Les enfers répondent présent !

Carte d'identité de Lucifer

Nom : Mystère.

Prénom : Mystère.

Surnom : Lucifer.
Age : Assez grand pour te tuer.

Sexe :
♂

Lieu de Naissance : Dans un patelin paumé.
Camp : La Marine.

Race : Supérieur à toi.

Métier : /
Fruit Du démon / Arme d'exception : Deux Flingues. Et surtout la peur.

But / rêve : Aucune motivation précise.

Equipage : /

Passons le à la loupe...

Des mensurations à la limite du ridicule (ou pas) !

A première vue, le physique de Lucifer se révèle être on ne peut plus banal. Prétendant avoir atteint 18 ans il y a quelques semaines, il donne l’impression d’avoir une bonne dizaine d’années de plus. Cette impression de vieillesse est sans doute dût à sa sous-nutrition importante. Cette nutrition alourdie les quelques traits de son visage. D'ailleurs ses caractéristiques physiques ne sont pas mirobolantes. 1 petit mètre 70 pour tout juste 47 kilos. Cette impression de vieillesse est d’ailleurs hautement accentuée par le fait que ces cheveux crasseux soit gris bleu. Ces mensurations sont on ne peut plus limite dans ce vaste monde peuplé de colosse venant du bout du monde. Cependant ces petits défauts physique sont atténués au vue de son incroyable endurance à l’effort, sa force quasi sur humaine stop d’ailleurs toute moquerie.

Si nous passons le corps de Lucifer à la loupe, de fine cicatrice sont omniprésentes sur son frêle corps de vagabond. Son visage d’allure simiesque possède des yeux vides, d’un blanc sans nom. Son regard pénètre n’importe quelle personne, et ce regard-ci vous trouble jusqu'à en devenir totalement fou. Le maigrichon, abuse souvent de ce regard d’ailleurs… Ce qui lui a valu un très grand nombre de bagarre au bistrot… En parlant de bistrot, Lucifer est un véritable amateur et connaisseur pour te ce qui touche au monde de l’alcool. Une haleine fétide, émise par une dentition pourri témoigne d’ailleurs de son amour infini pour le rhum et alcool en tout genre. Suite à cela, ses seules conversations se produisent à distance. Il faut environ un périmètre d’une dizaine de pieds pour ne pas tomber dans les vapes. En plus cette odeur d’alcool, je tiens à préciser que Lucifer est un fumeur, un fumeur de pure souche. Frôlant les 3 paquets par jour, on se demande à quoi doivent ressembler ces poumons…

Niveau allure, il est impossible de savoir s’il est en état d’ivresse ou en simple état. Cette allure d’ivrogne s’explique par quelques critères très simples : Une tête de déterré décore son visage environ 8 jours sur 7. Un corps penché et oscillant de gauche à droite et un charabia digne d’un autiste. Et pour finir, un filet de bave lui descendant jusqu’au torse. Notre héros est donc en permanence endormi, en combat ou non son attitude ne change pas, enfin pas pour le moment…

Pour conclure ce portrait nonchalant, venons-en à la tenue de Lucifer. Possédant une garde robe importante Lucifer à ce qu’on pourrait dire de nos jours : Le style. Cependant, aussi bizarre que cela semble paraitre, il est la plupart du temps torse nu. Seul le bas du corps est recouvert, je tiens à préciser qu’il considère un caleçon comme un vêtement, ne soyez donc pas choqué de le voir déambuler en ville en petite tenue… Une écharpe de satin recouvre son cou. Cette écharpe, est comme un symbole pour lui.

Le portrait psychologique d'un décalé.

Il est d’opinion on ne peut plus commune que Lucifer n’est pas grand-chose dans la crâne. Cependant, cette petite tête peut à tout instant sortir une idée proche d’un gars de 14 ans. De plus, un jour Lucifer a réussi à compter jusqu'à 127 sans s’arrêter ! Non, sérieusement bien que bête, il arrive à distinguer des choses certes simples mais utiles. Il peut faire la différence entre le bien et le mal, élaborer des stratégies foireuses certes mais l’idée est présente ! N’allez pas croire non plus qu’il reste « un type normal « car hormis la fait qu’il lui arrive de réfléchir, le reste du temps il le passe à faire le débile mental. Il fait apparaitre sur son visage des zygomatiques montant jusqu’aux oreilles, il ouvre les yeux, faisant croire qu’il s’est foutu des œufs dans les yeux ! Débile certes, mais contrairement à d’autres débile, Lucifer a contrairement à d’autres une conscience. Par exemple, jamais il ne pourrait violer ou frapper un individu sans défense. Il ne viole et frappe les femmes que si elles l’ont cherché… Malgré cela, il peut tout de même avoir une conversation avec un individu, cette conversation ne soulèvera pas des masses, mais elle aura l’honneur d’être quelque fois utile. D’autre part, son air d’ahuri s’efface lorsque la situation s’y prête. Dès lors il devient méconnaissable.

Même bête il possède les valeurs de la piraterie : Le courage, la volonté, la persévérance… et bien sûr la barbarie ! Le seul bémol, c’est que souvent, lors d’un de ces nombreux élans de courage, le corsaire brûle les étapes, il va directement droit au but. Aucune stratégie, que des coups de poings. Sa face simiesque s’en souvient d’ailleurs de ces nombreux combats au bar. Lucifer possède d’ailleurs une qualité qui sait le différencier des autres. Dès qu’il veut quelque chose, il fait tout pour l’obtenir, par n’importe quel moyen. C’est ce qui fait de lui : une personne hors du commun.

Autres points de vue de Lucifer , sur son bateau, il ne fait aucune distinction entre un homme et un autre, je m’explique. Selon lui, tout le monde est égaux. C’est même à se demander qui est vraiment le capitaine sur sa flotte. N’allez pas croire non plus que la zizanie est maître sur son bateau, il sait se faire respecter. Il peut même en venir aux mains si un membre de son équipage ne lui plait pas. Il peut lui arriver de frapper ses coéquipiers, mais il peut tout aussi bien risquer sa vie pour n’importe quels membres de son équipage, qu’il ne l’aime où ne l’aime pas, ses compagnons il les considère en quelques sortes comme ses frères d’armes. D’ailleurs son but ultime est d’emmener, lui et son équipage le plus loin possible dans ce vaste océan nommait le nouveau monde. Et pourquoi ne pas, rafler le titre de Seigneur des Pirates et trouver le fameux One Piece ? Simple folie, ou ambition envisageable ? Ses aventures nous le diront…

Tantôt débile mental, tantôt réfléchis Lucifer reste une personne bizarre. D'ailleurs ces discussions sont pour le moins déstabilisante...

WAAAZZAAAGAAAHHH, Boire sans soif et faire l'amour en tout temps, il n'y a que ça qui nous distingue des autres bêtes, BIDOUUU !

... Waouh quelle génie ce Lucifer !

Histoire Macabre du Croque-mort...

Connaissez vous la légende de Lucifer? Non? Tsss! Encore des blaireaux à massacrer. Je me sens d'humeur miséricordieuse ce soir, je vais vous conter mes bribes perdu avant de vous exécuter délicatement. Mon histoire commence sur un empire si ridicule qu'il ne répondait présent sur aucunes cartes. C'est pas triomphal certes, mais bon que voulez-vous on choisis pas. Ne me demandez pas pourquoi, mais il était puissamment aisée. Vous voulez de vraies justifications? Bruit de détonation. Vous les aurez enfin pour les survivants. Cette hameau était située vers le centre de South Blue et s'était rapidement développé dans le commerce en tout genre. Ainsi, cette région avait très rapidement prospéré. C'est ce que vous attendiez? Tant mieux, j'ai pas besoin de vous exploser une de vos articulations une seconde fois... Alors, donc... Voilà, j'ai naquis là-bas. Rien d'extravagant pour le moment, sauf que j'étais né dans les bas-quartiers de la ville, les ghettos quoi. Je peux vous certifier que c'était un endroit vraiment sympathique, puant la charogne et l'urine moisi. Je n'ai jamais eut le privilège de faire la connaissance de mes concepteurs. Fait semblant de verser une larme. Ce devait-être un machiavélique membre d'une mafia local qui s'était affranchi du bon temps avec une prostitué émo, ou même à la limite une de ces petites blondes que tu trouves la plupart du temps nu. Des gens bien sans doutes. Fait à nouveau semblant de verser une larme. Quoiqu'il en soit on m'abandonna à la porte d'un quartier bourgeois. Un homme adipeux au regard perfide qui passait par là décida de me prendre pour rejeton... C'était bien ma veine... Ce qui se passa ensuite est bien embarrassant à narrer. Le vieux m'éleva et m'envoya à l'institue, ce qui est une sorte de prison forcée pour mômes, où j'ai bien faillit devenir plus d'une fois déjanté. Prends un air de vainqueur. Quoiqu'il en soit je quittais cette école diplômé quoi y'a pas, bla bla bla. J'espère que vous comprenez le pourquoi de cette ellipse complétement inutile. Vous la comprenez, n'est-ce pas? Je n'allais tout de même pas raconter de telles inepties. Même si certaines mœurs plus invraisemblable qu'une légende me font Honneur, comme la grosse Vickie, ou plutôt le gros Vickie. Cette brute à qui j'ai déchiqueté la joue pulpeuse. Que de souvenir...

Le gros Vickie était le bourrin de l'école, pas très intelligente, mais aussi large qu'une combattante du nouveau monde nourrie aux anabolisants et stimulant en tout genre. Pourquoi cette comparaison? Bien que faisant 2 mètres carré, disons que le gros Vick était une fille, enfin plutôt un gars, ou non... Enfin je sais plus, personne n'a jamais regardé.... Ce ne peut pas être possible de faire près d'un mètre quatre-vingt dix-huit, pour près d'un mètre cinquante de large et de dire encore, que l'on est une femme. Elle me chapardait tout le temps mon fish and ship à la cantine, prenait place sur mes cuisses en cours, me fracassait régulièrement le crâne et elle à même essayé de me violer... Deux fois... Et puis une troisième... C'était dans un coin sombre et sale de l'établissement. Un lieu où les cafards avaient prospéré en grand nombre... Un lieu indescriptible tellement il est mauvais, qui n'avait pas été nettoyé depuis les fondations... Ce lieu terrifiant et glauque se nommait W.C. Autrement dit: Waterloo Catastrophique. Elle m'y avait coincé. Je tentais vainement de la fuir. Je me mouvais aussi vite que je le pouvais. Il y eut alors un coup bas, très bas... Un peu plus en haut des cuisses (entre). Près de la moitié des élèves me poussèrent vers elle. Elle m'attrapa et ce fut presque la fin pour moi. Elle me prit violemment et m'emmena en enfer. Une fois là-bas elle tenta de m'embrasser. Je sentais ma fin arrivé et, tel un animal blessé à mort, je fis un geste désespéré, mais pas si faux que ça. J'implantai mes canines dans sa chaire grasse, et lui arracha un morceau de joue. . Le point positif c'est qu'elle me relâcha. Je pus m'enfuir et prendre mon diplôme. Oui c'était le jour de la remise des diplômes, c'est pourquoi on ne me renvoya pas de l'établissement, j'étais partis bien avant. Pourquoi on ne m'a pas punit? Disons que le gros Vickie fut tellement horrifiée, qu'elle n'osa jamais plus de me nuire. C'était le bon temps. Même si j'aurais préféré éviter les multiples traumatismes mentales que j'ai subit. Après on s'étonne que je sois cinglé, non mais je vous jure.

Qu'est-ce que je fis ensuite déjà? C'est vrai, le petit gros qui m'élevait me forma à la chimie extrême. Que ce soit fabriquer des explosifs ou des stimulant, j'ai tout bachotait de lui et de ses manuscrits. C'était bien plus amusant et utile que l'école, il aurait put commencer par là. Vous comprenez enfin que si il était riche et avait pleins de servantes esclaves sexys, c'était à cause du fait qu'il était l'un des plus grands cerveaux récidivistes de l'île. Il avait besoin d'un assistant vraiment fiable. C'est pourquoi il éleva durement durant seize ans un gosse, une merde comme il disait si bien. Néanmoins depuis quelques années le gouvernement mondial était disons... Casse pieds... Après la guerre civile où nous l'empire si gentil n'avait presque rien fait n'avait rien fait. La marine s'était mis en tête de faire disparaître nos petits commerces traditionnels. Comme le marchand de bomba à retardement – C'était un amour celui-ci snif -, ou le livreur de sushis sans licence. Quoiqu'il en soit un jour, alors que j'allais sur une autre île pour une cargaison, spéciale, j'ai en effet été une mule à une époque, la marine a débarqué et a massacré le vieux. A mon plus grand bonheur Résultat, à moins de vingt ans je me retrouvais avec des millions de berrys, des dizaines d'esclaves et plusieurs résidences. Jusqu'à ce que ces sales rats gouvernementaux viennent piquer tout mon pognon. Ils disaient que c'était contre la loi. Tout aussi illégal que de voler l'argent d'un citoyen honnête! Au final, je me retrouvai dans un trois pièces dans le coin le moins riche de la ville. En gros je louais un appartement avec balcon dans un bidonville. C'était la déchéance totale. Heureusement je pus négocier avec la flore locale. En effet je rejoignis un réseau mafiosa comme n'importe lequel des mineurs de mon âge de cet endroit. On se faisait la guerre de façon stupide et inefficace depuis des années. Il était temps de troquer ces échanges de coups de feux en véritable bain de sang. Pour cela, rien de bien compliqué, il fallait de l'argent. Je réussis à convaincre les gars de me trouver du matériel pour faire un peu de ma drogue spéciale qui est très efficace. Les gens y deviennent très vite dépendants et les effets secondaires sont disons... Convenable... Grâce à ce marché nous pûmes entrer dans la compétition. Nous achetâmes de nouveaux membres, des armes et des ripoux en masses. Après quelques mois, nous avions fait du bidonville nôtre empire. Il faut bien le dire en grande partie grâce à moi. C'est pourquoi la pègre locale m'engagea. Je remplaçai l'ancien, le débris m'ayant élevé, je comptais donc m'en mettre plein les poches. Le mieux dans ce travail était que je ne pouvais pas être exposé au danger. Moi on me cachait et on me payait royalement. Après qu'ils inondent le marché de North Blue avec mes produit, j'en avais rien à faire. En effet j'avais enfin mes esclaves sexys et tout ce que je voulais. Une fois que j'aurais eu assez d'argent, je comptais adopter un môme, le mettre à la place et me tirer vite fait... Ce qui n'est pas arrivé à cause de ces ordures. Les chiens de la marine se sont ramenés et on tout décapé et j'ai du m'exiler. Cette fois-ci j'ai encore été un peu court, mais rien à carré. Je n'aime pas décrire la routine, c'est assommant à mourir, regardez. Nouvelle détonation. Vous voyez? Acquiescement général

Il n'y a rien de plus terrible que l'ennuie, si ce n'est les ennuis. Je me suis retrouvé avec des dizaines de marine collés aux fesses. Il n'y avait pas d'autre solutions que de partir très loin, dans un endroit où je ne pourrais pas être reconnu. Je n'avais pas le choix... Je partis pour un lieu glacial, mais ce ne fut le cas Je partis au contraire pour l'un des royaumes les plus arides de ce monde... Le royaume de Bulcalor (Royaume de le Chaleur), qui est un lieu réputé pour ses avancés scientifiques. Pourquoi aller là-bas? Je n'allais tout de même pas ne rien faire durant les quelques années, où je devrais me planquer. Pour châtier ce monde infâme, je devais déjà me perfectionner. Je comptais bien développer une puissance de combat de destruction massive pour détruire les marines, parce que je les aime pas, pas du tout. A ces fins, je réussis à partir avec une bonne partie de ma fortune sur cette îlot de légende. Une fois là-bas je me fis faire des faux-papiers tel un immigrés du désert, et je m'achetai une demeure avec des esclaves sexy à mes pieds. Après quoi je me mis à lire, à lire et à aller aux toilettes. Oui, je devais combler mon retard en matière de culture scientifiques... Je n'avais pas d'autres alternatives. C'est seulement en pratiquant cela que je pus réfléchir à comment me venger. Les marines étaient beaucoup plus puissants, plus riches et plus nombreux. Je ce dont j'avais besoin; une arme de destruction massive! Écroulement de rire dans l'assistance à cause de l'absurdité dite lors de la dernière phrase... Enchainé d'un cri désespéré de souffrance et d'un craquement glauque. Quelqu'un d'autre a envie de s'exprimer? Très bien. Pour arriver à créer une arme correcte je dus longtemps réfléchir à ce que je devrais faire. J'ai finalement résolu cette problématique en m'initiant aux arts martiaux. Cependant je ne les appris pas sur le moment même. Il me fallait d'abord développer un nouveau système d'arme de pointe, ou mieux encore mon corps serait mon arme. Enfin bref... Actuellement, on utilisait généralement de la poudre et des balles que l'on introduisait dans le canon. Le résultat étant que l'on ne pouvait tirer qu'un seul coup avant de devoir recharger péniblement. Je méditai longuement la question et j'eus une révélation en mangeant une boîte de pois chiche à la sauce harissa moisie!. Ce jour là mes chiens d'hommes étaient en congé désintoxication. La& conséquence fut la suivante, je dus me nourrir seul... Avec des gâteaux contre la péremption... Alors que je mangeais à l'aide de mes griffes me servant d'ongle, je me demandais pourquoi on conservait ainsi la nourriture. Elles étaient prêtes à l'emploie dès l'ouverture... Le saint-esprit me révéla la démarche à respecter. Si on peinait à recharger le poudre et les balles, le plus simple était de combiner les deux. En plus cela réduisait largement les problèmes d'obstruction liés à la poudre. Pour cela il fallait penser à quelque chose d'efficace pour les contenir et tirer. Je regardai alors mes conserves. Je pris donc une forme cylindrique pour faire des munitions de balles perforantes. Après quoi j'aboutis à créer un système prenant impulsion sur le recule qu'apportait le tir pour éjecter la culasse vide. Par la suite, je mis au point des magasins simples d'utilisation. Il ne manquait plus qu'une poudre à canon suffisamment puissante et des métaux assez robuste. J'avais besoin de composants... Je pris donc mes boîtes de conserves vides en aluminium pour créer un alliage avec d'autre métaux, une sorte de race de métal révolutionnaire! Je réussis à créer des pistolets assez lourds tout de même, malgré la contradiction de l'aluminium. C'était parfait, j'adorais cette sensation de toute puissance en tenant ces faucheurs... Même si je n'arrivais pas à les dégainer rapidement... Nouveau sentiment mal retenu et nouveau meurtre avec un Lucifer aspergée de sang

BON !!! Il fallait que je trouve un moyen efficace pour perfectionner mon corps. Au début je tentais subir des expériences à mon corps dans le but de m'endurcir, de prendre du poil de la bête... Il n'y eut rien de concluant et presque aucunes séquelles -Vomi-. Je ne trouvai pourtant pas de quoi me perfectionner à tel point de surpasser tout le monde. Malgré mes séances de musculation, je n'arrivais pas encore à pouvoir tirer longuement avec ces morceau de métaux fort utilité. C'est alors que. Bruit d'alarme et d'un Den Den Mushi. J'entendis la fameuse phrase tant attendue: « Rendez-vous! Vous êtes cernés! » Il n'y avait rien de bien d'extravagant dans ces paroles ferme, juste une touche d'humour. Cependant ces salops me forçaient à tout perdre à nouveau. Je réunis tout mon pognon et mes recherches dans une malle fermé à double tour. Je mis ma tenue spéciale costard cravate, et choppa un longboard surement appartenait il à un otage. Après quoi je descendis le bitume comme un professionnel surentrainé. Je slalomais entre les marines qui ne pouvaient pas me viser. J'avais une furieuse envi de les flinguer, mais le recul m'aurait trop ralentie à mon goût. Quoi?! Il me poursuivaient en moto? Mes chances de survie se réduisait. Je dirais 1 %, à moins que... Une forêt, c'était trop beau pour être vrai. Je fonçais dedans. Ce fut alors la course du siècle Johnny. L'otage nommé Johnny ne sait pas quoi répondre. Alors que je dévalais avec grâce et élégance un hors-route extrêmement difficile, les moto grondaient derrière moi. C'est alors que moi, le Magic Boy des années modernes, sortis un pistolet de mon slip et laissai tomber ses bâtons. Il y avait un ennemi sur la gauche, je le descendis en manquant de me prendre un chevreuil situé non loin sur le coté. Il y en avait d'autres... La seule solution était que je tire de deux cotés en même temps. C'est ainsi que le beautiful Boy, que je suis, se mit à tirer de façon frénétique entre les arbres une salve de vingt balles et cela messieurs dames c'est du grand art. A vous les studios Johnny Mort de PPDA Après cette course qui qui restera dans les anales, je pus partir de l'île en direction d'une autre où j'avais déjà des réservations pour devenir un vrai homme. C'était... L'île des Shinobi! Nouvel accent foireux dans le style Indo-Japonnais cette fois... Attention suite à d'étranges traitements reçus de mes maîtres je ne parlerai d'eux que durant cette histoire et d'une façon sérieuse et directe, sans tuer personnes. Soulagement général.

Je ne souhaitais qu'étudiait à devenir plus fort. Je pris donc pied dans le lieu le plus extraordinaire pour devenir un perfectionniste en art martiaux en tout genre. On m'accepta là-bas, et au vu de mon potentiel cinq maîtres voulurent m'enseigner. J'acceptai avec humilité cet incroyable destiné qui m'était promise. Ils me dirent où je devais me rendre, avant de me tirer et de faire régner la paix. Niark Niark...! Des serviteurs de ces érudits m'amenèrent sans autres bagages qu'un simple kimono devant un gigantesque escalier de bois de chêne. Il était alors au pied de la montagne dite céleste, et ces marches innombrables allaient me conduire à futurs mes maîtres. Je me mis donc à marcher ou plutôt courir tellement le stress était à son comble... Une à une, je montai les hautes marches grises d'un lieu à l'apparence antique. La pente était raide, il n'y avait nullement de rambardes et peu de lieux plats, la fatigue commençait à se faire sentir. Si je tombais, je ne mourrais pas. Pourtant dans mon esprit d'ados enfant, je m'inquiétai quelques peu pour ce que je risquais de subir là-haut. Je grimpai ces marches avec une lenteur appliquée et ne me décourageai pas, même trois heures après. Je n'étais pourtant même pas à la moitié... Ce chemin me conduisait vers le sommet de monts lointains, c'était en soit une épreuve des maîtres des lieux. Cela importait peu pour moi, qui ne souhaitais qu'une chose réussir et gagner en puissance. Je gardais courage, m'accrocha avec toutes mes tripes encore pleine d'énergie et n'atteignis enfin la fin que lorsque la nuit noir tombait. Mes jambes étaient de plombs, mes yeux n'étaient plus que des braises dans ses iris et mon esprit qu'une bouillie de question sans réponse. Pourtant, malgré ma vision trouble, je pus voir quatre fières silhouettes dans le lointain, avant d'enfin m'écrouler de fatigue. Je me réveillais sur une paillasse dure dans une pièce couverte de tatamis et entourée de portes coulissantes. J'entendais les bruits d'une nature sauvage et hostile. Une odeur me pris immédiatement au nez. C'était celle du riz que l'on avait finit de cuire. Je me levai donc, et frappai à l'un des portes avec politesse, avant de sortir de la pièce. Je tombai sur un immense couloir au parquet poussiéreux. Je marchai avec lenteur et difficulté à cause des courbatures qui me faisait souffrir. J'arrivai finalement sur la court d'un temple, et me rendis compte que l'odeur avait disparu, ce n'était donc pas le bon endroit. C'est alors que surgit dans l'ombre un vieil homme honorable à l'étrange barbe argenté. Celui-ci avait l'œil particulièrement dur et sévère et il me prit par le bras pour m'amener manger dans un domaine ténébreux. Il s'assit en compagnie des trois autres hommes à l'âge incertain mais homme d'il y à fort longtemps en tout cas. Le jeune homme que j'étais; fut comme intimidait face à la stature de ces anciens. On discernait sans difficulté la musculature sèche de chacun d'entre eux, et leurs regards avaient quelque chose d'indéfinissable et de rugueux. Une réplique accablante me réveilla et me fit manger silencieusement et poliment.

Après quoi, on m'isola avec le vieil homme à la barbe d'argent. Il me demanda de redescendre et de remonter ces marches. Je ne bronchai pas et m'exécutai. Je mis des heures pour arriver à mon point de départ et à remonter avec difficulté chez ceux qui allait faire mon apprentissage rude. Lorsque je fus de retour dans un état d'anéantissement aussi grand qu'hier, si ce n'est plus. Le vieil homme se saisit de moi, et me jeta de l'eau froide cette eau, il me semblait qu'elle atteignait le froid du zéro absolue.- Atchaa- Malgré la souffrance, j'obéis et me changeai pour dîner. Après quoi, je ne pus me reposer tellement la souffrance et la sensation d'être brûlant me dévoraient. Le lendemain bien heureusement, on ne me demanda que de nettoyer les parquets poussiéreux de tout le dojo sacré. Je découvris alors que c'était un immense temple, et que je devait travailler durant bien des jours avant de le rendre propre à nouveau, je devais le restauré entièrement au péril de ma vie comme l'avait confié l'autre vieux. Après quoi, on continua de me donner des tâches rabaisssantes sans intérêts majeurs, si ce n'est de m'épuiser. Puis, on m'ordonna de recommencer à monter et descendre les escaliers qui menaient eu temple. J'étais tout autant épuisé, mais j'avais aussi mis beaucoup moins de temps cette fois-ci, et je compris que ma confiance en mes maîtres était récompensée, enfin. Je continuai de m'entraîner de cette étrange façon durant une année. Ils ne souhaitaient pas stopper la croissance de mon potentiel en me musclant de manière intensive et barbaresque, ils comptaient juste améliorer mon endurance et mes autres capacité pas à pas. En même temps, les maîtres me faisait lire de nombreux ouvrages dans des langues étrangères et m'enseignaient ce que tout à chacun devrait savoir, c'est à dire à respirer pleinement, à méditer ou encore à éclaircir ses pensés pleine de sagesse. Quoiqu'il en soit, les conséquences de cet entraînement, autre qu'une totale rénovation du temple, des quelques centaines de milliers de marches ou du jardin bien entretenu, furent la création d'un jeune guerrier a la musculature sèche et à la grand endurance. Il était temps pour moi de véritablement apprendre. Chaque maître avait son élément, sa force et sa technique. Le premier était d'acier et avait cette étrange barbe argentée, il était maître de kenjutsu. Le second était d'eau et avait cet étrange regard perçant, il était maître de ninjutsu. Le troisième était de bois et avait cet étrange force inébranlable, il était maître du bujutsu ancien qui se pratiquait sans armes. Le dernier était de feu et avait cet étrange rictus, il était maître des armes à feu.

Il fallait en premier lieu que je choisisse parmi ces quatre hommes celui qui serait son principal maître. J'avais peu à peu apprit à les connaître eux et leurs arts. C'est pourquoi, je choisis la voie du bois et du feu en même temps, ce qui fut à mon outrage accepté sans plainte, j'y étais prêt. j'allai donc habiter dans la chambre de mes 2 maître une semaine l'un une semaine l'autre. Quel programme hors-norme. Il s'en suivit d'un terrible entraînement. Le tout premier fut le plus incroyable. Mon maître me fit voir un mouvement parfaitement exécuté, et m'ordonna de le refaire une centaine de fois correctement. A chaque erreur, je me prenais un coup de manche et devais tout recommencer. Au début ce fut un exercice très carré et difficile, je ne positionnais pas bien les épaules ou bien j'étais trop tendu. Je recommençai encore et encore. Au bout d'un temps, je réussis à satisfaire mon maître, je me relâchai et recommençai alors. C'est ainsi, que du début du matin à la fin du soir je m'exerçai. J'avais l'habitude maintenant de ce genre d'entraînement des temps passés. Certes, ils étaient vieux et inutiles sur de nombreux points, mais à la fin de cette journée le mouvement était sans reproche. Le lendemain, je devais lever une fois de plus ma force vers les cieux, mais cette fois-ci entravé par un poids, j'échouai... Les jours suivants, je recommençai, mais à chaque fois le poids semblait rester le même, et le résultat le même. Finalement après sept jours calomnieux, je réussis. Ainsi se passa mon premier entraînement. La suite fut toute aussi épuisante. Chaque jour se devait d'apporter un élément de réponse à la voie poursuivie. Que ce soit par l'apprentissage des armes, du ninjutsu ou de divers arts martiaux ou bien l'entraînement au tir. Chaque chose avait un but, une action sur le diamant à tailler. L'esprit se fait à l'image du corps, et le corps à l'image de l'esprit. En poussant ainsi ce jeune disciple chaque jour un peu plus dans ses retranchements, mon âme et mon corps se mirent à croitre comme elle se le devait. De chaque chose j'appris les qualités et les défauts et forgeant en mon corps un style unique, je sentis que le temps était venu de voir le dernier maître.

Il était au sommet de la montagne, dans une caverne taillé par aux fils des saisons. Malgré les apparences sa solide bâtisse avait comme entrée une sorte de palais impérial. L'air y était sec, ni trop chaud, ni trop froid, somme toute c'était le lieu idéal des méditations. Lorsque je le rencontrai, je fus immédiatement subjugué par ce sage. Oui, ce débris souriant respirait une santé spirituelle incroyable. C'était un maître apparemment bouddhiste du zen, et il avait pour tâche d'aiguiser la lame forgée par une dizaine d'années d'apprentissage. Pour cela, il en revint aux bases, l'essence même de ceci. Il réapprit à méditer à ce fier guerrier, ce qui m'agaça profondément dans un premier temps. Cependant la patience est l'une des six qualités bouddhiques, et je l'avais apprise tout au long de ces années, tout cela pour plus tard parvenir à mes fins. Après un temps, je compris le pourquoi de tout ceci. Il fallait que j'apprenne à prendre contrôle d'un corps durci par la douleur et la difficulté. Il fallait que je réapprenne à me connaître, à marche et à sentir. Pour arriver à cette fin, je me mis à imiter ce maître. Je ne me nourrissais que du nécessaire. J'allais chasser le lièvre-serpent dans la montagne et cueillais des baies. De cette vie frugale j'appris le grand cycle de la vie. Non pas de la réincarnation, mais de la vie. L'univers était nôtre, une immense masse d'énergie. Toute la matière n'était qu'une représentation de cette énergie cosmique, il était donc normal de tuer avec raison, mais il était inadmissible de tuer par envie. Il fallait rejeter la mort, mais ne pas l'ignorer. C'est ainsi que compris l'un des enseignements de l'existence. Mon cœur m'avait apprit l'honneur, mes maîtres m'avaient permis de me connaître et de m'améliorer, pour finir la nature m'avait enseigné les vraies lois. Pourtant, ce n'était pas suffisant. Le vieux mystique passa à un niveau supérieur, le fait d'ignorer la réalité, afin de mieux se concentrer. Il fallait pour cela s'oublier de vivre, il fallait fermer tout ses cavités d'énergies de façon adéquate. Oui, rien ne devait rester, pas même la trompeuse souffrance. C'est seulement ainsi que l'on peut réellement-être lucide. Les émotions doivent alors disparaître devant la raison de l'individu, et l'individu disparaître devant le néant fécond d'où jaillit toutes inspirations. Après ces quelques mois passés dans ces lieux seins et empestant la sagesse, j'étais prêt à retrouver mon ancienne vie. J'agis avec respect et déférence avec mes maîtres lors du départ, je les remerciai pour ces quelques années passées avec eux. Puis je redescendis ces nostalgiques marches pour arriver bien plus tard tout en bas, où m'attendait un homme de mon auquel j'avais envoyé un message par escargophone quelques jours avant mon départ de ce lieu riche et prospère de connaissances.

Non, mais vous croyez vraiment que j'ai appris quoique ce soit à part comment trucider? Ben même si c'est écrit c'est totalement faux. En fait, cette partie n'est pas de moi, promis. Je l'avoue ce sont mes maîtres qui l'ont écrite à ma place. Je ne pouvais pas refuser deux pages comme cela, où je n'avais rien à faire. Et puis je montre que je peux soit-disant faire varier mon style. Bon je reprends, le gars qui était venu me chercher était un camion qui me mena à un ferry pour retourner voguer dans les océans aux profondeurs abyssales. Vous ne me croyez pas? Seule la marine à le pouvoir de le faire par le Calm Belt? Vous avez raison et cela m'énerve. Mort d'une énième personne... Il y avait pas mal d'otages vous ne trouvez pas? Au final qu'allais-je pouvoir bien foutre de ma vie? Je n'avais plus rien, non plus rien. Il n'y avait donc pas d'autres alternatives que de me venger de la marine, que dis-je? Du monde! Avant toutes choses, je réussi à corrompre un navire du gouvernement, avec tout mon argent. Vrais pleurs. N'ayant plus rien une fois arrivé en East Blue, je n'eus d'autre choix que de voler une boîte de pois chiche à la sauce Harissa... Sanglote...

Bon quoiqu'il en soit ce fut une bonne chose. On m'attrapa et on me jeta en cellule avec toutes mes affaires. Ils ne se rendaient pas vraiment compte de ce que j'étais. Là-bas je rencontrais un gars nommé San Cristobal. On a pas mal discuter tout les deux et on s'est mis d'accord sur un point: On en avait marre de rester dans un si mauvais hôtel, même si il était gratuit. La taule je lui mets moins une étoile à cause des pois chiche mais bon, je leur enlève 4 pour le lit pas confortable du tout. Bon, en gros je sortis mes flingues et je défonçais la porte. Après quoi on destroya humblement les gardes et on passa en clandestin sur un rafiot. Une fois sur une autre île on s'est rapproché d'une jeune fille nommée Nami je crois. Enfin bon, on a réussit à la corrompre assez pour qu'elle nous aide à massacrer son équipage, à voler son navire et à rendre esclaves les autres. Tout est bien qui finit bien. Même si je n'ai plus d'argent, plus de maisons au bord d'un lagon, ni d'esclaves sexys... Et pis merde! Non tout se finit mal, je suis obligé de devenir pirate pour aller me venger du monde. Tiens pour la peine je vais créer une organisation puissante pour aller conquérir le monde... Ouais cela sonne trop bien franchement! Bon maintenant faîtes de beaux rêves les gars. Désolé si c'est votre navire, mais maintenant il faut faire de beaux cauchemars à cause du Faucheur, croque-mort, enfin bref ce que vous voulez. Faites de beaux rêves. Tout le monde meurt et Lucifer rit

Spoiler:

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Présentation bouclée ! Enjoy !

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Pour commencer, il te faut un avatar sous quoi on ne pourra pas te valider.

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Fait !

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Bonjour Lucifer^^

Voici comme dit sur la box, la notation de ta fiche!

La qualité du texte sur 8/10

L'originalité 2/2
La mise en page 1.5/2
La cohérence du récit 1.5/2
La narration 1.5/2
L'avis personnel 1.5/2

Le respect du français 8.5/10

Le vocabulaire 1.5/2
La grammaire 1.5/2
L'orthographe 1.5/2
La conjugaison 2/2
La ponctuation 2/2

La quantité du récit 6/6

~~2 points pour le minimum demandé.~~
~~4 points pour une longueur moyenne.~~
6 points pour une grande longueur.

Points bonus 4/6

~~2 points si votre présentation est plus faible que la moyenne.~~
4 points si votre présentation est égale à la moyenne.
~~6 points si votre présentation est supérieur à la moyenne.~~

Score final 26.5/32

26.5 / 32 * 15 = 12.421875, soit un niveau 13!

Que dire précisément de ta fiche, elle est looooooooooongue, mais elle est bien fondé, donc rien à dire là-dessus!

Pas trop de fautes dans l'ensemble, juste un peu de trop de répétitions du même mot dans la même phrase, à surveiller, les synonymes sont là pour t'aider^^

En dehors de ça, ton fruit ne peut actuellement pas t'être accordé, alors tu commences sans rien et on verra comment la situation évoluera et si c'est bon pour toi, tu pourras le gagner in rp! Après avoir lu ton histoire, je penses que la marine serait pour toi en fait une planque, vu que tu veux tant les détruire, tu te laisse devenir leur compagnon pour mieux les détruire de l'intérieur! Comme tu n'en as pas parlé dans ton histoire, j'aimerais un petit complément, dans lequel tu m'expliqueras comment tu y es rentrés et comment tu obtiens ton grade d'Adjudant qui seras ton grade par rapport à ton niveau!

Voilà, après ça, tu seras officiellement validé!

Have Fun!

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Pour le fruit, je vais réfléchir. Je te redis donc tout sa ce soir.

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Up ! Je décide de me reconvertir sur le fruit d'exception qui n'ait d'autre que le paramécia de la peur ! Plus deux flingues !

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Ohayo Lucifer!

Comme tu as demandé à attendre le fruit des pattes, tu seras donc validé sans fruit!

Mais avant ça, il te manque toujours la chose que je t'avais demandé, j'aimerais que tu post à la suite, ta rentrée dans la marine et ton ascension au poste d'Adjudant, afin de voir le côté infiltration et 'marine' de ton personnage, car même si c'est pour mieux la détruire, tu agis selon les ordres!

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Désolé du double post!

Après discussion avec Lucifer, il fera son entrée dans la marine en rp flash back!

Ainsi, tu es Validé, Marine de niveau 13 sans fruit du démon, mais tu en acquérir un en rp!

Topic locké et déplacé!

Bon rp et Have Fun!

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