T oujours dans mon périple de dingue. Je continuais à me perdre, on va dire, je ne savais pas où, je me situais, où j'allais. Après avoir accosté sur une berge à moitié accessible. J'arrivai enfin sur terre, pour conquérir de nouveau territoire. En levant la tête, je ne vis rien sur le coup, enfin si des arbres. La seule chose que je pouvais dire pour l'instant : c'est que je me situais dans une forêt flamboyante au premier plan, cependant en regardant au second plan, je ne vis rien à part du noir.

J e m'aventurai dans les bois, au fur et à mesure que je pénétrais, j'avais une impression de peur en revanche, je n'avais pas peur de là à m'enfuir mais plutôt des frissons. La forêt était sombre par endroit : l'ombre des arbres reflétaient des géants et les branches, leurs milliers de bras. C'est comme si, ils voulaient tous te sauter dessus. Il y avait d'autres arbres mais mort. Leurs troncs étaient séchaient pourris, bouffés par les termites, les cloportes. Et il y avait des trous : des faisceaux de lumière transperçaient le haut des arbres. Comme il avait plu, les couleurs étaient magnifique : arc en ciel, toutes les couleurs, cela me faisait tout de suite oublier les ombres des arbres. Cela faisait bien une bonne heure que je marchais dans les bois. Je slalomais entre les arbre lorsque je tombais sur une place vide avec un caverne géante. Je trouvai ça vraiment bizarre car j'avais marché pendant plus d'une heure et là je me trouve dans un espace vide sans aucuns arbres pour me gêner. En fait, j'avais tellement regardé, le paysage, les couleurs de la nature que je ne m'aperçus pas que j'étais arriver devant une parois rocheuse. Tout bien réfléchi, je décidai, de ne pas aller plus loin, il s'ouvrait à moi deux possibilités, faire demi-tour sachant que la nuit tombait, et la deuxième possibilités: camper pour la nuit. Je choisis la première : faire demi-tour. Je voulais continuer mon histoire, accoster sur une île habitée. Je commençais mon départ, même si je pris le temps de prendre ma pause. Par malheur, une averses se mit à tomber. Alors je rentrai dans la caverne pour m'abriter. Cela me faisais beaucoup penser à mon séjour dans la caverne sur mon île. Elle était semblable. Sauf l'odeur, elle n'avait pas l'odeur de d'eau croupie mais plutôt d'herbe pourrie, ainsi que la roche n'était pas du tout du même type, j'aurais dis du granite dur. Le temps que je contemple, mon ancienne demeure (pas la même exactement), la pluie avait cessé.

E n sortant, je sentis derrière moi une respiration forcée. Je n'eus pas le temps de me retourner que la chose me courra après. Je stoppai ma course pour voir quel animal me traquait. Je n'osais pas me retourner, mais je le fis quand même, terrifier, j'aperçus dernière moi un primate géant qui n'avait pas l'air content. Il était si immense, si terrifiant. Sa musculature était comparable à la mienne, il ne valait mieux pas se prendre une droite de sa part. Il était de couleur marron mais très foncé. Ces empreintes de pieds, faisaient le double de ma taille, si sa force était proportionnelle à sa taille alors je devais faire vraiment attention. Il chargea un premier fois, je l'esquivai en courant. Je contre-attaquai avec ma force de brut, je lui décimai une droite dans le ventre. Il fit un pas de côté car mon poing avait été envoyé avec une force de titan. Comme je le pensais, cela ne suffisait pas pour le battre. A chaque fois, il essayait de me toucher, sans résultat car si je me faisais touché, je savais que cela serait fatal pour moi. Vu que mes poings ne servirent pas à le mettre or d'état de nuire. Je pris un tronc d'arbre d'environ deux mètres. Quand, je le pris pour la première, je sentais dans mes mains,les échardes les transperçaient. Mes mouvement étaient moins fluides du fait que le poids de ma nouvelle arme était important. Tout en l'esquivant, je lui adressait des coups de bâton.

P lus le combat avançait, plus il tournait à mon avantages, le macaque était parsemé de coups. La bataille commençait depuis assez longtemps, il fallait absolument en finir si je voulais pas que ça tourne à mon désavantage. Je devais innover une stratégie de combat. En réfléchissant bien, ça pouvait le faire, Je devais faire diversion et lui envoyer un coup dans le crâne, ce que je n'avais pas fait auparavant, je n'avais juste réussi à toucher tous les membre antérieurs à sa tête. Je devais donc me séparais de mon bout de bois. Je le lançai derrière lui. Il tomba dans mon piège, il ne prit pas attention à moi mais plutôt au morceau de bois. Dans l'élan, je courus si vite pour pouvoir lancer mon ultime attaque. Je sautai à sa hauteur, et je lui lançai un coup de poing vif dans le visage. Il tomba raide sur le sol. Je continuai à l'enchainer même au sol. C'était mon seul issu possible. Je m'arrêtai de le frapper. Je ne vis pas grand chose de son visage. Je ne voyais que du sang et de la boue sur sa figure. Quand, je aperçus sa tête, par peur qu'il se réveil, je m'enfuis dans la même direction qu'à l'aller. Je mis bien plus de temps au retour, j'étais exténué par un combat titanesque. Il avait qu'en même réussi à me touché une fois le salaud. Je ne sentais plus mes côtes, Les couleurs avaient disparu, c'était le clair obscur. La forêt était sombre et le ciel éclairait par la pleine lune. En arrivant, au bateau, je m'écroulai dedans ensuite je mis le voile comme je pus et je partis sur l'océan comme je suis arrivé seul et faible. Au loin j'entendais, le gorille criait de souffrance. Je crois bien que c'est mon premier combat gagné ! J'étais tellement heureux, juste l'histoire de me dire que j'ai survécu à l'attaque d'un primate géant me faisait rougir même si j'étais mal en point, je continuerais à me battre même je dois mourir et si je mourrais au combat ça montrera que je suis toujours faible !