Après quelques aventures éprouvantes, je continuais mon chemin, j'écrivais mon histoire : chaque aventures, chaque combats étaient un sortes de chapitre. Si la mort, venait stopper mon récit cela voudrait dire que c'est bel et bien, ma fin à moi. Peut être un récit inachevé, en tout cas il y aura une fin qu'il laissera un suspens, en fin de compte, on ne sera jamais la fin.

Je voguais tout seul sur la mer. Pendant ces périples, je ne faisais que dormir, manger : je m'emmerdais ! J'essayais de préparer de bon petit plats sur mon radeau mais cela m'étais vraiment difficile, je n'avais qu'un simple réchaud. Je cuisais ma viande, je l'assaisonnais comme il fallait, et la première bouchait le rêve :
Ohh, Chikako sort de ton rêve ! Je me rendis compte que se n'était qu'un rêve ! Je n'avais pas de réchaud, ni de viande à cuir, J'avais horriblement fin. Vivement la prochaine escale !

Je commençais à me rendormir, je pensais à mes nouveaux pouvoirs et en même temps a mon frère qui ne vivait plus aujourd'hui. Quand, j'y pense ce fruit est vraiment bizarre, je sais pas, il me rend plus fort peu-être mais tout de même : c'est un fruit du démon quand, je repense à celui de mon frère, j'en ai le sourire au lèvre, un Zoan hideux. Plus j'y repense, plus je me revois le manger, ce goût horrible : tout ce que je déteste : Je sentais le goût de la viande pourrie, avec des légumes qui étaient en cours de décompositions, des laitages écaillés. En bref, je mangais une poubelle, le gens ne se rendent pas compte, il n'ont jamais mangé de déchets. C'est cette sensation que j'avais dans la bouche. Ça c'est la phase 1, ensuite tu as la sensation de la mort. Des milliers de couteaux te transpercent, le corps comme si tu étais une cible et que des milliers de personnes te tirent dessus juste pour le plaisir : la fête foraine, et c'est moi l'attraction principale ! Le pire, je pense que c'est le dernier cri, le coteau de la fin, il te transperce le corps littéralement. Après la phase de 2, c'est la phase 3, évident ! Je pense que cela c'est la pire car les deux dernières étapes ton prient toutes tes forces donc tu es faible. Tu n'arrive pas à te relever, tu essayes mais sans aucun résultat. Tes forces te reviennent petit à petit. Le problème, c'est que tu croîs qu'il sont revenues alors que, il y a juste une partie, tu te relèves et voilà tu n'as plus de forces. Il faut attendre le bon moment pour se lever. C'est très compliqué à vivre cette situation en plus moi quand je les vécue, j'étais en combat alors t'imagine. Cela vaut le coup quand même, après t'as un pouvoir génial, et tu es trop fort !

J'ai schématisé en gros voilà; c'est dure à expliquer ! Je ne veux pas revivre cette sensation une second fois. Je comprends pourquoi, on appelle ça un fruit du démon, on veut nous donner un avant goût, des enfers ! Je crois que je deviens barge.

Ce fruit du démon me permet de faire des choses pas mal, je peux attirer les objets métalliques et les repoussaient, je peut les imprégner sur mon corps : je contrôle le magnétisme ! Je deviens de plus en plus fort ! Mon rêve pourra peut-être se réaliser : je ferais tout pour qu'il se réalise ! Et j'ai quelques idées d'innovations de mon nouveau pouvoir.



Pendant que je rêvais, la Terre continuait de tourner, le monde continuait de vivre. Lorsque je dormais, je ne n'avais pas vu qu'un navire de la marine s'approchait de mon bateau. Il naviguait seul sur l'océan, comme, le bateau était de la marine, il devait faire régner l'ordre. Mon bateau était une dépouille volée dans un port. De loin, on pourrait porter confusion à un bateau de naufragé. Je commençais à paniquer, je n'étais qu'un simple pirate novice. Il fallait que je garde la tête sur mais épaule, je l'avais bien fait une fois ! Zut ! Ce n'ai pas le bon dicton : jamais deux sens trois ! Mais je ne l'ai fait que 1 fois ! Je devais le refaire envahir le bateau de la marine. Je ne voudrais pas aller en prison de le début de mon histoire. Je devais combattre, pour sauver ma peau. J'avais innové de nouvelles techniques. Je devais rester concentré sur chaque mouvements, sur chaque gestes de quiconque, plus le navire approchait, plus j'avais une boule dans le ventre. La caravelle s'arrêta juste devant moi et un des marines me rétorqua :




Je lui répondis avec insolemment :




Un autre marine dit :




Le capitaine du navire pointa le bout de son nez et répondit à un de ses marines.




C'est sur cette phrase que la horde de marines se rua sur le bord du navire et se mirent à tirer. Je devais me battre maintenant ! J'arrêtai leurs balles avec mon pouvoir ! Je leur renvoyèrent, je fis pareille avec les canons sauf que je ne visais pas les marines mais la coque du bateau. Je ne visais pas très bien. Je ne m'appliquais pas assez. Ils continuaient à me tirer dessus : c'est un jeu de fléchette, et c'est moi la cible ! Un canon me touchai, pas moi mais mon bateau, je ne devais pas tomber dans l'eau sinon je suis perdu. Je me construisis un planche avec des objets métalliques que je fis léviter, ils continuaient à me canarder. Je m'élançai pour arriver sur le bateau de la marine. Je fis un bond de géant et j'arrivai dans le milieu du navire. J'étais en rûte. Je n'avais pas encore pris un seul coup. Je leur piquais toutes leurs armes métalliques pour m'en servirent au combats. Au moment où, je pensais ne pas prendre un coup, un marine plus fort que les autres m'envoyai un coup de poing : le capitaine, je ne le vis pas sur le coup car il avait enlevé son drap blanc qui le ornait. J'essayais de le toucher avec les armes que j'avais aimanté avec mon fruit mais il était vraiment très rapide. J'avais plusieurs option qui s'ouvrait devant moi : combattre d'abord le capitaine et finir par les marines ou le contraire sachant que, si je choisissais la première solution, le capitaine viendrait interférer pour défendre ses marines. La première me paressais la meilleure. Je continuais sur ma lancée et je combattais le chef. Pour cela, j'innovai une nouvelle attaque : Je m'assemblai une épée et un bouclier proportionnelle à ma taille, sachant que je fais les deux mètres vingt alors imaginez la taille, L'épée avait un belle forme ainsi que mon bouclier. Je lui décimai un coup mais il l'évita. Il n'avait que ses mains pour se battre car son sabre, son armes, toutes son artilleries, je l'avais absorbé pour en faire mon arme. Je commençais à m'épuiser, j'étais peut-être une brute mais l'épée était vraiment lourde. Il continuait à esquiver, je devais porter le coup fatal. Je lui envoyai un coup avec mon glaive dans le ventre, il tomba raide sur le sol, l'impact avait été violent, surtout qu'il avait été décimé dans son ventre. Il se releva, je fis surpris par sa ténacité, un sort de lumière sorti de ses bottes, après cette lumière, plus rien, je ne le vis faire un geste. Il bougea si vite que je ne peux parer son attaque, il décima, une rafale de coup de poings, de pieds, de tête : avec toutes les parties de son corps. Je fis tellement surpris. C'était imparable ! Je crachai de sang ! Je tombai par terre, je croyais que je n'allais pas me relever, je sentais mes cotes brisées, je ne sentais plus mon bras gauche non plus, la salaud, il avait réussi son coup. Il rétorqua :




Je fis un sourire et je me mis à rire. Je savais qu'il était fort mais pas plus fort que moi. Je lui lança :




En y repensant j'y suis peut-être aller un peu fort en disant ça. Il était si choqué quand je lui annonçai mon rêve ! Son teint changea tout de suite, et il me répliqua :




Il ne comprit pas se qu'il lui arriva dans la seconde, ou il sortit sa réplique. Je lui adressa un coup fatal dans la tête avec mon épée. Il voltigea en dehors du navire. Pendant son petit vol, je lançai mon épée et je la fis éclater en miette : je fis tirer les canons et les fusils qui ornaient mon glaive. Les balles le tapèrent de plein fouet. Avec ceci, il n'y reviendra pas de si tôt.


Maintenant que j'ai fait le plus dure, je dois en finir, mais j'ai les cotes cassées ainsi que le bras gauche cela va être dure. Je fis expulsé les marine un par un, j'essayais de leur adressais un coup mortel à chaque fois. Ils étaient si nombreux que je ni voyais pas la fin, au bout de deux bonnes heures, je finis, le bouleau, je devais reprendre ma route vers d'autres horizon, je reconstruisis un bateau avec le bois du navire marine. J'avais de grave lésions, je ne pouvais me déplaçais sereinement, je boitais, difficile de naviguer, pour cela j'avais conçu mon bateau, pour pouvoir faire la moins de mouvements possibles, j'utilisais mon pouvoir pour barrer, changer de voile, j'avais orné tous les équipements de mon bateau de métaux. Avant de partir, je pris des provisions(moi qui avais faim) ensuite,je fis couler le bateau, et je partis seul comme un ermite. Je devais absolument faire une escale pour réparer mes blessures. Mon prochain but : me soigner !