One Piece Seken
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 Le sommeil provoque la démence.

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Shiro Kuro



Shiro Kuro

♦ Messages : 8
♦ Date d'inscription : 08/12/2010


Feuille de personnage
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Le sommeil provoque la démence. _
MessageSujet: Le sommeil provoque la démence.   Le sommeil provoque la démence. I_icon_minitimeDim 12 Déc - 0:09

Shiro arriva tout en haut du filet et sauta la balustrade pour atterrir sur le pont de son nouveau navire. Il était un peu plus de midi et, après s'être reposé durant toute la matinée suite à l'effort demandé pour mettre le bateau à flots, il voulait maintenant regarder plus en détail sa nouvelle propriété.

On voyait clairement que tout avait été nettoyé par ses deux larbins, mais les marques de l'âge ne pouvaient être effacées. De-ci de-là, des planches du pont se soulevaient, des vis ressortaient et des trous béants apparaissaient dans le bois usé. Il était tout à fait évident qu'un charpentier (ou plutôt une dizaine) aurait été nécessaire pour remettre ce galion dans un état presque potable, mais cet aspect délabré et ancestral plaisait particulièrement à Shiro. Il n'aurait su dire pourquoi, mais il s'y sentait à son aise, comme si la noirceur de la vielle âme du bateau l'enveloppait dans son étreinte chaude et douce. De fait, le style terrifiant du navire était également tout à fait à son goût et lui procurait un immense sentiment de confort. Il s'approcha de la rambarde et remarqua le bois moisi qui la composait. Aussi, il sortit un des nombreux couteaux de sa ceinture et l'y enfonça. Immédiatement, le bois s'effrita et sa lame passa au travers comme elle l'aurait fait dans du beurre.

"Hé! Tu ne vas quand même pas me dire que tu as remis ce navire à la mer juste pour l'abimer encore plus? Franchement, ces jeunes... ils sont géants alors ils se croient tout permis!"

Ilia venait à peine de sortir des cabines et d'arriver sur le pont. Elle avait toujours cet air agréable et accueillant, prête à vous soutenir quoi que vous fassiez. Cela se sentait au son de sa voix pinçante.

"Ne me prends pas pour un gamin, j'ai vingt-six ans."

"Tu te moques de moi?"
s'étonna-t-elle en écarquillant les paupières. "Moi qui pensait que c'était seulement toutes ces cicatrices qui te vieillissaient... Mais en fait tu es plus vieux que moi! Tu agis tellement comme un gamin que c'est à peine crédible. Bon, peu importe, il y a plus urgent. Il semblerait que l'abruti qui a construit ce navire a oublié d'y mettre toilettes et douches."

"Parfait! Je n'aurai même pas à me demander si je veux me laver. Et puis, tu n'as qu'à pisser par dessus bord, ça nous distraira"

"Rhaa! Les pirates! Tous les mêmes!"
grogna-t-elle en tournant les talons vers l'intérieur du galion.

De nouveau seul, Shiro leva la tête et observa attentivement les voiles noires. Elles étaient rongées aux mites et déchirées à plusieurs endroits. Il eut également la joie de remarquer un pavillon accroché tout en haut du mât. Il avait certainement été peint par Agrid et Brom, aussi, il se félicita de les avoir forcé à le rejoindre. Poussé par une envie irrésistible, il sauta sur les cordages et grimpa comme un singe vers le poste de vigie. Du haut du mât, la vue sur l'océan était tout aussi magnifique que le panorama de l'île, mais c'était la sensation de dominer le monde qui lui procurait le plus de plaisir. Cependant, la plupart des bonheurs sont éphémères. Celui-là le fut d'autant plus que Shiro, enivré de son sentiment de puissance, utilisa par inadvertance son pouvoir et traversa le bois du mât. Maudissant cette malédiction, il tenta en vain de se rattraper à quelque chose, mais rien ne lui permit de ralentir sa chute. Voyant le sol s'approcher de plus en plus, il se prépara au choc car il était sûr que quatre vingt kilos tombés d'une telle hauteur ne laisseraient pas son pont indemne. Fort heureusement, il n'en fut rien car son agilité et sa rapidité hors norme le fit atterrir comme un chat
Si Shiro avait pris le temps d'observer la pièce dans laquelle il était tombé, il aurait pu remarquer que c'était celle où il avait combattu une petite armée de zombie le jour précédent et que les corps encore entiers ou presque avaient été soigneusement entreposés sur le flanc gauche. Il aurait pu également remarquer que la cale servait à présent de salle de rangement où étaient entreposées sa barque et des affaires en tout genre. Il aurait aussi vu la scène comique qu'affichaient Ilia et ses larbins, comme figés dans leur action: elle, tenait au-dessus de sa tête son fouet près à claquer, eux, levaient les bras pour se protéger et tous trois regardaient Shiro avec des yeux ronds et la bouche grande ouverte. En effet, ce dernier aurait pût remarquer tout ce qui était dans cette salle s'il n'avait pas atterri sur le tas de cadavres totalement usés que les sous-fifres s'apprêtaient à balancer à la mer sous l'insistance fouettante de leur maîtresse. L'un d'entre eux avait la cage thoracique explosée (les cadavres, pas les sous-fifres... pas encore du moins) et l'une de ses côtes avait transpercé l'épaule de Shiro qui commençait à perdre sa perception et à rentrer dans un état de sommeil avancé.

Dans le silence ambiant, son bâillement hystérique et terrifiant résonna si fort qu'il fut étonnant qu'aucun habitant de l'île ne l'entendit. Désormais esclave de sa folie, il sortit son couteau et déchiqueta joyeusement le tas de morts avec de grands gestes. L'instant d'après, il repéra la masse de corps entiers à sa gauche et se rua dessus, son pieux semblait être avancé… Mais stoppa son élan net en entendant la voix d'Ilia, désireuse de protéger ses cobayes:

"Mais arrête imbécile! Tu deviens fou ou quoi?!"

Il se retourna violemment et l'apercevant, se jeta sur elle lame courte en avant. Elma, Agrid et Brom eurent à peine le temps de se jeter au sol avant que la lame ne se plante dans le bois derrière eux. Terrifiés par le monstre devant leurs yeux, tous trois reculèrent à quatre pattes aussi vite qu'ils le purent et se retrouvèrent acculés contre la paroi. De par son regard et son sourire, Shiro semblait habité par un démon, et c'est pourquoi, lorsqu'il leva son couteau pour les démembrer, ils paraissaient sur le point de faire une crise cardiaque. Seulement quelques millimètres avant que la lame n'atteigne ses nouveaux compagnons effrayés et en sueur, il stoppa son mouvement. Il resta quelques secondes immobile en tremblant de tout son corps puis tomba à genoux. Il donna encore quelques coups de sabre dans le vide et se calma puis redevint lentement lucide. Déjà remise de ses émotions et maintenant certaine que Shiro avait retrouvé son état normal, comme quoi la dose de sommeil réduite provoque une démence sans nom chez ce jeune gamin… Ilia s'agenouilla et mesura son pouls.

"C'est pas croyable! Qu'est-ce que c'était que cet état bestial? Tu avais perdu la boule?"

"Ouais, si on veut. A chaque fois que je ressens de la fatigue"
, dit-il en montrant du doigt le cadavre responsable, "je perds le contrôle et je ne peux plus me retenir d'attaquer tout ce que je vois. Mais vous, j'ai fait un petit effort pour ne pas vous découper. Sinon, si je ne vous connaissais pas, je n'aurais pas pu me contrôler et vous seriez tous morts."

Il se leva et éclata d'un rire franc qui énerva encore plus la jeune femme.

"Tu n'as pas l'impression que tu devrais être soigné? Tu as failli nous tuer et ça te fait rire!"
"Comme si j'allais tuer mes alliés! Je ne suis pas fou, tu sais."
dit-il avant de remonter sur le pont en riant.

Le soleil était toujours aussi haut dans le ciel et il commençait à faire faim. Shiro pouvait encore naviguer sans douche et toilettes, mais il était hors de propos de quitter le quai sans provisions. Il informa donc ses compagnons de son intention d'aller au village chercher des vivres et voyant enfin sortir de la tête de son capitaine une idée lumineuse, Ilia décida de l'accompagner.

"Il vaudrait mieux éviter de se faire remarquer au village." suggéra cette dernière. Ils étaient descendus du galion et marchaient en direction du village, sur le chemin venant de la plage. "Les habitants ne sont pas vraiment dangereux mais ils n'aiment ni les pirates ni les bandits. S'ils apprennent que nous sommes de ce genre là, ils vont tout faire pour nous chasser et préserver leur quiétude. Je me doute que cela ne sera pas facile pour toi de passer inaperçu avec tes deux mètres je ne sais pas combien et une tête pareille, mais tant que tu ne casses rien et que tu ne tues personne, ils devraient nous laisser tranquilles. Mais! Qu'est-ce que..."

Ils venaient d'arriver à l'endroit précis où il avait tué la petite famille dont la fille lui avait servi de repas la veille. Les corps des parents avaient été déplacés, mais les grandes marques de sang étaient restées imprégnées dans le bois comme seul vestige du massacre qui avait eu lieu. Voyant le sourire que son capitaine affiché, Ilia décida de ne pas étendre le sujet et commença à se demander si elle avait bien fait de l'accompagner.

Peu avant l'entrée du village de l’île de Gaimon, des cris et un brouhaha se faisaient entendre. En entrant plus profondément, il remarquèrent que c'était le jour du marché. Plusieurs étals s'étaient installés dans la rue et les marchands criaient et vantaient leurs produits. Certains vendaient ce qu'ils disaient être de la viande de rois des mers, d'autres présentaient des objets venus des autres Blues. On aurait dit que tous les commerçants s'étaient réunis pour faire un concours de cris ou de nombre de clients. Ce qui marqua le plus Shiro était la bonne odeur de nourriture qui provenait du stand de la boucherie et c'était là-bas qu'ils devaient se rendre. Pourtant, à peine entrés dans le marché, il s'aperçut que les gens commençaient à se retourner et le regarder avec des yeux terrifiés ou méfiants. Il avait l'habitude que la populace le regarde fixement du fait de sa taille puisque aucun ne lui arrivait au niveau de l'épaule et beaucoup ne dépassaient même pas son coude, mais cette fois les habitants semblaient lui reprocher quelque chose de précis. En quelques instants, tout le vacarme s'était estompé pour laisser place à des chuchotements et des messes basses.

Tous les villageois avaient stoppé leurs activités et se tenaient maintenant à l'écart des deux nouveaux arrivants. Un homme d'un âge avancé se détacha du groupe, se rapprocha et leur parla d'une voix sévère bien que quelque peu intimidé par Shiro.

"Bonjour. Je me présente, je suis Georgio, le maire de ce village. J'aimerais savoir qui vous êtes et ce que vous venez faire ici."

Ilia lança à son capitaine un regard plus qu'éloquent. Aussi, celui-ci répondit:

"Je suis Shiro Kuro, un pirate. J'ai pris le bateau qui était sur la plage et maintenant je suis capitaine."

D'un grand désespoir, Ilia ferma les yeux et se frappa le front de la main droite en soupirant. Les chuchotements reprirent de plus belle après l'annonce de Shiro et beaucoup regardaient avec appréhension le sabre à sa ceinture. Lorsque le maire recommença à parler, ce fut avec un ton prudent:

"Je me dois de vous informer que vous n'êtes pas le bienvenu dans notre village. Nous ne traitons pas avec les pirates et nous ne voulons aucun ennui. Deux des nôtres ont été retrouvé morts tout récemment et le coupable n'a pas été retrouvé."

Il avait un regard soupçonneux, surtout envers les couteaux à la ceinture de Shiro. Celui-ci eut un sourire très équivoque qui confirma probablement les doutes du maire.

"Il serait préférable que vous partiez, étranger car quoi que vous cherchiez, vous ne le trouverai pas ici. Voyez-vous cette statue?" dit-il en levant le bras vers la statue juste à gauche de Shiro. "Elle représente la fondatrice de notre village. Grâce à elle, la paix a été préservée pendant des décennies sur notre île. Depuis sa mort, les maires se succèdent afin de perpétuer sa volonté. C'est un symbole pacifique pour nous. Elle nous rappelle que pour vivre dans une parfaite harmonie, il vaut mieux pour nous ne pas accepter les hors-la-loi. Vous pouvez rester sur la plage ou dans la montagne, mais nous ne vous accepterons pas dans nos quartiers."

Shiro s'approcha de la statue. S'il ne pouvait acheter de la nourriture dans ce village, c'était à cause d'elle. D'un geste lent mais puissant, il donna un coup latéral à la hauteur des chevilles de la statue. La roche se brisa et la jeune femme de pierre tomba tête en avant vers le sol où elle éclata. Des cris retentirent partout sur la place, des cris de protestations. Désormais, tous les habitants avaient une attitude hostile. L'un des marchands sortit un fusil et le pointa sur Shiro.

"Alors là mon gars, je ne vais pas te louper, crois-moi." puis, le dirigeant vers Ilia: "Toi aussi je te connais, tu es la foldingue qui habite dans le vieux manoir. Tu t'allies aux pirates maintenant?"

D'un geste vif, elle détacha son fouet et l'enroula autour de l'arme du commerçant. L'instant d'après, elle tenait en main ce magnifique fusil. Elle hésita un instant puis tira dans le mollet de son capitaine.

"Fais moi plaisir, perd le sens de la raison et occupe-toi d'eux. Pendant ce temps je vais chercher les vivres"

Visiblement satisfaite d'elle, elle entra dans un échoppe avec un sourire en coin. Pendant ce temps, Shiro se tenait la tête à deux mains et était pris d'un rire haletant et de tremblements. Tous les villageois reculèrent prudemment, mais le maire préféra tenir sa position. Dans un grand cri, Shiro lui empoigna la tête de sa main gauche et l'écrasa contre un mur; de sa main droite, il dégaina son armada de couteau avec son habituel rire hystérique. La plupart des habitants commencèrent à s'enfuir en courant lorsqu'ils le virent bondir vers eux, mais une partie d'entre eux resta dans l'espoir de le contrer. Trois hommes armés de bâtons s'interposèrent. Shhiro découpa le bras du premier d'un coup sec et envoya le second plusieurs mètres derrière avec un coup de poing massif. Il encaissa sans broncher le coup du troisième puis lui mordit violemment la nuque et, d'un mouvement de la tête, le lança sur le premier, qui regardait son moignon d'un air terrifié. Ils furent projetés sur un étal qui s'effondra en les ensevelissant. Shiro fondit sur celui qui était à terre et lui planta son sabre dans le cœur en tournant la lame. Dès cet instant, la totalité des villageois qui restaient prirent leurs jambes à leurs cous dans la plus grande panique. Shiro y vit là un jeu encore plus excitant et se mit en chasse.

Il rattrapa en un instant les premiers fuyards. Il en écrasa un au sol, égorgea trois femmes d'un même coup de sabre et donna un coup de pied au dernier qui traversa le mur en le détruisant. C'était le mur d'une taverne dans laquelle une vingtaine de personnes s'étaient réfugiées. Tous coururent vers le fond du bâtiment en le voyant arriver et se cachèrent derrière le bar. En courant vers eux, Shiro trancha de son sabre trois piliers qui soutenaient la charpente puis détruisit le mur du fond et sortit de la bâtisse. A peine fut-il sorti que celle-ci s'effondra entièrement sur ceux qui étaient à l'intérieur. Shiro avait attrapé l'un des villageois au passage et lui broya la nuque avec un grognement satisfait.

La rue dans laquelle il était maintenant contenait aussi plusieurs fuyards qui se dirigeaient vers une intersection au bout. Là-bas, deux hommes armés de fusils les guidaient. En voyant Shiro, ils le visèrent et tirèrent à plusieurs reprises. Il courut vers eux en se protégeant des balles grâce au cadavre dans ses mains, mais à quelques mètres de ses adversaires, une balle l'atteint à la cuisse et augmenta sa rage. Il jeta le corps sur l'un de ses ennemis et trancha le torse de l'autre avec sa lame. Il glissa ensuite ses mains dans la blessure et lui ouvrit violemment le thorax avec un rire dément. Il arracha une côte et la planta dans la gorge du premier qui se relevait. Plusieurs cris retentirent, ce qui indiqua à Shiro que ses futures victimes se cachaient derrière la fontaine. C'était une dizaine d'enfants avec celle qui devait être leur institutrice et qui les serrait le plus possible dans ses bras, espérant probablement les protéger tous. Le rire sadique d'une brute épaisse fut la dernière chose qu'ils entendirent de leur vie.

En parcourant le village à pleine vitesse, il rencontra deux autres groupes d'habitants qu'il décima sans aucune difficulté. Petit à petit, la douleur s'estompa et la fatigue commença à se faire sentir. Il retrouva la raison et, rengainant son sabre, il décida de retourner à l'endroit où il était arrivé. Pendant le trajet, il entendit au loin quelques cris lui indiquant que tous les villageois n'étaient pas morts puisque certains avaient pu s'enfuir. Lorsqu'il arriva à la place du marché maintenant dévastée, il trouva Ilia assise par terre et adossée contre le socle de la statue brisée, les mains derrière la tête. Elle avait réussi à remplir quatre gros sacs et l'attendait depuis.

"Alors? Tu t'es bien amusé?"

"Ouais, c'était sanglant. Cela excuse presque le coup que tu m’as tiré dans le mollet."


"Hola! Tout doux! Si j'ai fait ça, c'était pour t'aider, te motiver un peu si tu préfères. Tiens, attrape!" Elle lui envoya un morceau de viande crue que Shiro commença à manger, puis se releva. "J'ai réussi à en remplir quatre sacs, et avant que tu ne me le demande, non, il n'y a pas que de la viande crue. J'ai pris aussi une carte et un peu d'argent dans les caisses ou sur les cadavres. J'ai dû récupérer environ 200 000 B."

"Pourquoi tu n'es pas venu les tuer avec moi?"
interrogea Shiro en mâchant un morceau de viande.
"Le meurtre en lui-même ne m'intéresse pas. Je préfère la torture et la douleur. Tirer dans ta jambe était très jouissif par exemple." répondit-elle avec un sourire sadique.

Shiro éclata d'un rire bruyant, prit les quatre sacs sur ses épaules et retourna au navire en compagnie d'Ilia. Une fois à bord, ils levèrent l'ancre et prirent le large vers la prochaine île sans un seul regard vers celle qu'ils venaient de quitter.


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