J'avais maintenant un super-pouvoir comme disent les civils. Je suis maintenant, un semi-homme, poison, je dois maintenant contrôler mon pouvoir sous toute ses facettesque ce soit de façon abstraite ou pas. Il y avait tellement de façon de contrôler ce fruit. Je pense qu'un fruit du démon ce modèle en fonction des caractères de son possesseur. Sachant que je suis un brute qui ne réfléchit pas (j'ai lu ça dans le journal). Les personnes pensent qu'avoir un fruit du démon s'avère facile, je ne prendrais pas cette chance comme une faciliter, mais plutôt comme un bonus qui a un malus au bout. Je rappelle quand même que je ne peux pas nager, je suis une enclume sous l'eau. Cependant, en échange de cette malédiction, j'obtiens des pourvoir surnaturels.
Je m'étais posé un peu. Après avoir saccagé le champ de bataille entre les marines et les pirates, j'avais vraiment envie de souffler. Je ne prenais pas totalement de repos car, je suis venu sur l'île la plus proche du cataclysme (pirates vs marines). Je m'y suis installé. En arrivant, je vis un trou, entre terre et forêt. Cette parcelle d'herbe haute comme il fallait pour faire un bon matelas naturelle. Je sentais que j'allais me sentir bien. Je devais m'entrainer dur et sans relâche pour pouvoir un jour connaître tous les secrets de ma puissance. Je m'installai confortablement. Je ne pouvais pas faire de tente, ma taille était contraignante. Je dormais à la belle étoile. Pour dormir tranquille, je faisais un roue de poison autour de moi. La première nuit fût si agréable, j'avais envie de rester coucher toute la matinée, j'avais une quête de connaissance, à approfondir. J'avais organisé mon entrainement comme un planning mais, dans ma tête, le matin footing et l'après-midi : le plus éprouvant : l'innovation. Je courrais environ trois heures, je courrais dans toute la forêt, cette promenade active avait pour but : trouver un gibier pour le diner. La matinée fût éprouvante, je mis plus de temps que je pouvais penser à chasser, le gibier. Lors de mon diner, je me fis accompagné par une petite bête innocente. Un tout petit oiseau bleu, le bec noir et patte incluse. Le bas du ventre qui vire au blanc. Les yeux aussi noir que les ténèbres. Il n'avait pas peur de moi ! Il monta sur mon épaule droite et me piqua un bout de mon pain et s'envola sur la branche d'un arbre à proximité. Une phrase me passadans la tête :
« Vole vole déploie tes ailes
Aigle majestueux aux portes du soleil
De tes serres puissantes
De ton regard perçant
Toutes les forces des airs
Communiquent au vent
Enfant des cieux
Père précieux
Apporte-moi les joyaux de ce monde
Guide mon âme vagabonde »
Je délire complètement, la solitude est l'attaque le plus difficile à parer. Je reste dans la solitude. En restant dans mes pensées :
« Être fort ce n'est pas ne pas tomber, mais savoir se révéler quand on tombe. »
Une petite larme, tomba de mon visage, un couple, c'est comme un combat, c'est une quête qui dure, toute la vie, enfin il faut essayer, Le plus dur c'est la chute. J'aimerais plus être seul. Mon cas est caricatural car, je suis la grosse brute qui ne réfléchit pas, qui pense qu'à taper, qu'à devenir plus puissant. Même si c'est mon cas, aujourd'hui pour la première fois, je me dis :
« Pourquoi n'ai-je pas épousé une femme avec des enfants »
Je sortis de mes pensées languide et triste, le moment de mélancolie était passé. Maintenant c'est le moment de devenir plus fort pour montrer au monde qui est Chikako Shimizu ! Je me contredis en disant cette phrase avec ce que j'ai dis avant mais, juste un compagnon me ferai du bien.
Je finis mon repas et je commençai à dire mes formules pour permettre de faire de jolis choses avec mon pouvoir. Je pris l'une de mes deux mains, je vociférai de ma grosse voix roque . Une petite boule violâtre, sortie de ma paume. Je la lançais sur la paroi de pierre la plus proche de moi, elle éclata et gicla contre le mur. Toujours dans la colère et la tristesse : je criai si fort et si grave que tous les oiseaux de la forêt sortirent de par-dessus les arbres, sauf un l'oiseau bleu était toujours là : Mille balles de poison sortirent de mes deux mains cette fois-si. Elles giclaient tousses contre le mur de pierre. Cette attaque me plaisait beaucoup, elle était dévastatrice. L'oiseau bleu avait disparu, ma colère l'avait effrayée. Je baissais les yeux, l'oiseau n'était pas parti, il est tombé de l'arbre. Le poison l'a recouvert complètement. L'oiseau n'était plus bleu. Son ventre blanc ne l'était plus. Sa bleuté parfaite avait disparu et laissé place à un mauve foncé. Je l'avais tué dans ma colère. Tout ce dont je prenais goût disparaissais par la suite (mon frère, l'oiseau). « Être fort ce n'est pas ne pas tomber, mais savoir se révéler quand on tombe. ». L'oiseau était tombé de l'arbre avec aisance et ne c'est pas relevé. La colère n'était plus de la colère, la haine n'était plus de la haine, mais de la souffrance ! De la pure souffrance ! De la douleur ! Je braillais, je gueulais, je beuglais, je pourrais vous écrire un parchemin du champ lexical du mot crier.
Tout ça pour vous faire comprendre qu'à ce moment là, je crachais mes tripes, je fis sortir toute la souffrance de mon coeur par la gorge. Un nouveau spécimen d'attaque, je fis preuves en gueulant comme un dingue. Trois serpents géants sortirent de mon corps pour finir éclatée contre la roche. Mon destin était dessiné, vivre seul, comme un ermite, ma destinée était de devenir Shishibukai, cette fois-ci, ce n'est plus un rêve, plutôt, un fait qui va se réaliser. Ma vie va changer, les marines comprendront très vite qui est Kyojin Venom, Le compte Doku, Chikako Shimizu, The demon Venom, la terreur de South Blue, je veux que mon nom résonne sur toute la Terre comme comme une onde sismique qui entraine un tremblement de terre. Le premier marine que j'ai rencontré doit mourir, je le chercherais dans tout South Blue, il doit périr, un grade de Shishibukai ne s'obtient pas d'un claquement de doigt. Une péripétie tragique doit se passer, je dois amadouer la marine. Et j'envisagerais mon futur par la suite. Je devrais plutôt m'occuper des faits présents qui vont se dérouler. Un marine périra ou peut-être deux, ou plusieurs s'il le faut. La colère de Chikako Shimizu est à son apogée et elle s'éteindra lorsque son grade de Shishibukai sera obtenu. Je devais pour ça m'entrainer jusqu'au bout de mes forces. Pour me permettre de défoncer ce marimo d'un petit coup fait maison : le poison. Ma vie n'avait pas de sens, elle n'avait qu'un but : devenir le plus fort possible même s'il faut en mourir, acquérir le pouvoir suprême et le rêve de tout homme sur cette planète. Je continuai de m'entraîner pendant des semaines. Des nouvelles techniques faisaient éruptions. Mon fruit se modelait à ma facette, une brute ! C'est le mot qui englobe tout ce que l'on peut dire sur moi. Je devais vivre sans être un homme, je devenais un animal, la haine avait enlevé tout espoir de vivre en moi. Je suis né en étant un homme et aujourd'hui, je renais, mais sous forme animal : je ne réfléchis qu'un minima. Je mange presque la viande crue, je me bats sans réfléchir à la moindre stratégie, je fonçais la tête la première dans la...(excusais moi d'être grossier mais, ce mot est le seul qui peut-être placé ici. Dans la merde, oui ! Je n'envisage aucune tactique. Je ne redirais pas ce mot deux fois mais, en tout cas, je ne peux que le définir que par celui-ci.
Cette sensation que j'ai ressenti après la mort d'une banale oisillon. C'est ma tête qui a réagi, mon coeur lui disait : calme toi ! Un rang de Shishibukai ne s'obtient pas dans la haine et la colère mais, par la stratégie. Je ne savais pas comment renverser le pourvoir. Mon cerveau contrôlait mon corps et ma conscience elle, rien ! Elle n'est qu'une chose spirituelle qui émet des idées mais, dans le vide. Je ne sais pas trop comment définir cela : je devrais dire que c'est un monologue de la pensée. Je ne sais pas si c'est le moment de dire cela, mais je dirais que mon cerveau a prit la grosse tête. Je devais reprendre le dessus, le match ce soir : mon cerveau vs ma conscience. J'espère que j'obtiendrais mon poste de Shishibukai sinon mon cerveau explosera de rage et ma pensée devra se faire tout petit jusqu'à la fin de mes jours.