Une technique de combat bien à lui : les points vitaux.Entrainement Phase n° 1 : la technique à travers les livres.Mon cerveau est ma base de données, mon centre d'entrainement si vous voulez. Je me base sur les messages que m'envoient mon cerveau pour combattre.J'inaugure une nouvelle phase d'entrainement : je vais essayer de combiné le Jiu-jitsu avec Kyusho, la technique des points vitaux ! Cette entrainement demande de la concentration et surtout de la maitrise. Avant de me lancer dans des techniques non maîtrisées. Je me suis plongé dans des livres. Surtout des livres sur le thème de la science. Je vais essayer de combattre en utilisant les points faibles de mon adversaire. Les points vitaux, voici comment je les appelle. C'est un entrainement bien difficile, tout d'abord trouver le cobaye ça ce n'est pas facile. Ensuite les trouver ces points vitaux. Ces entraînements sont longs et éprouvant. Dans ce cas, c'est la patience qu'il faut utiliser. Comme dit le proverbe : patience et longueur de temps ne font plus que force et que rage. C'est bon pour moi, si je patiente, cela veut dire que je deviendrais puissant mais bon, ce n'est qu'un proverbe. J'ai feuilleté des centaines de livres. J'en ai extrait l'essentielle. Tous les points sensibles du corps. Tous les points qui permettent de paralyser l'adversaire en une simple pression sur la zone sensible. Qu'est-ce que j'entends par pression ? Un coup de poing, de pied, de tête, pourquoi pas. Ce n'est pas très pratique pour paralysé. Les doigts peuvent pénétrer en profondeur cette zone sensible. Les livres instruisent, mais niveau pratique c'est zéro. J'ai trouvé vingt-quatre zones sensibles. Je pense les essentielles. Je ne vais pas les énumérer cela ne servirait à rien.Entrainement Phase n° 2 : le premier cobaye, moi !Je devais trouver ces points vitaux par moi-même. C'est comme en cours, là je suis en TP : travaux pratiques. J'essaye sur un cobaye et ensuite je conclue avec le résultat de l'expérience pour faire un cours et le cobaye ici, c'est moi là. Je ne n'ai pas fait le cobaye très longtemps. J'ai essayé tous les points vitaux, enfin plutôt les vingt-quatre que je connaissais. Celui qui m'a vraiment « paralysé », c'est celui dans l'abdomen. Attendez, je vais vous faire un mode d'emploi, car je vois que vous ne saisissez pas la technique. Il faut utiliser ses deux doigts c'est comme si vous donniez un coup de poing, sauf qu'ici, il faut faire un mouvement horizontal et devant soit, il ne faut surtout pas changer la trajectoire sinon le coup n'aura pas le même effet. J'espère que vous saisissez maintenant. Celle dans l'abdomen et terrible, elle te coupe la respiration. Et tu tombes par terre, car tu suffoques, car tes muscles ne sont plus alimentés en oxygène.Entrainement Phase n° 3 : un cobaye autre que moi !Pour cette entrainement, j'ai utilisé comme cobaye, un gorille mâle enragé. Je ne dois utiliser mon fruit en aucun cas sinon la partie serait déjà gagnée. Ce qui est bien avec ce gorille, c'est qu'il a une sorte de carapace plutôt rigide, pas comme du fer bien sûr mais, plus dure que sa peau normal. Pour commencer, je dois me rappeler des étapes d'avant, n°1, l'apprentissage du cours, n°2 : les exercices et pour finir le cas concret. Je me repasse dans ma tête, la phase n°1 les vingt-quatre points vitaux, le n°2, leurs emplacements, n°3, C'est à moi de jouer.Tout ce que j'ai appris depuis le début passe en boucle dans ma tête. Mon cerveau agit comme undescripteur. L'entraînement est code que notre cerveau doit décodé de manière à ce que la solution permet de tuer son adversaire. Je dirais plutôt que c'est un énigme. Le gorille s'avance vers moi en courant comme une bête : c'est peut-être une bête mais, c'est notre cousin. Je dois mettre en oeuvre mon apprentissage. J'essaye quelques points avant de lui donner le verdict final. Cependant, c'est presque impossible de le toucher il bouge beaucoup. C'est maintenant à moi de me déplacer vite. Je dois trouver une façon de me déplacer rapidement. Je commence à acquérir de la vitesse lorsque l'animal enragé me donne un coup, dans l'abdomen. Pas avec les deux doigts, avec le poing ! Je les sentis passer, je vous le dis. Je me suis battus pendant une bonne heure. Le primate lui ne fatiguait toujours pas alors que moi a force de courir, de lui donner des coups dans ses points sensibles. Enfin conclusion de cette Phase n°3, je sais utiliser, la technique Kyusho, je me déplace maintenant comme un panthère. Il y avait maintenant un problème, comment calmer le gorille. Je ne voulais pas utiliser mon fruit, du fait que cela n'en avait aucune utilité.Je pris alors mes deux revolvers, je les chargeais de mes balles sommeil composées de racine de Valériane. La racine de valériane est réputée sédative. Je lui en tirai un avec le revolver de Gauche entre les deux yeux et une autre dans la cuisse. Il tomba raide. La Valériane est tellement puissante à haute dose.Entrainement phase n°4 : cas concret !J'arrivais en ville. Une ville peuplé d'homme et de femme comme toutes les villes normales. Cependant, les habitants n'étaient pas normaux là. Les femmes habillées comme des prostitués, les hommes habillés comme des hommes, mais bourrés. Des bagarres éclataient de partout, je vais vous dire un truc, je suis venu ici pas par simple hasard mais, pour me tester, face à un vrai homme. Si j'entame un combat, j'ai dans l'obligation de ne pas utiliser mon fruit. Mes revolvers eux peuvent être utilisés à condition que je sois en réel problème. Je marchais tranquillement vers la porte d'un bar. J'ouvris la porte lorsqu'un homme me sauta dessus. Il se releva, moi aussi dans la foulée. Il parlait en bégayant, il ne marchait pas droit, une démarche caractéristique du soul. Il merétorqua « Les étrangers chez nous on les mange. ». Il sortit un glaive de sa ceinture. Dès que j'ai remarqué son glaive, j'ai souri et chuchoté tout bas « Phase n°4 : cas concret ». Il engagea le combat en premier, il courut vers moi avec difficulté. L'alcool était toujours présent dans son sang. Il arma son bras avec le canif et me pointa.Je l'esquivais, ensuite, je lui décimais un coup, mais pas n'importe lequel, le coup n°4. Dans ce combat, je n'allais pas utiliser tous les coups du fait qu'il y en a vingt-quatre, donc pour cela, j'en ai sélectionné, une bonne dizaine, que je vais essayer de placer dans ce combat contre ce pauvre ivrogne. Le premier que j'ai placé c'est le coup n° 4, je lui décime un coup dans la tempe cependant, je le manquai de peu, l'homme me pointa au couteau. Avec la vitesse et la force sa force de frappe, il tomba en avant. C'est là que j'en ai profité. Le second coup que j'ai utilisé c'est le n°22 : j'applique une pression derrière l'oreille, il réessaya de me couper avec sa lame. Il me visa la tête cependant, je l'ai esquivé en me baissant. Je me suis rattrapé avec la main gauche ma terre, en attaquais avec le coup n°2 avec ma main droite, ma main forte. Il n'aima pas du tout puisque du sang jaillit de sa bouche. J'étais totalement dessus, car il était presque K.O. Je n'avais plus qu'a lui donné le verdict final. Le coup de la fin. Le plus artistique, je trouve à mon goût. Le n°13. Dans un élan, il faut mettre sa main à plat et ensuite taper de côté la nuque. L'adversaire sera tout de suite K.O. Il encaissa de plein, il fit un bond et dans ce bond, je sortis mon guns de la main droite, je lui décimai une balle empoisonnée (même si je savais qu'elles étaient dures à confectionner). Il l'a pris entre les deux yeux. Il tomba raide mort tout comme le gorille. Je pensais que les autres allaient me pourchasser, mais ils étaient tous ivres morts et c'est je pense que c'est pour cela qu'ils ne m'ont pas poursuivi.En somme, j'avais fini mon entrainement. Je devais maintenant rejoindre mon équipage. Pour réaliser des quêtes. Et utiliser, mon nouvel art de combat qui n'est plus le Jiu-jitsu, mais le Kyusho.