Nom : Shimizu. Prénom : Chikako. Surnom : Magnéto ! Age : 21 Océans. Sexe : ♂ Lieu de Naissance : EastBlue

Camp : La piraterie ! Race : Humain. Métier : A voir.

Fruit Du démon / Arme d'exception : Fruit du magnétisme ! But / rêve : Massacrer le déchet putride, qui n'est d'autre que mon "père". L'intégration en tant que Shishibukai, serait aussi un de mes buts. Equipage : /

Je suis une brute, qui ne contrôle pas sa force, mon corps s'emplit de cicatrices dû à mon entraînement trop intense. Je ne prends plus soin de mon corps enfin je reste propre sur moi quand même. Mon corps c'est transformé, mes muscles ont doublé de volume, je suis devenu bien plus fort, j'ai réussi à exploiter toutes les facettes de mon pourvoir. Je suis une sorte de monstre, pas si horrible que ça, mais une bête qui ne réfléchit pas trop. Mes jambes, eux aussi, ont doublé de volume enfin ma force à décuplé. Mes uppercuts sont d'une puissance étonnantes, ainsi que toutes mes attaques de mes autres membres. Mes pieds sont dures à soulever donc ils me prennent beaucoup d'énergie quand je veux donner une volée, mais je reste rapide quand même. Mon pourvoir me donne des bonus. Je suis orné d'un manteau marron en cuire qui me tient chaud avec doublure intérieur en polaire. Je laisse une vue panoramique sur mon torse pour que l'on remarque mes abdominaux . Je laisse entrevoir mes cicatrises comme un trophée de combat. Je ne met rien sous mon manteau, car je craque mais T-shirt souvent lors d'un mouvement trop brusque. C'est pour cela que j'ai cette veste ample que ne moule pas mes muscles.

Je vous propose d'écouter une présentation de fait par le de lui-même: Je suis un brute exactement comme mon frère, c'est comme si son cerveau était corrompu par la haine.

J'ai un pantalon bleu enfin plutôt un jean que je serre d'une ceinture sinon il descend au bas de mes chevilles. Mais chaussure sont très solides, elles ressemblent beaucoup au Dr Martens. Et enfin je viens à mon visage, j'ai les yeux bleus, je ne suis pas d'origine chinoise, mais mes yeux sont très fin, mes sourcils sont fin et court me donnant un air batailleur. Mon nez est plutôt normal, il a juste, une petite bosse sur le dessus qui ne se voie presque pas. Il est petit, il est fin, j'ai du mal à décrire, mon nez, car je ne sais pas comment l'expliquer. Il n'est pas moche en tout cas. Ma bouche est charnue, elle se gerce facilement avec le froid, ma mâchoire est étroite, j'arrive à l'a déboîter à cause du nombre de coups que j'ai pris dans le combat contre mes adversaires. Mon visage est étiré, mes yeux mon nez, ma bouche, sont bien répartis sur ma figure. Mes cheveux sont raides comme du carton, je peux les mettre en pic sans mettre de la laque. Je me coiffe comme un hérisson. Ils sont bruns comme du chocolat, je préfère les laisser court, car pendant les combats les cheveux devant les yeux c'est gênant. Je porte beaucoup de cicatrice sur le corps, si je ne les montrerai pas tous, j'en ai une qui me traverse le sourcil, je me les fais en combat, un homme avec un couteau m'a touché l'oeil, j'ai eu de la chance, mon adversaire lui je les battus et envoyé chez le médecin pour se faire soigner. Et j'en ai une autre qui par un peu après l'oreille qui descend jusqu'au bas de mon coup mais celle-ci je ne me souviens plus trop, car j'ai fait tellement d'entrainement et de combat que de fois, c'était un médecin qui me soigner de mes blessures trop graves.

Je veux avoir un tatouage de l'équipage pirate auquel j'appartiendrais. Pas de percing, mais une boucle d'oreille simple un anneau plus précisément. Je mesure dans les deux mètres 20, je dois faire environ 160 kilos, mais mon poids est du, à ma musculature. On me juges souvent comme un homme gentil, attentif mais j'ai changé au fur et à mesure des années vous savez, il existe des têtes de premier de la classe, des têtes d'ahuri, des têtes à claques... mais moi je suis l'homme que l'on ne regarde pas dans les yeux, car mon regard fait penser à la mort. Je sais vous devez penser que j'exagère beaucoup, car je n'ai pas eu une enfance triste, mais la mort de mon frère a créé en moi une sorte de démon qui me hante. Dès que les gens me regardent, je fais un grand sourire signe de politesse. Les gens ne voient qu'une partie de ma terreur (mon regard), il pense que je ne suis qu'un simple pirate cherchant à faire une chose dans sa vie, mais avec se pourvoir qui me possède, je suis un bandit surnaturel. Je suis comme un singe qui essaye de vivre, avec un but, mes poings, mes bras sont plus gros que mon corps.



Je ne sais pas par où commencer, je suis une pile qui ne s'épuisera que lorsque mon rêve sera exhaussé. Je n'ai aucune pitié de mon adversaire. Je n'aime pas qu'une personne me dirige, à part mon futur capitaine bien sûr. Je cherche un sens à mon existence en essayent de trouver mon père, Je me moque totalement d'être riche, je veux juste être, sur le seuil normal, me nourrir, me loger. Peut être un jour cela changera ! Ma persévérance au combat et aussi grande que mon audace. Je peux faire n'importe quoi. Des choses démentes, horrible. Je suis polis envers les gens qui ne me dérangent pas,mais je peux , devenir grossier envers ce qu'ils ne sont pas. Je suis très chambreur, j'ai du mal à accepter la force d'un adversaire, s'il est plus fort que moi du moins c'est tout le contraire pour les faibles. Je déteste être suivi ou encore ceux qui veulent tout savoir sur ta vie. J'aime me défoulé sur mon adversaire, on me décrit comme une personne de violente, agressif. Je ne suis né que pour réaliser mon rêve, ça c'est mon opinion.

Rancunier je n'oublie jamais un affront. Je ne cherche pas le grand amour je le repousse même c'est comme la peste, cela te brise un homme. Je m'imagine mon monde à moi comme je veux l'imaginer. Voilà ce que je suis ! Désolé je vous ai donné ma personnalité, peut être mal formule, j'ai donné peut être trop d'information, j'ai tout craché, probablement trop confus, mais je ne peux pas faire mieux !





Nous voici sur planète divisée en quatre océans par un continent reliant les deux pôles et un océan équatorial, à la manière d'une croix. On y dénombre donc cinq océans : East Blue, North Blue, West Blue, South Blue et la « Route de tous les périls » (aussi appelée Grand Line), mais notre aventure, se passe précisément dans une prison de la marine, nous allons rencontrer un jeune homme nommé Chikako Shimizu (enfant de sage). Maintenant, nous allons rentrer dans son esprit et suivre sa vie, son passé, et son futur.

« He ! Oh , exclama une personne dans le noir : réveille toi ! »


Je ne savais pas où j'étais, la seule chose dont je me rappelais. C'est d'un homme qui me frappait par derrière. Je me réveillais dans une obscure chambre. Cela n'était pas une chambre plutôt une prison, Elle était très sombre. On pouvait remarquer qu'il y avait des lits pour un certain nombre de personnes. Il y avait cinq lits d'une place. Je perçus un nombre de sept prisonniers, tous installés soient sur leurs lits, soit sur une chaise ou bien sur un banc. Les murs étaient scalpés de gravure en tout genre. Des signes de divinations inconnus et plein d'autres encore que je ne saurai pas citer. Je n'avais jamais visité de prison mais en tout cas, c'était exactement comme dans mon imagination. Les mêmes caractéristiques, les mêmes odeurs : l'odeur de l'homme qui ne s'est pas lavé, de la transpiration. En passant la main sur mon thorax, je remarquais que je n'avais plus de vêtements. Un souffle me glaçait tous les membres. La clarté réapparut, quand le gardien ralluma la lumière. Je vis devant moi 5 à 6 personnes toutes vêtues de mes habits. Ils en avaient chacun une partie. Il y en avait un avec mon manteau, un autre avec mes chaussures, enfin au bout du compte, j'étais dénudé. Heureusement, ces taulards m'avaient laissé mon sous-vêtement. Je m'en sentais comme une pauvre bête à laquelle on enlevait sa fourrure, comme une poule que l'on déplumait. Je savais comment récupérer mes affaires mais je ne voulais pas mettre le désordre dans la cellule alors que je venais juste d'arriver. Je leur annonçais aimablement :

« Pourriez-vous me redonner mon accoutrement »dis-je d'un ton ferme.


Les détenus se mirent tous à rigoler. Je ne voulais pas les récupérer du fait que je résistais aux basses températures ; Je viens d'un pays très froid.
Tout à coup, un récidiviste dans le coin du cachot cria d'une voix rauque pour bien montrer sa présence :

«Raconte ton histoire gamin ! ».


Je fis un sourire en coin car mon histoire n'était pas très plausible, d'un autre coté si je leur racontais mon histoire, peut être, pourrais-je avoir mon déjeuner. Je pouvais résister au froid mais je ne pouvais pas ne pas manger pendant plus de 2 jours. Je leur imposais la problématique suivante :

« Je vous révèle mon histoire en échange d'un petit déjeuner. » La personne du fond accepta et rétorqua :
-Raconte nous ta vie morose, demi-portion. Ah ! En plus, il est infâme ce repas tu l'auras à la fin de ton histoire»


Je m'assis au centre du groupe pour commencer mon récit. Je me préparai pour énoncer mon histoire. Avant de partir dans le conte fantastique qui était le mien, je me raclais la gorge.

« Je n'aime pas vraiment raconter ma vie. Je ne suis pas très fier de mon passé. Je suis né dans une famille riche. La plus aisée de l'île, ma famille régnait sur l'île de Dread Town depuis des décennies, nous étions la dynastie Shimizu-Tobi. Nous n'étions pas sympathiques, ni généreux, ni aimables, bref toutes les caractéristiques pour nous définir comme des tyrans. Mes parents étaient assoiffés de haine, ils le devaient, sans doute à une enfance très dure. Mon père faisait parti, d'une sorte de Mafia, le doyen de la famille trainait avec toutes sortes de brutes, de mafieux, de trafiquants. Les spéculateurs échangeaient toutes sortes objets ( Or, Bijoux), et en contre-partie mon père leur donnait de l'alcool, de la drogue. Je n'ai jamais su d'où il se l'a procurait et puis de toute façon je m'en fichais complètement. Ma mère, je ne sais pas trop comment la définir, antipathique, maniaque. Une mère de famille qui voulait absolument que notre éducation soit suivie au pied de la lettre. Si nous sautions un échelon dans notre instruction, elle le faisait signaler. La femme au foyer n'hésitait pas à se servir de ses mains ou même de bâton. Elle prenait ce qui lui passait sous la main. Sauf que pour ma mère, le bon-dieu a eu pitié d'elle, le tout puissant ne voulais pas qu'elle vive. Elle est morte un matin sans raison enfin en tout cas je ne l'ai pas su sur le coup. J'en viens à mon frère, je dirais que c'est l'un des seul de ma famille que j'ai aimé. Je l'ai aimé comme un frère aime son frère mais malheureusement, mon père m'enlevait tous les biens que j'obtenais. »


Je fis une pause l'émotion commençait à venir, je ne revenais toujours de l'acte que j'avais fait. Une erreur de jeunesse. On pourrait classer cela comme ça mais moi non. La seul excuse que je me suis trouvée c'est qu'il était aveuglé par la méprise. L'un des taulards m'interrompit et dit :

« Et morpion continue ! Tu le veux ou pas ton déjeuner ?!? »


Je continuais mais je sentais vraiment une boule dans le ventre et mes yeux se mouiller.

« Où en étais-je ? Ah oui ! On était inséparables, pour jouer, pour manger, pour dormir, pour tout faire. À l'age de 13, c'est là que mon père commença à me prendre mon seul frère et en plus mon jumeau. Mon père et ses acolytes, faisaient des expériences sur mon frère. Ils le bourraient aux dopants, aux stimulants. Tous ces comprimés, étaient en fait pour lui décupler sa force, sa taille. À l'âge de 15, c'est là que mes doutes commencèrent à devenir réels. Je le voyais bien. C'était même aveuglant je ne faisais que 1 mètre 62 alors que lui mesurait déjà 2 mètres 20. Sa musculature était deux fois plus développée que la mienne. A l'âge de 15, c'est là que je décidais à fuguer car je n'avais pas de place dans cette famille. Je n'avais plus ma place dans la famille depuis la mort de ma mère. Je partis pas loin du château environ 10 à 15 kilomètres de la demeure de mon père. Je ne pris peu de chose, enfin de compte je pris surtout de l'argent et c'est tout. Je descendis au village pour prendre une arme, de la nourriture une couverture, enfin l'équipement de survie. Je rentrais dans une armurerie, quand j'y suis rentré, j'étais impressionné par le nombre incalculable d'épées, de lances. Dès que le vendeur me vit, il se cacha sous la table de son magasin. Je lui demandais pourquoi, il avait aussi peur, le brocanteur me répondit qu'il avait vu la même personne 3 semaines auparavant. Il avait tout détruit sur son passage en plus pour ne prendre qu'une simple épée. Je lui dis que je ne connaissais pas cet homme alors que je savais bien que c'étais mon frère et puis de toute façon les villageois ne m'avaient jamais vu dans le village. Je ne suis jamais descendu de ma maison. Je lui demandais se qu'il avait de plus puissante en arme de combat et il me sortit une épée magnifique. Il me disais qu'elle donnait un pouvoir mais il ne savait pas lequel. En tout cas, il fallait avoir une âme pure. Je la pris et passais à chaque magasin pour prendre ce dont j'avais besoin et à chaque fois,c'était la même chose que chez le vendeur d'armes. Mon frère était devenu la terreur de l'île. Je montais dans les hautes montagnes, dans la neige glaçée, je dus mettre environ 2 ou 3 jours à trouver la caverne idéale. Ce trou dans lequel j'allais passer beaucoup de temps. Ce repaire était d'une taille correcte, à l'intérieur , on pouvait voir quelques éboulements. Des grosses pierres ou bien des petites. Les grosses pourront me servir de table ou encore de chaise. Le cœur de la caverne était très froid. Quand je m'y serais installé, avec un bon feu de bois, la chaleur se réanimerait peu à peu. Les parois étaient légèrement humides avec de la mousse. Je serai protégé des intempéries. Je m'étais juré d'en sortir le jour où je serai assez fort pour vaincre mon père et récupérer mon jumeau. J'ai eu beaucoup de mal à m'habituer car je n'avais jamais fait la cuisine. Au bout de quelques jours de pratique, cela devenait plus facile. C'est là que je commençais mon périple : devenir plus fort. Je pratiquais différentes applications pour que mon corps soit plus résistant au froid mais ces exercices m'octroyaient énormément d'énergie. Je descendais rarement au village. Quand je descendais de la montagne, je ne revenais jamais les mains vides. La plus part du temps, je prenais une dose immense de viande et puis des légumes. Je les installais dans la neige avec du sel pour leur conservation. Je courais pour gravir le mont cela me faisait un échauffement. Je travaillais mon équilibre en superposant des pierres. Je devais concentrer toute mon énergie. Je ne vais pas vous raconter tous mes exercice. J'ai passé 2 ans et demi dans cette grotte. J'avais maintenant 17 ans et demi. J'y serais bien resté dans ma cabane de roche mais c'est mon paternel qui m'y a forcé à en sortir. Un matin je me suis retrouvé dans un pré. En me réveillant, j'ai vu devant moi, mon père et un monstre énorme au moins 3 mètres. J'ai eu le pressentiment que c'était mon jumeau. Il ne remarqua même pas que j'avais changé, que moi aussi j'avais grandi de taille et de musculature. Mon père donna une contrainte, si tu tues cette chose qui est ton frère, je te laisse partir toi mais comme je sais que tu es une mauviette, je me servirai de ton frère pour être un grand pirate et qui sait devenir le seigneur des pirates »


Je m'arrêtais sur cette phrase et une larme ruissela sur mon visage. Je ne me suis rendu compte que mon père n'aimait personne dans la famille. Peut-être ma mère et encore. Il utilisait mon frère comme arme de guerre et moi dans la même intention. L'idée de me battre contre un être avec lequel j'avais passé 13 années de ma vie, à jouer, à délirer. Je ne l'avais pas beaucoup vu entre 13 et 14 ans, il avait changé de compagnon : mon père. Je ne pouvais pas prétendre avoir un frère aussi laid et répugnant. Le même truand de la prison me relança une formule d'un ton désinvolte, je ne sais pas ce qui me prit mais mon poing lui arriva dans la figure comme un boulet de canon. Après cette incident, je me rassis et le prisonnier aussi sans dire un mot : peut-être la peur. Je continua de plus en plus triste.

«J'acceptai le défi et en sachant que je courrais à ma perte. Je n'avais que mon épée et rien d'autre. Mon entraînement n'avait servi à rien. Je me recroquevillais sur moi même. Ma fin était proche. Je le sentais ! À la surprise général, mon père annonça qu'il voulait en fait que le meilleur des deux gagne, il voulait devenir un maître pirate avec ses acolytes trafiquant en plus de ça, il voulait soit, moi soit mon frère et pas les deux car il savait bien que mon jumeau allait reprendre, ses esprits après que les effets du dopant se seraient dissipés donc pour cela, il indiqua qu'il voulait rendre le combat équitable, il donna à chacun de nous un fruit bizarre. Je ne connaissais pas ces babioles, je lui criai tout fort que je n'avais pas besoin de cette chose et il rigola si fort et si bêtement que tout le monde se mit à rigoler avec lui. Il m'en donna un à moi et à mon semblable. En nous offrant le fruit, il indiqua « Les Fruits du Démon sont des fruits mystiques qui donnent plusieurs aptitudes étranges et intéressantes à ceux qui les ont mangés. La capacité acquise dépend du fruit et de son type. »


Et nous donna une deuxième indication :

« Il fallait absolument le manger sans le recracher sinon les effets était nuls. »


J'avais tellement peur que ce soit une autre drogue au bien quelque que chose dans le genre. Il voulait être le meilleur mais jamais se salir les mains. Je le mangeais et c'est là que j'ai eu les pires douleurs de ma vie. Pendant un instant j'ai cru qu'un fluide me paralysait le corps de sorte que je ne puisse plus bouger. C'est là que mon père cria sur le camarade qui lui avait donné ces fruits. Il lui envoya une balle entre les deux yeux. Le trafiquant ne poussa pas un seul cri de douleur, on vit juste du sang gicler. Mon père regretta très vite son geste du fait que je me relevais quelques minutes après mon cauchemar. L'un des spéculateurs encore vivant hurla : battez-vous ! Je n'étais pas en état de me battre mon corps ne réagissait plus. Mon frère me donna un coup de poing d'une force de titan. Je fus projeté dix mètres plus loin. Mon nez saignait, dans la chute, ma tête buta contre une roche et mon arcade saigna. Vu que je ne me rehaussais pas, la brute en face de moi se croît déjà gagnante. Dans l'esprit de colère, je me relevai et je sortis mon sabre. Je me rappelais bien de la phrase du vendeur : Le détenteur de ce sabre doit avoir l'esprit pur. C'est la que mes exercices d'agilité me servirent, je fis le vide en moi. Je pris mon élan en courant et je donnai un coup de toutes mes forces dans le ventre de la bête mais rien ne se passa. Il toussota juste un ou deux coups et me renvoya valser dans les bruyères. Je me rendis compte que cette épée était tout simplement banale. Je continua, le combat tant bien que mal mais là une chose étrange arriva. En donnant un coup vers l'arrière avec le sabre, il se coupa à la cime, il ne me restai plus que le manche, sous le choc, je regardai le ventre de mon adversaire pour voir s'il n'y avait pas un bout de fer ou quoi que se soit. D'un seul coup en regardant mes mains, je les vis trembler. Sans me poser de questions, je fonçai sur le colosse et j'adressai un coup de poing de la main gauche dans ses abdominaux et là, une chose surnaturelle se déroula, j'eu une réaction soudaine en observant le résultat de la volée que je lui avait expédiée : je pensai tout de suite à la parole qu'avait dit mon père à propos des fruits du démon.

« Les Fruits du Démon sont des fruits mystiques qui donnent plusieurs aptitudes étranges et intéressantes à ceux qui les ont mangés. La capacité acquise dépend du fruit et de son type. ».


C'était donc la capacité de mon fruit du démon . Mon jumeau lui, avait un pouvoir tout aussi bizarre que le mien. Il le reflétait exactement : une brute qui ne réfléchit pas. Je portai des coup de la force que je pouvais donner car j'étais beaucoup affaibli. En tout cas le pouvoir de mon fruit du démon lui portait des coups énormes envers mon adversaire. La chose en face de moi, avait de plus en plus de mal à rester debout après chaque droite ou gauche que je lui envoyais. Le périple se termina, avec un de nous deux sur l'échafaud : c'est une façon de parler, ce que je voulais dire c'est que l'un de nous était mort. Et comme vous pouvez le constater. Je suis en vie donc...


Un des truands de la prison m'interrompit et dit :

« Comment est-il mort ?
-Je lui donnais un coup en pleine face, et je lui dévisageais sa belle apparence qui était la mienne. Il mourut sur le coup enfin presque il retomba sur la nuque, et sa colonne vertébrale céda.
-Oui, mais ça nous dit pas comment t'es arrivé ici ! Vociféra le vieillard
-Je suis d'accord. Par contre pourrais-je avoir mon déjeuner ? Et je vous raconterai la suite."


Le vieillard me donna ma part et j'entamai mon casse-croute.


J'amorçai la suite de mon périple la bouche pleine.

- Par la suite, j'essayais de rattraper mon père qui avait fui dès qu'il avait vu que mon jumeau était vraiment en difficultés. Il savait que j'étais devenu puissant avec ce fruit en plus de mon entraînement. Comme une mauviette, il partit si vite que je ne pus le rattraper. Par conséquent comme j'avais brisé le rêve de mon paternel, pour se venger, il appela la marine. Je mis du temps à apercevoir leurs bateaux et ils me capturèrent car il avait donné comme motif au chef marine que j'étais le tyran de l'île ; il soumit au QG que j'ai lui une terreur comme lui. Cela m'affecta beaucoup, ceci me donnait encore plus envie de le tuer, de le faire souffrir comme il aurait fait souffrir mon frère. Enfin de compte le navire, ils mirent bien deux à trois jours à arriver sur l'île. Quand je les virent débarquer dans le port, j'ai paniqué sur le coup, au fur et à mesure des chose, je réfléchissai, j'essayais de me mettre dans la peau des citoyens : ils étaient si pressés de me voir être pendu comme le seigneur des pirates. Pendant, ces deux à trois jours, je me suis remis de mon combat et ensuite, ils m'ont cherché. A vrai dire, je n'ai pas cherché la fuite, je compatissais avec les citoyens de l'île de Dread Town, du fait qu'ils avaient subi un très grand nombre d'horreurs. Et c'est donc comme cela que je suis arrivé avec vous camarades. - Pourquoi t'es tu laissé faire ? Revendiqua un pirate.
-Juste pour le bien du village. Dès qu'il virent mon arrestation. Des paysans étaient heureux croyant que j'étais la brute épaisse qu'était mon frère de son vivant et d'autres déçus du fait qu'ils savaient que j'étais le bon, le gentil dans cette affaire. Je vis au loin les trois vendeurs du village me faire des saluts au loin. En atteignant la proue du navire le capitaine marine me présenta à ses camarades et après … Plus rien, je me réveillai ici. »


Je finis ma phrase, et continuai à me morfondre petit à petit, je sanglotais. Des rivière coulaient le long de mes joue. Un condamné pleura lui aussi. J'essayais de sécher mes larmes et c'est la que j'ai voulu leur expliqua mon plan :

« Alors en faite mon rêve et mon but sont : retrouver mon père et le tuer et devenir un Shishibukai. »
Pour cela je devais improviser une combinaison pour pouvoir sortir de cette misère.

Je leurs dictai mon plan, il fallait qu'il soit respecter à la lettre sinon la mission serait compromise. Le voici :

« Il sera primordial de sortir de cette cellule, c'est évident ! Ensuite on devra se défendre. Pour cela, tous les gardes marines que l'on trouvera sur notre traversée, nous les dépouillerons de leurs vêtements et de leurs armes ainsi que nous devrons surveiller nos moindre faits et gestes. Nous devons être le plus prudent et discrets. La moindre erreurs nous serra fatal. J'en reviens au fait après avoir longé le couloir, il y a une porte qui donne sur l'arrière du bateau. Problème, c'est qu'il y a un nombre incalculable de marines. Aussi nous allons prendre en otage le capitaine ! »


Dictais-je si précisément qu'ils comprirent tous du premier coup, sauf un prisonnier peureux qui objecta :

- C'est de la folie !


Il s'aperçut bien vite qu'il était le seul qui n'acceptait pas le défi, je pense qu'il ne se rendait pas compte de la récompense à la fin : être libre ! Nous commençâmes à nous préparer pour l'expédition. Pour commencer, j'appelai le gardien, et lui envoyai un coup de poing dans l'abdomen. Il tomba raide comme un bâton. Je lui piquai la clef sur la ceinture et nous continuâmes notre traversée du couloir. Je dis bien à mes hommes de laisser un groupe de 3 hommes devant la porte et 4 autres avec moi pour prendre en otages le capitaine. Nous arrivâmes devant le cabinet du chef. Je fus surpris par le luxe de la pièce. Des statuettes anciennes, les murs était étaient d'une couleur resplendissante, le sol fait de marbre. Tous les atouts pour montrer sa fortune. Le commandant du bateau devait bien montré ses différences en vers ses figurants. Le bureau placé au milieu de la pièce, il n'y avait aucun autre meuble à part les bibliothèques qui ornaient les murs et qui venaient interférer le placement de la table des affaires du capitaine. Le bois des bibliothèques était verni d'une couche brillante qui donnait une impression de doré. La seul chose qui venait interférer le placement solitaire du bureau c'était bien sur une statut d'argent dédiée au capitaine du navire. La représentation du chef était recouverte principalement d'argent mais aussi d'or pour l'arme et le bouclier. J'ouvris la porte doucement sans aucun bruit. Par chance, il dormait, nous l'avons saisi. Moi et mes acolytes le ligotèrent pour qu'il ne puisse pas crier, ni bouger. Nous rejoignîmes le reste de la troupe. Je tenais bien le capitaine en joue. Nous sortîmes d'un bond avec le capitaine et je gueulai d'une voix rauque :

« Ne bouger ou c'est un homme mort ! »


Aucun des marines ne fit un geste. J'avais réfléchi à cette situation dès le moment ou j'avais annoncer mon plan. Je fus déçu car même si je me voyais gagnant face à ces marines, j'avais un risque de mourir aussi. Je leur annonçai :

« Partez, prenez la barque et attraper ceci, c'est un dial, je l'ai pris dans le bureau de mon père étant petit. Tapez dessus de toutes vos forces et collez le sur l'arrière du bateau et il servira de moteur. »


Les sept brigands partirent à toute vitesse. Tous me firent un salut ou juste un signe de la main. Celui qui avait pleuré durant le récit de ma vie, pleura là aussi. Ils partirent tous loin. Il ne mirent pas longtemps à quitter l'horizon. Je préférais les voir loin et sauf avant de lâcher le capitaine. Je le lâchai et il cria :

« Tuez-le ! »


Il me sautèrent tous dessus les uns après les autres alors je dus les combattre un par un. Mon pouvoir m'aida beaucoup. C'était comme dans une foire. Tout le monde était excité comme des puces. Les marines volaient de partout. A certain coup, j'avais du mal à me défendre mais je finis tout de même par m'en débarrasser. Je ne les tuais pas. Je les expulsais en dehors du navire jusqu'au derniers même le capitaine. Je récupérais le navire et continuais mon périple pour réaliser mon rêve.

Si c'est terminé je m'occupe de toi demain, pense à trouver un avatar d'ici là

Oué, c'est bon j'ai un avatar !

Voilà, j'ai terminé !

Tout ça m'a l'air beaucoup mieux


Bien joué Chikako, néanmoins le Fruit du Magnétisme est très puissant alors je préfère que tu l'obtiennes en rpg, ça me permettra aussi de vérifier si tu va continuer sur cette voie ou retourner au même niveau que ton ancienne présentation. Donc voilà, je te réserve ce FDD, à toi de montrer que tu le mérite dans le rpg !