Je faisais escale sur une île inconnue, enfin pour moi, je ne suis pas navigateur, je ne connais que très peu la carte du monde! Sauf que cette fois-ci, je ne sais pas ce qui c'est passé mais dès que j'ai posé le premier pied sur le pontons du port, une personne me sauta dessus et il m'envoya une droite dans la figure. Je tomba par terre, je ne compris pas du tout ce sursaut d'humeur. J'étais peut-être moche grand et fort mais je ne pense pas que ça vaut la peine de me cogner dès mon arrivé. Je ne vis pas le jour pendant plus de vingt minute, je ne voyais même pas mon adversaire ! Lorsque je recevais un coup, je tombais par terre, je n'avais pas le temps de me relever. Je ne savais pas quoi faire ! J'étais perdu ! Je devais riposter ! La seule riposte que j'ai pu faire c'est rien en fait ! Je pense que cet assaut soudain n'étais que une bêtise ! Un délire, c'était peut-être ça mais en tout cas je me suis fait laminé, par une personne que je ne pourrais pas revoir car je n'ai pas peu voir une seule fois son visage donc se sera plutôt quand lui me reverra !
Il prit mon bateau, tout mes rations, mes armes ! J'étais dépouillé ! Je crois que j'ai passé plus de deux jours sur le quai, les passants me voyaient mais ils ne disaient rien, je pense qu'ils avaient peur de moi ! Je me réveillai faible, je me trainais, je devais me soigner, je dus marcher au moins pendant deux heures dans la ville, avec mes blessures, j'en avais une qui me faisais horriblement mal j'avais l'impression quel s'ouvrait de plus en plus dès que je marchais. Je finis mon escapade dans un petite rue. Je ne vis pas le nom, ni les marchands qui disposaient dans cette rue. Après cette vision, je ne me rappelais de rien comme un trou noir, vous savais quand on a bu trop de Saké ou de rhum et bas c'est la même sensation ! Et je me réanimai dans une sorte d'usine, au premier coup d'œil, je vis que le plafond, des poutres de fer ornaient la structure de la pièce. Ensuite, je jetai un coup d'œil, dans toute l'usine. Je vis des outils, des sacs de poudre, et une cheminée qui avait un foyer brûlait comme un feu de forêt. Je me relevais de mon lit qui n'étais qu'une chariote de paille, je vis à mon chevet, un repas chaud avec une boisson, je crois que c'était du thé, quelle personne, pouvais être aussi, généreuse? Et comme à t-elle fait pour me transporter ! Je commençais à me rassasier, lorsque une personne arriva dans l'usine, je m'arrêtai de manger ! Une grand personnage, se posa devant moi. L'homme dit d'un ton sec :


Je vis une personne plutôt âgée, j'aurais dit 70 ans, musclé, beaucoup de brulures. Je ne savais pas quoi dire j'étais époustouflé par sa taille, je crois même qu'il était plus grand que moi. Je lui répondit poliment :


Il me dit :


Je me levai, je fis à peine un pat, je fis une chute magistrale. Il me rétorqua :


Je ne savais pas quoi lui répondre en fait je me sentais si ridicule devant lui !


Il rigola, et m'annonça :


J'étais si gêné, je ne pouvais ne pas accepter cette proposition ! Il redit encore un truc :


Je commençais, mon apprentissage le jour même. Le premier jours, le vieux m'apprit toute les mots de vocabulaire. Le chasse à parer ! Pour aider le forgeron à former sa pièce. L' enclume, la tenaille, étirage, tranche est une sorte de burin fixé à l'extrémité d'un manche. Elle permet de couper le métal. Et aussi Poinçonnage et bigornage. Il y en a pleins d'autres mais ce sont les principal. J'apprenais au fur et à mesure, j'étais au début juste un arpette. Au bout d'une semaine travaille, je devenais important pour le vieil homme, Je faisais les tâches difficiles, cela pendant, deux semaines, et je crois que cette quatrième semaines était la meilleur. Le vieil homme travaillait le matin, puis je finissais l'après midi, je commençais à me plaire vraiment dans cette branche de métier. La cinquième semaine, elle était banale à par qu'un marine, et venu faire un commande et là, j'ai vraiment cru qu'il m'avait reconnu que j'étais un pirate, il dit au vieillard :


La pression retomba, il ne me reconnaissait pas et là le vieillard dit une phrase qui me toucha beaucoup :

« Votre commande n'a pas été faite par moi, mais par ce jeune homme ! »

Le marine fut choqué et ne dit rien, il dit juste un mot dans l'oreille du vieil homme, il paya et parti.

Mon patron ne me dit rien sur le message du marine, je m'en fichais un peu à vrai dire. Je continuais à l'aider pendant trois à quatre mois, il n'avait presque plus besoin de travailler, je faisais tout les armes, le ménage, tout ! Le vieillard m'avait demandé d'aller chercher du minerai dans la mine située dans la montagne. Je le fis, j'allais dans la montagne, et je mis environ une semaine pour y arriver, j'arrivai à la mine, je fis m'a commande et je redescendis de la montagne avec cinq sacs de minerai. En revenant, j'entrai dans l'usine et je vis une épée magnifique, j'en avait jamais vu de si belle, je crois qu'elle m'avait tapé dans l'œil. Le vieillard entra dans la pièce et me dit :


Je ne savais pas quoi dire, une épée : elle était à ma taille, il avait même fait la housse pour la protéger qu'en elle me servait pas, On fit la fête, le soir mais il avait raison, je devais continuais ma route, je parti le lendemain matin, sur son bateau qu'il m'offrit car il savait qu'il ne servirait plus, cet événement, m'a appris beaucoup de truc, on peut compter que sur certaines personnes, et maintenant, je connais le métier de forgeron.

Je repartais seul comme toujours mais mon prochain but et de trouver un capitaine, d'avoir un équipage, et je ferais de ce capitaine : le seigneur des pirates !