissait voir au loin. Un sourire laissant voir toutes mes dents se dessina sur mon doux visage. Enfin, nous arrivons quelque part où la nourriture pouvait être abondante. Trop épuisée pour rechercher un quelconque port, je m'approchais d'une rive faite de boue. Sans trop m'attarder, envieuse de me passer quelque chose sous la dent, je ramassais ma guitare, l'attacha à mon dos. Cette dernière étaient d'un noir poli et d'un blanc plus propre que tous. L'on sentait que sa solidité n'était pas moindre tant ses cordes paraissaient sèches. Ce qui expliquait les doigts abîmés et musclés que je cachais en ce jour sous des gants remontant jusqu'à mon coude tout aussi sombre que mon instrument. J'avais prévu de partir la nuit de mon village, pour mieux me faufiler sous les fenêtres sans être vu, je m'étais vêtue de noir. Aussi, l'on aurait pu croire que j'étais en deuil et pourtant, c'était l'inverse, une nouvelle vie m'attendait. Un débardeur gris, tenant uniquement à l'aide de ma poitrine, collait mon ventre plat. Un simple pantalon noir moulant de tissu recouvrait mes jambes entièrement. Mes cheveux, eux, étaient relevés grossièrement en un chignon.
Je descendais du petit bateau, suivi de Winy, mon chien blanc, sur lequel j'attachais un sac vide. Je ne savais comment j'allais le remplir et surtout ce que j'allais mettre dedans, mais je préférait ne pas me trimballer quoi que ce soit entre les mains. Je grimpait la pente glissante non sans peine avant de me retrouver au pied d'une montagne. Ennuyée rien qu'à la pensée de devoir grimper au sommet pour quoi que ce soit, je me résignais à en faire le tour, dans l'espoir de trouver ne serais-ce qu'un humain ou deux. A peine fis-je un pas qu'un bruit ravageur parvint à mes oreilles avant d'en faire frémir mon faible corps. Mon fidèle compagnon à poil, plus curieux que moi, s'élança de suite à l'entende du boucan. Sans prendre mon élan, je courus pour le rattraper. Mais ce n'est pas sans peine que je courais, tentant de ne pas tomber. Le fait de m'activer ainsi, me fit oublier la faim qui me rongeais pourtant depuis plusieurs heures.
Un moment plus tard, nous parvîmes tous deux devant ce qui ressemblait le plus à un bar. Cependant, au dehors, le calme régnait. L'on entendait que mon souffle saccadé et épuisé puis les gémissements de Winy. J'aurais pu crier si j'en avais la force. Mais, même si ma voix me revenait, je ne l'aurais pas voulu. Plusieurs cadavres gisaient devant le bar. Des cadavres magnifique, splendide. La mort leur allaient si bien, à ces marines. Ce fus la première fois que j'étais heureuse de voir autant de cadavres devant ce qui allait me servir de restaurant. Oubliant tout sentiment et gardant en tête la seule émotion de bonne surprise, je marchais, sûre de moi, vers la porte du bâtiment. Quand je fis mon entré à l'intérieur, une lumière se faufila et dessina mon ombre sur le sol en bois poli. Mes pas craquèrent sur celui-ci. Ma démarche sûre se fit sentir bien que je m'était arrêté pour contempler l'intérieur. Vérifiant que c'était bien là où je devais me nourrir. Quand ce fut à Winy de faire son entré, la scène parut héroïque, tant je me tenais fièrement, debout sur mes jambes, avec une bête ressemblant à un chien blanc et une guitare dans le dos. Pourtant, je n'avais rien fait.
Le silence se fit dans la pièce. Bien que chacun soit trop loin pour le voir, le rouge me montait aux joues une petite seconde. Je ne pouvais alors m'empêcher de stagner l'entrée pour me poser des questions sur ce qu'il pouvait bien penser en me fixant ainsi. Je restais sur la conclusion, que mon âme enfantine était renfermée dans un corps envieux, bien que svelte. Ma confiance en moi revint, je me redressais, mis une de mes mains sur mes hanches. Avec un peu de chance, je n'aurais pas à payer, tant le serveur sera charmé.
*grrrbllup*
J'avais pensé trop vite. Le silence étaient toujours là, bien que détruits par le bruit de mon ventre affamé. Mais cette fois-ci, il était pesant et insoutenable. D'avoir vu tant de cadavre m'avaient fait oublier ma faim. Les bras croisés sur mon ventre, j'avançais la tête basse vers le comptoir. Winy me collait toujours, le regard blasé et la marche majestueuse. Devenue blanche, je pris un siège, le barman s'avança vers moi, heureux de savoir que la faim me rongeais. Je demandais d'une voix faible un plat au hasard. En attendant, j'osais jeter un oeil au peu de personne qui remplissaient le bar. Deux hommes, l'un plus décontracté que tous, l'autre indéfinnissable, je ne voulais pas le fixer, aussi mon attention se porta sur la jeune fille, sirotant un verre de lait. L'odeur de la nourriture que m'amenait le gérant me fit tourner la tête. Mes yeux se remplir d'amour pour les œufs si frais et le riz si voluptueux. Oubliant mes manières de jeune fille, j'engloutissais mon repas, indifférente aux regards que me portais les autres. L'assiette redevenue propre, je me laissais aller sur ma chaise, soupirant de bonheur.
- Tu compte payer quand, petite ? chantonna le gérant. - Jamais. Répondis-je, indifférente. - Hein ?! Et pourquoi ça ? - Parce que je n'ai pas d'argent. Répondis-je comme si cela était évident.
Je ne me rendis compte que quelques secondes plus tard que ma situation était désastreuse. Le vendeur ne me laisserait pas sortir de suite. J'affichais alors un sourire nerveux, me frottant la nuque nerveusement.
Dernière édition par Dulzura Naciente le Ven 29 Avr - 19:35, édité 3 fois
Ikkinetsu
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Mer 23 Mar - 18:53
Heihashi D. Shuuhei
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Lun 28 Mar - 11:36
On the Black Hell, « Une Nouvelle Arrivante! »
Alors que j'étais parti sur la charmante île de Saint Urea, afin de prendre de quoi semer pour mes plantations, je m'étais retrouvé dans une situation à laquelle je ne m'étais, mais alors pas du tout attendu. Apparemment, il y avait eu du grabuge dans un bar et tous les habitants n'arrêtaient pas d'en parler, bien que bizarrement, aucun d'eux ne semblaient paniquer, de nature curieuse, je n'avais pas résisté et j'étais allé demander la situation à des gens. Une fois que tout était bien clair pour moi, hélas, je n'avais plus qu'un choix, car un innocent allait subir une punition pour un acte qu'il n'avait pas commis, je ne pouvais pas rester là à rien faire et regarder les marines le mettre à mort. Et puis, ce n'était pas comme-ci massacrer quelques troupes de la 'justice' allaient être un acte méprisable, car une fois encore, ils étaient encore en train de commettre une injustice.
Et oui, même si je n'avais pas encore de navire personnel ou de pavillon, je me considérais depuis toujours comme étant un pirate, même si je suis totalement différent de ceux qui naviguaient sur les mers au jour d'aujourd'hui. J'avais un point de vue complètement différent en ce qui concernait la manière d'être un forban des océans, qui naviguaient que pour mettre toutes îles à sac et repartir avec des bijoux et de l'argent. Non, moi j'étais là principalement pour conquérir les mers, naviguer le plus librement possible en compagnie de mes nakamas et du mieux que je le pouvais, empêcher que le Sekai Seifu continue sa tyrannie. Tout ça pour dire, que détruire des marins étaient tout à fait normal pour moi, car après tout, ils étaient tous des obstacles envers mon objectif final. À vraie dire, maintenant, je trouvais ça vraiment ennuyeux de montrer ma sur-puissance à ces fils de chien qui avaient sur eux le symbole de la mouette, car après tout, ils étaient toujours en groupe, bien ordonnaient, mais au final, ils étaient tout sauf fort.
Enfin bref, tout ça pour dire que j'avais mis K.O. ces enfoirés en moins de temps qu'il en aurait fallu pour construire une table, mais pour ce faire, j'avais dû utiliser pas mal d'énergie, ce qui signifiait que j'avais besoin de me remplir la panse. C'est pourquoi, j'avais aussitôt pris la direction de ce charmant pub du nom qui était tout aussi clinquant 'Black Hell' qui signifiait dans ma langue, l'enfer noir, ce qui allait bien avec se trouvait dehors et que je qualifierais de 'Black Death'. Car ils étaient tous, sans aucune exception, carbonisé et donc de cette belle couleur sombre, qui me rappelait mes toasts que je laissais trop longtemps dans mon grille-pain et qui finissaient toujours ainsi.
Revenons à nos moutons, désormais assis bien à mon aise à une table, les pieds sur cette dernière et la chaise se tenait plus que sur deux pieds, vu que j'étais en train de me balancer. J'attendais tranquillement que le barman daigne m'amener ce que je venais de commander, à savoir du bon rhum, car j'avais une soif à boire un lac à moi seul, surement à cause du peu de combat que j'avais vécu il y a peu. Je commençais à en avoir marre d'attendre, même s'il est vrai que je n'étais pas seul ici, il y avait cette fille que j'avais l'impression d'avoir déjà vu quelque part et ce type qui était en train de boire quelque chose que je ne pouvais reconnaître juste en le voyant. Le dirigeant de la tanière semblait super occupé derrière son comptoir, probablement occupé avec ma commande, ce qui me fit sourire, impatient d'ingurgité cette boisson qui me chauffera l'intérieur. Soudain, mes oreilles détectèrent comme des bruits de pas venant de l'extérieur et ils s'approchaient de plus en plus de la porte d'entrée, ce qui signifiait qu'une nouvelle personne allait se joindre à notre petit comité.
Il est vrai que je ne m'attendais pas à ça non plus, que quelqu'un se ramène là alors que partout devant le bar se trouvait une bonne quinzaine de cadavres de marines. Ou en fait cela était possible, mais la personne concernait devrait alors avoir une dent contre ceux qui depuis toujours osaient proclamer une justice, mais qui n'agissaient jamais en fonction de cette soit dis-ante juste cause. Mais bon l'heure n'était pas aux grandes épiloguassions à ce sujet du Sekai Seifu et de leurs maudits agissements de merde, non, je devais revenir à la situation actuelle qui était la future entrée en scène d'un nouveau personnage.
Les yeux étaient fixés sur la porte, près à la voir à tout moment être ouverte et voir qui allait bien pouvoir franchir ce pallié et qu'elle n'en fut pas ma surprise, quand j'aperçus qu'il s'agissait là d'une demoiselle. Si je me fiais qu'à sa frêle apparence, je dirais qu'elle est encore jeune, à peine plus vieille qu'une adolescente. En regardant son visage de plus près, je pouvais même vous dire qu'en ce moment, elle n'avait pas trop l'air sûr d'elle. Juste derrière elle, un chien venait également d'entrer dans le bar, il était grand et avait un magnifique pelage de cette couleur si pure qu'avait toujours été le blanc. Reportant mon attention sur la jeune fille, je pus remarquer que ses joues venaient de prendre une belle teinte rouge et elle stagna quelques secondes sur la marche de la porte. Puis, mettant une main sur ses hanches, elle avança d'un pas décidée jusqu'au comptoir afin surement de commander quelque chose. Elle s'assit, commanda à manger et dès qu'elle fut servit fini le temps en moins de temps qu'il en fallait pour siroter un bon verre de rhum. Bien entendu, après ça, le barman lui demanda de payer pour son repas et elle répondit qu'elle ne pourrait point le faire, car elle n'avait point d'argents sur elle.
Alala, quelle folie, s’aventurer comme ça, en dehors de chez elle et pour couronner le tout, entrer dans une taverne, commander de la nourriture et ne rien avoir pour rembourser tout ça, oui, elle devait bien être folle la demoiselle. Car après tout, peu importe l’endroit où elle finirait par se rendre, sans argent, elle ne pourrait rien faire du tout, à moins qu’elle préférerait rembourser en faisant diverse corvées durant le temps que la patron décidera pour elle. Personnellement, bien que je n’avais jamais été riche, j’avais toujours sur moi de quoi payer mes consommations de boissons ou de nourriture dès que je sortais du Torino Kingdom. Bref, ça vous vous en foutez hein, alors passons à la suite, gentleman que j’étais, je ne pouvais pas laisser la jeune demoiselle dans l’embarra, aussi, regardant bien le patron dans les yeux, bien que les siens étaient fixés sur la fillette, j’élevais la voix.
Ϟ Ola Chef, où est passé ta galanterie, mettre une demoiselle dans pareille situation, hein?! Ϟ
-"De quoi tu parles petit, elle vient dans un bar, elle mange alors elle paye, point final."
Ϟ Mais laisse-là donc tranquille, elle à l’air bien rompu alors elle à besoin de digérer doucement maintenant, met ce qu’elle à commandée sur ma note! Ϟ
-"Soit il sera fait comme tu me la demandé."
Ϟ Et en passant, j’aimerais vraiment avoir ma boisson et s’il te plait fait moi deux fois ton meilleur plat, j’ai vraiment la dalle! Ϟ
-"Je t’amène ça au plus vite."
Sur ces mots, je me contentais de me remettre tranquillement à mon aise, j’avais plus qu’à attendre ma nourriture et ma boisson. J’espérais seulement cette fois-ci, ce chien allait se grouiller, car je voulais bien être patient, mais comme me le disait Koga, ‘Faut pas pousser mémé dans les orties!’. Personnellement, j’adorais ce petit dicton que mon père adoptif me disait très souvent, vu que j’étais du genre à être un enfant qui en demandait toujours trop alors qu’il avait déjà assez. Mais depuis sa mort, j’avais grandi et je me satisfaisais très bien de mon sort, du moins pour le moment, car comme vous l’aviez entendu, je comptais bel et bien monter mon équipage, naviguer etc.…
Depuis quelques minutes, j’étais reparti des années en arrière, au temps où je vivais toujours avec mon bien aimé father, à tout ce qu’il m’avait appris quand je n’étais qu’un môme. Tout ce qu’il avait sacrifié et perdu, tout ça pour s’occuper de mon éducation et m’élever en toute tranquillité, à l’abri des marines qui n’arrêtaient pas d’attaquer quand nous étions en mer. Soudain, une super bonne odeur venait d’arriver jusqu’à mon nez et me fit revenir à la réalité, le tavernier se tenait devant moi, d’après sa tête, je pouvais dire qu’il n’était plus très joyeux, surement à cause de ce que lui avait dit il y a quelque minutes. Il avait deux plats dans une main et dans l’autre se trouvait une grande bouteille de rhum, mais il ne le posait pas, car actuellement, mes jambes prenaient toute la place, quelques secondes passèrent, j’étais assis normalement et ça me déplaisait, car je n’étais plus à mon aise.
Mais je n’allais pas faire mon difficile, après tout, j’avais deux superbes assiettes devant moi, qui n’attendaient qu’une chose, d’être mangée et elles étaient plus qu’appétissante et j’allais me faire une joie de les dévorer. Mais avant, je pris la bonne bouteille et d’un petit coup de dent, je virais le bouchon et le recrachait avant de boire une bonne lampé de cette boisson que j’adorais. Une fois qu’elle fut arrivée en mon estomac, je sentis la chaleur de l’alcool remontait jusqu’à mon gosier, ce qui fit naître un grand et beau sourire sur mon splendide visage et j’étais désormais prêt à attaquer ma nourriture. Sans prendre en compte les personnages qui étaient dans le bar, je parvins à manger mes deux plats entiers en moins de cinq minutes et pour les aider à descendre, je repris une gorgée de ma boisson.
Le barman qui avait tout vu, était déjà là à reprendre les assiettes vide, remettant bruyamment mes deux jambes sur la table et recommençant à me balancer, je remarquais que j’avais quelque peu attiré les regards sur moi. Croisant rapidement le regard de la demoiselle qui avait été la dernière à rentrée, elle se retourna bien vite, j’espérais seulement ne pas l’avoir intimidé avec mes manières d’ingurgité mes plats. Puis en laissant balader mon yeux à travers, je tombais sur le jeune homme qui était désormais installé devant un verre vide, c’est ainsi qu’une fois encore, je pris la parole.
Ϟ Bien le bonjour, jeune homme, je pense surement que tu t’en fiche, mais je suis Heihashi D. Shuuhei. J’aimerais entendre de ta bouche les évènements qui sont arrivés ici et pour lesquels la marine voulait te capturer, est-ce possible?! Ϟ
Même si j’avais tout entendu de la part des villageois, je tenais à connaître la version de la personne qui était la première concernée dans cette histoire, à savoir ce type là. Car de nos jours, tout étaient sous contrôle du Sekai Seifu et donc, ils avaient même pu inventer une histoire de A à Z, afin de ne pas perdre la face devant tous les habitants qui avaient foi en eux et leur maudite justice. Dix venaient de passer et je trouvais ça trop long d’attendre, surtout que je ne savais même pas s’il allait un jour me répondre ou non, une fois encore, ma patience allait être mise à l’épreuve, mais j’étais prêt à tenir autant qu’il le faudrait, car après tout, j’avais tout mon temps. Mais une idée en tête me vint soudainement, je ne savais pas s’il était très intelligente ou si elle allait fonctionner, mais une fois encore, un dicton de mon Koga me revint en tête, ‘Qui tente rien n’a rien!’. C’est pourquoi, je décidais donc de parler pour la troisième en seulement quelques minutes.
Ϟ Ola tavernier, je te prierais de resservir à mon collègue la boisson qu’il t’avait demandé et d’offrir en même temps, à la demoiselle la chose qu’elle aimerait boire ou encore manger! Ϟ
Sur mes mots, je n’avais tout simplement plus qu’à attendre, j’étais tout de même pressé d’entendre ce qui s’était réellement passé sur cette île qui en générale, était du genre très tranquille.
{Hrp: Vraiment désolé de n'avoir pu poster ce week-end! J'espère qu'au moins, ça vous plaira!}
Dulzura Naciente
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Mar 29 Mar - 20:31
o° Monozuki °o
L’ambiance devenait de plus en plus plombante. Ma petite discussion avec le barman avait comme déclenchée un silence parfait. Bien que je sache qu’il était déjà présent dès mon arrivée. Le gérant me fixait d’une façon insistante ce qui fit ressurgir le rouge de mes pommettes. Comme d’habitude je ne relativisais que trop tard la situation. Non seulement, je n’avais emporté aucun vivre, mais en plus il m’était impossible d’en payer. Sans compter qu’il n’avait pas été sage d’entrer dans un bar où plus d’une dizaine de cadavres gisaient devant en guise de paillasson. Mais patience, il ne me restait qu’à me présenter à la marine et demander des avis de recherche en leur prêtant faussement allégeance. Il ne sera pas dur ensuite de gagner un peu d’argent. Ce qui m’inquiétait le plus et de faire face aux pirates, à qui je ne voulais aucun mal malgré mes missions. Je ne savais pas si pour l’instant je m’y prenais bien ou non, mais j’étais fière d’avoir entreprit quelque chose de mon propre chef. Ma naïveté m’aidera sûrement à ne pas avoir peur, à affronter le danger.
Quoi qu’il en soit, ce n’était pas le moment de prédire mon avenir. La corpulence du barman, grasse et horripilante, ne m’effrayait pas assez pour que je pense finir ma vie ici, mais on ne sait jamais. Je comptais alors partir le plus discrètement possible, maintenant que mon estomac était rempli. Heureusement pour moi, l’homme qui s’était, quelques secondes plus tôt, posé avec aise les pieds sur le comptoir, venait de s’incruster en ma faveur dans notre discussion. Il s’en fut alors dans une parlote avec le gérant qui portait sur la galanterie et l’argent.
- Ola Chef, où est passée ta galanterie, mettre une demoiselle dans pareille situation, hein?! - De quoi tu parles petit, elle vient dans un bar, elle mange alors elle paye, point final. - Mais laisse-là donc tranquille, elle a l’air bien rompue alors elle à besoin de digérer doucement maintenant, met ce qu’elle à commander sur ma note! Riposta-il avec un air de protection envers moi qui ne fit que me rendre plus rouge. - Soit il sera fait comme tu me la demandé.
Après cela, il s’empressa de commander son repas une nouvelle fois. Le gérant, attiré par l’argent, ne pu qu’accepter et me lancer un regard plein de compassion. Comme si le fait que qui que ce soit paye puisse me faire pardonner. Si certains sont avides d’or, d’autres sont plus attachés à la nourriture. Tout comme celui qui venait de me sauver la mise. Dès que le barman lui apporta, un grand sourire aux lèvres, sa commande. Il n’en fit qu’une bouchée. Je fus impressionner par sa rapidité, plus effrayante que la mienne. Une petite envie de rivaliser ce côté-là avec lui me chatouilla l’esprit avant de disparaître. Je ne me rendis compte de ma contemplation soudaine envers l’homme brun et ses assiettes vides que quand il me gratifia d’un regard. De suite, je détournais la tête. Je le savais, j’étais naïve, mais pas non plus au point de sourire à des inconnus ou même de les regardés en face. Peut-être parce que je n’avais pas assez de tact… Ce qui se rapportait alors de suite à mon côté niais.
Laissant de côté ma fâcheuse description de moi-même. Je me risquais à jeter un dernier regard à l’homme. Celui-ci avait disparu de sa chaise. Je le cherchais alors des yeux, comme ayant perdu quelque chose de précieux. Me rendant compte de l’inutilité de mon action et de ma présence. Je caressais délicatement Winy qui croupissait à mes côtés, comme à son habitude.
- Bien le bonjour, jeune homme, je pense sûrement que tu t’en fiche, mais je suis Heihashi D. Shuuhei. J’aimerais entendre de ta bouche les évènements qui sont arrivés ici et pour lesquels la marine voulait te capturer, est-ce possible?!
Je sursautais alors, manquant de tomber de ma chaise. Le manche de ma guitare posé au sol me retint de justesse. Encore une fois je fus étonnée par sa solidité et son équilibre malgré sa forme ronde. Quoique, je n’étais pas bien lourde. Bref, revenons à nos moutons. Il n’en fut que plus grande ma surprise quand je me rendis compte que le Heihashi qui venait de parler n’était autre que celui que j’avais cherché des yeux. Ne fut-elle qu’aggravée quand il parla au jeune homme qui se trouvait être l’objet du massacre se trouvant devant la porte. Je tentais alors de me remettre discrètement sur ma chaise de façon à pouvoir écouter.
- Ola tavernier, je te prierais de resservir à mon collègue la boisson qu’il t’avait demandé et d’offrir en même temps, à la demoiselle la chose qu’elle aimerait boire ou encore manger!
Le rouge monta le long de mon visage. Je cachais alors ce dernier entre mes mains. Quelques secondes après je le ressortis et adressa un signe de remerciement à Heihashi. Je ne commandai rien cependant ce qui fit perdre un peu du beau sourire commercial que nous avait préparée le gérant du bar. Je tentais, pas bien longtemps, de retenir ma curiosité envers ce qu’il avait bien pu se passer. Ce qui ne dura franchement que quelques courtes secondes. Me levant, puis trébuchant grossièrement sur ma chaise, je me rattrapais au comptoir avant de me diriger devant les deux hommes. Cette présence masculine ne m’effraya pas de suite, bien qu’il n’est pas l’air de mon rang, je me sentais comme en sécurité ou tout simplement en confiance auprès d’eux. Inconsciente de ma soudaine franchise, je fis part, moi aussi, au jeune blond, de ma curiosité grimpante.
- Je suppose que tu ne t’intéresses pas plus à ma personne, mais moi c’est Dulzura. ( je n’osais pas sortir mon nom entier comme l’avais fait Heihashi ) Allez ! vas-y raconte !
Je lui fis cadeau de l’un de mes plus beaux sourires. Un sourire bien niais, mais qui, je le savais, rendait mon visage enfantin et inoffensif. Tout comme un lutin curieux, j’avais tout aussi hâte que le grand brun de connaître l’histoire croustillante de ces mystérieux cadavres qui ornaient l’entrée avec un goût pour la décoration légèrement déplacée.
[ Post court, je le sais, mais c'est voulu et pas négligé. ]
Dernière édition par Dulzura Naciente le Ven 29 Avr - 19:35, édité 1 fois
Ikkinetsu
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Jeu 31 Mar - 22:16
Un curieux & un assoiffé
Tranquillement assis sur mon siège, finissant ma dernière chope le plus lentement possible pour essayer de l’apprécier le plus possible. Mais c'était comme demander a un ivrogne qui était a sec depuis quelques jours de boire une chop le plus lentement possible... A peine le barman l'avais posé sur le comptoir qu'elle se retrouve aussi vide qu'un trou noir. Après avoir bu mais n'ayant pas du tout étancher ma soif, je regarda dans ce qui me servait de porte monnaie si éventuellement il en resterait assez pour le diner, si je reprenais un verre. Hélas il ne me restait que quelques berry's juste assez pour loué une chambre dans une auberge...Ma soif n'allais donc pas être étancher, je commençais à me faire a cet idée quand le mystérieux homme s'approcha de moi, je ne ressentit aucune hostilité bien qu'il empestait le sang brulé. A peine eut-je le temps de dire quoique ce soit qu'il s'adressa a moi:
_ Bien le bonjour, jeune homme, je pense sûrement que tu t’en fiche, mais je suis Heihashi D. Shuuhei. J’aimerais entendre de ta bouche les évènements qui sont arrivés ici et pour lesquels la marine voulait te capturer, est-ce possible?!
Je ne comprit pas tout de suite la raison pour laquelle il me demandait ça, mais ça ne me tuera pas de lui dire la vérité. Après tout, il m'avait sortit d'affaire pour le moment. Si jamais des renforts interviennent, ils s'attaqueront d'abord a lui et ils finiront comme les autres en face du bar. Lorsque je m’apprêta a répondre il reprit la paroles, ce genre d'acte me met surtout hors de moi, était-il le genre de personne à poser une question, puis tout de suite après à lancer un nouveau sujet de conversation ? Sauveur ou pas, ce genre d'attitude me met vraiment hors de moi. Je ne voulus pas le frapper, l'idée de l'intimider en frappant violemment sur le comptoir me vînt, mais si jamais je le cassais et que le sol cédait s'écroulant ainsi sur la cave et détruisant les piliers qui soutiennent le bar, j'aurais beaucoup plus de problème que tout a l'heure. Je préféra donc souffler un grand coup. Mon petit délire intérieur me fit m'échapper de la réalité pendant quelques secondes, je n'entendis donc pas ce qu'il venait de dire. Ce n'est que lorsque le barman demanda une confirmation qu'il me sembla avoir entendu:
_ Ola tavernier, je te prierais de resservir à mon collègue la boisson qu’il t’avait demandé et d’offrir en même temps, à la demoiselle la chose qu’elle aimerait boire ou encore manger!
L'homme venait de faire une chose que peu de gens pouvait se permettre de faire, offrir une tournée général... seul quelques bourges ou jeune hérité pouvait encore ce le permettre. Certain pirates en offraient, mais disparaissaient laissant la note au dernier imbécile qui allait quitter la bar. Ayant une nouvelle chop remplit devant moi je remercia le jeune homme en la levant vers lui, la jeune fille qui était rentré après lui avait l'air d'être intéresser elle aussi par ce qui avait bien pus se passer. Elle se présenta et donna l'air d'une jeune fille épanouie, plutôt sereine enfin bref limite inoffensif. Elle me sortit un très beau sourire que je rendis et commença a leurs expliquer ce qui s'était passé.
_ Moi c'est Ikki, simple voyageur... Cet ile était sur mon parcours, finissant ma visite j'aperçus ce bar et y entra, la jeune demoiselle a côté de moi y avait transformer tout les clients en pierres a ce que j'ai crut comprendre. Ensuite des Marines sont apparut m'ont demander de me livrer... Il ne s'est rien passé d'extraordinaire... juste une éternelle magouille de la Marine pour étouffé l'affaire je suppose. Ensuite Hei' ... désolé j'ai oublié le reste de ton nom...
Ne pouvant vraiment pas me remémorer son nom, je lui proposa de l’appeler par un surnom, ce qui serait beaucoup plus simple, car j'ai beau avoir la mémoire des visage, celle des noms m'est complétement inutile... Je continua donc mon récit, décrivant ce que je savais de la suite, l'entrée en scène de Hei, le grand flash puis plus rien, l'entrée de Hei suivit quelques minutes plus tard par celle de Dulz'machin chose. Un silence commença a se faire sentir a la fin de mon récit, j'avais conscience d'énerver les gens a ne pas retenir les noms, mais c'était tout simplement physique... Mon cerveau ne voulais pas les mémoriser... Je m'excusa auprès de la jeune fille et lui expliqua mon problème en lui proposant de l’appeler Dulzy. Je voulus ensuite connaitre l'histoire des deux personnes en face de moi, l'une avait tué une quinzaine de Marine et n'avais ni l'air amocher physiquement que mentalement, et l'autre entre dans un bar alors qu'un massacre a eut lieu en face...
_ Qui êtes vous, pour pouvoirs tuer sans sourcillez et entrer dans un bar alors que des corps encore chaud gisent devant 'entrée ?
[HRP: Désolé pour la longueur, mais j'ai vu que lorsque je suis rentré le mp de Heihashi et aussi pour le titre foireux du Rp mais j'en trouvais pas d'autres xD]
[HRP2: Désolé aussi si mes Rp ne sont pas stable, je pense par la de la manière d'écriture,etc... je cherche encore la manière la plus facile pour moi de Rp (celle a la première personne m'a beaucoup plus, je pense donc garder ce style ^^)
PNJ Marine
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki] Sam 2 Avr - 0:26
Le Royaume de Sain Urea était autrefois aux mains du Gouvernement Mondial, du moins c'est ce que laissait sous-entendre la présence du QG de la Marine dans sa capitale. Mais comme bien des fois lorsqu'on possède une certaine autorité sur un peuple, on finit par en abuser. Les soldats qui devaient simplement faire régner la loi sur l'île, finirent bien vite grisés par le pouvoir qu'ils exerçaient sur les citoyens. Commença alors une vie ingrate sous le joug des Marines qui s'autoproclamèrent les maîtres du Royaume dans le seul but d'assouvir leurs caprices personnels. Faible et lâche, le roi de St Urea abandonna ses sujets dans la servitude des tyrans du gouvernement, préférant vivre aisément en fermant les yeux, plutôt que d'affronter les forces armées du QG. L'âge de la tyrannie débuta donc sur cette île de South Blue, sans que jamais le Gouvernement Mondial s'oppose aux initiatives malhonnêtes de ses soldats. Mais l'espoir refit surface lorsqu'un petit groupe de Révolutionnaires décida de soulever la population contre les Marines et de reprendre le Royaume de leurs mains, promettant paix et liberté à ceux qui les suivraient. Après vingt années sous la domination des dictateurs, une simple incitation à la révolte par les plus grands ennemis du Gouvernement, suffit aux Uriens pour qu'ils prennent les armes et récupèrent le libre arbitre qu'on leur avait volé. En une nuit à peine, la coalition de Révolutionnaires et civils rasa la base des Marines et exécuta tout ceux qui la défendait. Depuis, le Royaume de St Urea vit dans la prospérité malgré son statut antigouvernementale, ce dernier ne semble pas avoir envisagé de quelconques réprimandes au sujet de l'île... A moins qu'il ne prépare quelque chose dans l'ombre ?
Quoiqu'il en soit, les querelles entre Marines et Révolutionnaires ne concerne absolument pas les quatre énergumènes qui ont choisit la taverne du Black Hell comme lieu de rendez-vous pour foutre le souk ! Non mais je vous jure, entre Nyaa la Shishbukai qui pétrifie les brigands, Dulzura qui refuse de payer sa nourriture, Ikkinetsu qui vide l'Ice Tea du bar et Heihashi le pirate foudroyant qui... foudroie, cet endroit paisible est devenu un bordel sans nom ! Un bordel en enfer pour être plus précis, car en effet, le tas de cadavres des Marines ( sortit d'on ne sait où puisque Urea est censé être au mains des Révolutionnaires ), ajouté au nom très évocateur de la taverne, laisse apercevoir une scène tiré du quotidien du royaume souterrain. Enfin à la limite ça, les énergumènes s'en foutaient complètement; maintenant tous assis au bar, ils écoutèrent attentivement l'histoire d'Ikkinetsu pour comprendre la présence des soldats de la justice en ces lieux. Le tavernier quant à lui, était retourné à sa cuisine, mais pas pour préparer un nouveau plat ni même pour apporter de nouvelles boissons. Non en réalité, il avait un important coup de fil à passer... Loin des oreilles indiscrètes, Barney ( car c'est comme ça qu'il s'appelait ) sortit un mini-escargophone de sa poche et décrocha le combiné pour finalement appeler.
« Shaolin Rasé ?! Ici Tavernier Bleu, les cibles sont en place, vous pouvez passer à l'intervention. Nous avons malheureusement perdu une dizaine d'hommes dans l'opération, ces imbéciles sont passés à l'action bien trop tôt et sont tombés dans le piège de l'ennemi. L'adulte les a éliminer seul, quant à la fille, je ne vois pas bien ce qu'elle vient faire dans cette histoire, mais elle ne semble pas être le cerveau du groupe. Je pense plutôt au gamin chevelu, il cache bien son jeu mais tout le monde l'écoute dès qu'il ouvre la bouche, c'est un signe ! Mieux vaut le capturer vivant et éliminer les autres. Si la Shishibukai s'oppose à nous, tuez la... » « Barney-san ?! C'est Princesse Tulipe à l'appareil ! Vous êtes sûr qu'on doit tuer tout ces pauvres gens ? Je n'aime pas beaucoup le sang voyez-vous, et encore moins les morts, je trouve ça trop hideux ! Et puis mon papa préfère payer que tuer. »
« Princesse Tulipe ! Ne dévoilez pas mon identité secrète en communication Den-Den ! Vous mettez en péril la bonne marche de cet opération ! Et ces types là sont des Révolutionnaires endurcis, ils ne sont pas du genre à se laisser appâter par quelques Berrys, ils préfère de loin la mort que la rédemption. C'est d'ailleurs ce que nous devons leur offrir, pour le bien de la mission. »
« Mais heu ! J'aime pas les cadavres ! C'EST VRAIMENT PAS BEAU !!! »
« Hm... Hm... Ici Shaolin Rasé, le message est bien reçu, je me charge de capturer la cible rapidement, faites le ménage en attendant mon arrivée, je ne devrais plus tarder. Et évitez de mourir, votre réincarnation ne nous serait plus d'aucune utilité. »
La liaison escargophonique se coupa, laissant Barney avec ses nouvelles instructions, il était encore un peu abasourdi du comportement de « Princesse Tulipe » mais se rappela bien vite qu'après tout, ce n'était qu'une enfant pourrie gâté et que de tels caprices était donc compréhensible. L'ancien soldat se demanda alors pourquoi le père de cette gamine avait-il confié sa fille à la Marine alors qu'elle n'avait rien d'une combattante ni même du tacticienne. Deux hypothèses semblaient possible : le richissime homme d'affaires en avait plus qu'assez de supporter ce tourbillon enfantin et s'en était donc débarrassé, ou alors, il souhaitait remédier à son mauvais caractère en la confrontant à la dure vie des gardiens de la justice. Actuellement, le tavernier penchait plutôt pour la première solution, car après avoir entendu la crise de colère de cette petite princesse, il était persuadé que vivre avec cet enfant était un cauchemar.
L'ex Vice-Amiral rangea le Den-Den Mushi dans sa poche et se concentra sur la suite du plan, il s'était absenté du bar que depuis quelques minutes mais s'il continuait à tarder, leurs cibles se douteraient de quelque chose. Il était déjà bien étrange que ces Révolutionnaires n'aient pas encore quitté les lieux après le raid, certes peu efficace, de la Marine. N'importe quel idiot antigouvernemental ce serait enfuit après avoir vaincu un bataillon de soldats, mais ils restaient là, assis au bar à siroter leurs boissons en racontant l'histoire de leurs vies. C'était soit une marque de pure folie, soit d'une grande confiance en soi. Aussi Barney préféra-t-il jouer la sécurité en s'emparant silencieusement des quelques balles en Granit Marin qu'il avait conservé précieusement après sa mise à la retraite. On ne sait jamais, un barman peut toujours avoir quelques différents avec un maudits des eaux et dans ce genre de situations, mieux vaut être armé ! Il était temps maintenant de rejoindre les Révolutionnaires au bar et de leur plomber les ailes, le Gouvernement l'avait chargé de cette dernière mission avant de prendre sa retraite car il était originaire du Royaume de St Urea et que par conséquent, il connaissait suffisamment l'endroit pour aider les troupes de Marines venues reprendre l'île. Évidemment, tout ce qui le reliait à son rang de Vice-Amiral avait été « effacé » pour lui permettre de revenir tranquillement ici sans être directement repérer par les espions ennemis. S'il avait fait part de sa véritable identité à la Shishibukai en réalité, c'était pour ensuite lui expliquer quel mission on lui avait confié et lui demandait de jouer un rôle dans celle-ci. Le pouvoir d'une corsaire était toujours très utile pour ce genre d'opérations délicates et le fait qu'elle ait fait fuir la moitié des clients de la taverne avait été utile pour lui parler seul à seule. Malheureusement, il n'avait pas eu le temps de terminer que les Révolutionnaires étaient débarqués avec leur lot de catastrophe et d'ennuis. Mais à présent, c'était au tour du Gouvernement de mettre un peu de bordel dans ce bar, et foi de Barney, ça allait chauffer !
De retour au comptoir, il déposa le plateau de boissons aux clients en déclarant faire sa tournée dans le seul but d'endormir leurs soupçons. Il jeta alors un coup d'œil à travers les fenêtres de la taverne et aperçu la silhouette de « Shaolin Rasé », dissimulé derrière le tas de cadavres de la Marine, il était visiblement en train de prier pour eux. Ce type était vraiment fanatique de sa religion ! Heureusement que c'était un excellent homme de terrain. Barney n'aperçut pas la capricieuse gamine qui accompagnait le moine ce qui voulait certainement dire que le bouddhiste avait trouvé un moyen de l'éloigner un moment pour pouvoir agir sans qu'elle n'interfère. Les deux hommes n'auraient donc pas à se soucier d'elle pour la suite des opérations : tant mieux. Le regard du tavernier croisa celui du moine et ce dernier confirma le lancement de l'intervention d'un discret mouvement de tête. Dans la seconde qui suivit, le Marine saisit le fusil accroché juste en dessous du comptoir, l'arma avec une célérité déconcertante et le pointa droit sur sa première cible : Heihashi D. Shuuhei. L'action fut si rapide que personne, pas même lui, ne comprit ce qui arrivait avant que le coup de feu ne retentissent. La Shishibukai fut la plus vif à réagir, habitué à ce genre de situation dangereuse, elle choisit de mettre ses pouvoirs au service de la Marine et pétrifia la première personne qu'elle toucha : Dulzura Naciente. Ikkinetsu quant à lui, fut déséquilibré par la puissance du tir juste à côté de lui et tomba lamentablement de son tabouret. Barney plissa les yeux pour s'assurer que sa cible avait bel et bien un énorme trou ensanglanté dans le crâne. Mais il n'aperçut rien de tout ça. La tête d'Heihashi n'était pas parsemé de plomb et n'avait même pas explosé à l'impact, même si le tir était à bout portant. En fait, à la place d'une indescriptible boucherie de son visage, on pouvait apercevoir de l'électricité crépitant au dessus de son cou, comme si sa tête s'était transformé en foudre; et c'était le cas. Il y eut une demi-seconde de flottement, durant laquelle Shaolin Rasé défonça la porte, Nyaa s'apprêta à user à nouveau de ses pouvoirs et Barney comprit à quel type de pouvoir il avait à faire. Le temps passa alors d'un ralentit à une accélération où les agents du Gouvernement prirent l'avantage. Le tavernier sortit une balle en Kairouseki de sa poche et arma son fusil pour faire face au Logia qui aurait tôt fait de reprendre ses esprits mais la corsaire profita de son moment inattention pour figer Heihashi à son tour, juste au moment où il reprenait forme. Au même instant, Ikkinetsu se relevait pour agir mais le moine ne lui en laissa pas l'occasion, utilisant une technique de déplacement ultra-rapide, il se retrouva aussitôt derrière sa cible et l'assomma d'un coup vif et sec sur la nuque. L'alliance du Rokushiki et de l'art martial des Shaolin avait clos cet attaque surprise sur une intervention impressionnante du moine mais qu'aucun ennemi ne put admirer puisque chacun d'entre-eux avait été neutraliser. Barney posa son fusil sur le comptoir et s'apprêta à demander quelques explications à la Shishibukai dont l'aide avait été aussi efficace que surprenante. Mais il ne put jamais poser ses questions...
« TROUVE ! J'ai gagné, j'ai gagné Nichi-kun ! C'est à toi de me chercher mainte.... HA ! Un mort ! Un mort ! C'est horrible il est tout moche ! Beurk ! Beurk ! Je veux partir d'ici !! »
Visiblement la Princesse Tulipe n'avait pas attendu plus longtemps pour leur casser les pieds mais heureusement pour Barney et Nichiren ( le moine ), elle était arrivé après la bataille. Néanmoins, il fallait à présent s'occuper d'elle sinon il risquait une nouvelle crise de colère de cette fichue gosse et ça, le Vice-Amiral préférait vraiment éviter. Mais il n'eut pas besoin de s'occuper d'elle, son acolyte saisit le corps inconscient d'Ikkinetsu et le souleva de terre sans le moindre effort avant de répondre à la petite fille aux cheveux d'or.
« Bien joué Azelle-chan, mais avant de commencer une nouvelle partie de cache-cache, voudrais-tu bien m'accompagner jusqu'au navire ? Il faut que j'y emmène ce garçon, il n'est pas mort mais inconscient et puisque c'est un révolutionnaire, nous devons l'interroger. Tu verras, c'est un autre jeu encore plus amusant que le cache-cache ! »
« On va jouer à la belle au bois dormant ? Mais c'est un peu bizarre, car celui qui dort c'est un homme et il est trop moche pour que je le réveil avec mon baiser de princesse ! C'est toi qui va le faire Nichi-kun ? Deux garçons qui s'embrassent ! C'est étrange mais mignon. »
« Hm... Tu n'as pas vraiment compris les règles de ce jeu Azelle-chan, mais vient avec moi, je t'expliquerait sur le chemin. »
Sur ces mots, le Shaolin sortit de la taverne et s'aventura en direction des quais sans ce soucier des regards indécis qu'il soulevait. Derrière lui, une enfant sautillante et pleine de joie, ne le lâchait pas d'un pouce. Il était alors impossible pour quiconque voyant la scène, de deviner que Nichiren était en réalité, un apprenti agent du CP9...
Barney suivit du regard le duo improbable qui s'en allait, en se disant que l'appuie d'un homme de l'ombre, même apprenti, était un atout majeur. Grâce au moine, il n'avait pas eu besoin d'avoir recours aux capacités qui l'avait propulsé jusqu'au grade de Vice-Amiral, et c'était tant mieux pour lui. La voix de Nyaa l'interrompit dans ses réflexions et suscita chez lui un vif apaisement, apparemment les pouvoirs du fruit de l'amour avait un effet sur les hommes même si l'utilisateur ne le souhaitait pas.
« J'aimerai garder ces statues de pierres pour ma collection personnel. Je trouve qu'elles vont très bien ensemble, justement le couple que je recherchait tant. Vous n'avez pas l'intention de les détruire n'est-ce pas ? Évitez de me contrarier Barney-chan, je veux absolument ces deux pièces parmi ma galerie de statues »
« Si vous le désirez tant, je peux bien vous accorder ce caprice mais promettez moi qu'il est impossible d'inverser le processus de pétrification. »
« Je vous le promet Barney-chou »
Au fond de lui, le tavernier savait pertinemment qu'il agissait sans réfléchir mais que pouvait-il bien y faire ? Même pour un Amiral, les pouvoirs du fruit de l'amour étaient trop puissant pour garder l'esprit au clair, et Barney n'avait même pas atteint ce rang en une vie de service rendue à la Marine. Il était encore loin de pouvoir résister aux effets si subtiles de ce fruit. Et pour cause ! Il alla même jusqu'à monter chacune des statues dans la chambre qu'avait réservé la Shishibukai, simplement pour ses beaux yeux. Totalement sous l'emprise de son charme, il ne se doutait pas qu'elle le dupait royalement sans même qu'il se doute de quoi que ce soit ! Les pouvoirs de l'amour sont vraiment effrayants...
Spoiler:
[HRP] Je vous laisse vous débrouiller avec la suite, j'ai simplement quelques recommandations à faire pour garder un minimum de cohérence dans les rpg à l'avenir : Quand vous atterissez sur une île au mains des Révolutionnaires, évitez de faire débarquer des soldats du Gouvernement partout, après tout y'a pas des QG Marines sur chaque île de One Piece. Ça m'évitera d'inventer des histoires de missions secrètes pour reprendre l'île au main des Révolutionnaires simplement pour rattraper vos erreurs d'attentions ^^' En plus Nyaa avait déjà aborder le sujet au début du rpg... Enfin bref, pour ce qui est de Barney, je le laisse entre vos mains mais réfléchissez aux conséquences de vos actes, c'est tout de même un Vice-Amiral, bon il est sur le point de prendre sa retraite mais il reste au dessus de votre niveau et il est armé de Kairozeki alors jouez pas trop avec le feu hein Ikkinetsu, quant à toi, va falloir que tu fasse un lien entre ta situation actuelle et celle de ton prochain rpg bien sûr, et interdiction de tuer Nichiren ou Azelle, je tiens à garder ces deux pnj vivant, ils auront un autre rôle à jouer bien plus tard. Merci et bonne continuation. [HRP]
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Sujet: Re: La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki]
La Schichibukai au poing D'Amour ! [Pv. Ikki]
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