Loyckh ♦ Messages : 260♦ Date d'inscription : 13/03/2011♦ Age : 35♦ Race : Humain♦ Camp : Marine♦ Équipage : -Feuille de personnage Niveau : (24/50) Exp : (77/120) Sujet: {Flashback}Mission de sauvetage. Dim 17 Avr - 15:12
Yep les gens, je m’appelle Loyckh, j’ai un peu de temps devant moi! Vous voulez une petite histoire? Asseyez vous, j’essaierai d’en faire un résumé pour pas que ce soit trop long, j’ai pas toute la nuit.
{Flashback}Mission de sauvetage. VIDEOVIDEOJ ’étais à bord du Calipso, le bateau sur lequel j’ai étudié mon ingénierie en architecture. Mon meilleur pote à bord se nommait Méléagan Ducovic, grand type aux allures de cow-boy fort sympathique, mais l’équipage comprenait un bon nombre d’autres types étant devenu mes amis. Cela faisait bien trois ans que je naviguais dans cette équipage et le capitaine Fisher me donna une petite mission en solo à remplir. J’acceptai sans même regarder de quoi il s’agissait. A bord, tout le monde appréciait tout le monde, chacun avait confiance en chacun, je n’avais même pas dans l’idée que ce qu’il allait me demander allait me conduire à un tel danger. Maintenant je sais que lui non plus ne savait pas la dangerosité de cette mission. I l m’avait demandé d’aller chercher des fioles de médicament pour les quelques malades du bateau. En effet cinq membres de l’équipage avaient attrapé la Fièvre de Gobi et le seul traitement connu et efficace était le sérum Winch, inventé par le chimiste du même nom. Je parti donc à bord d’un petit canot sur l’île de Alaskwak, une province polaire située dans North Blue. J’avais bien fait de prendre ma grosse veste, il faisait glacial, l’air piquait au visage et mes lèvres étaient gercées. Mr Wave m’avait offert une gourde avec un alcool fort afin que je ne gèle pas, je devais l’utilisé qu’en cas d’extrême urgence. Le village côtier sur lequel j’avais débarqué comptait environ vingt maisonnettes, blanches et rouges dans un style victorien du siècle dernier. Si je me rappelle bien, elles étaient toujours en très bon état. Un vieil homme vint à ma rencontre et je lui demandai gentiment la direction à prendre pour se rendre à Nôme. C’est là bas que se trouvait les stocks de sérum. Il leur était impossible de distribué ces médicaments, il fallait automatiquement aller là bas. J’avais une semaine depuis mon départ du navire pour revenir si je voulais sauver les malades du bateau. S eul, je parti à l’aide d’un traineau tire par des chiens et je m’enfonça dans la tondra enneigée. Le paysage magnifique s’étendait à perte de vue Alaskwak était une très grande île bien que peu peuplée. Les chiens, pour la plupart de race huskies couraient sans relâche, ils étaient vraiment bien entraînés. Vers le milieu de la traversée, je savais qu’il nous fallait passer à travers la grande forêt. Normalement, c’était le seul chemin critique, les loups et les grizzlis étaient les principaux soucis que je risquais de rencontrer. Je ne tardai pas à en rencontrer un. Un ours énorme d’une toise et demie, soit environ deux mètres cinquante, se tenait, là, devant moi, en plein milieu du chemin. Les chiens eurent vite fait de s’arrêter. La bête se retourna et émit un grognement si fort que de la neige tomba des branches de certains arbres près de moi. Je pris mon courage à deux mains et tira deux coups de feu en l’air à l’aide du fusil que le loueur de traineau m’avait prêté. J’espérai qu’elle allait fuir, mon œil, cela ne fit même pas bouger l’animal qui chargea alors dans ma direction. J’esquivai en faisant un salto au dessus de lui et parvint à l’accrocher à ses poils d’encolure, je pris le fusil et tapa aussi fort que je pu avec la crosse de celui-ci pour assommer l’ours. Le monstre tituba quelques pas puis tomba dans les pommes. Ouf, j’étais sauvé. Je repris ma place sur le traineau et repartis vers ma destination. P lus nous avancions, plus les chiens et moi-même avions du mal à supporté l’intensité du froid qui s’abattait sur nous, c’était une véritable tempête, on ne voyait à deux mètres devant nous, le chien de tête aussi courageux et fort qu’on pouvait l’imaginer, tomba de fatigue. Je n’eu d’autres choix que celui de m’arrêter. Après avoir donné le repas à mes fidèles amis et après leur avoir confectionné une sorte d’igloo pour éviter le vent et le froid, je m’endormi, emmitouflé sous quatre couvertures. Je me tenais allongé près des canidés. La nuit se passa sans accro et le lendemain fin d’après midi, nous avions atteint Nôme. Malheureusement, un groupe de Malahuut, sorte de peuple barbare et pirate mettant toutes les contrées qu’ils rencontrent à feu et à sang. La bande de vandale comptait une trentaine de membre que les villageois avait réussi à terrassé. Mais une armée entière suivait derrière, je jour d’après, il devait y en avoir un millier. Les habitants s’était barricadé et avait reçu un renfort de certains montagnard vivant sur les monts se trouvant à proximité. Je décidai de rester, fort à parier que je ne changerai pas le court de la bataille mais un homme de plus ce n’est jamais négatif. L e lendemain matin, les tambours se faisaient entendre. J’avais propose quelque idées au maire de la ville et celui-ci avait suivi mes directives, quelques poutres et des cordes pour trois trébuchets et de l’huile sur le sol pour brûler les ennemi. Par chance, le blizzard s’était levé et le soleil radiait au dessus de nos têtes. Debout sur les remparts, je voyais des ennemis partout. Leur chef se tenait debout devant ses hommes, tenant une hache gigantesque et une épée se cachait dans son fourreau. Il avait une longue barbe blonde et sale, une masse corporelle assez imposante et une aura un peu sombre. A près une dizaine de minutes, il décida d’attaquer. Nos archers tiraient des flèches enflammées afin que l’huile dispersé dans la pleine prenne feu, les canons et les trébuchais dégommèrent les troupes à l’arrière. Certain endroits ne s’embrasaient pas car la neige avait pris le dessus. Mais bien que partiellement réussis, le piège fonctionna et un grand nombre d’ennemis fut mis hors d’état de nuire. Nous devions maintenant faire une sortie et attaquer. Le choc fut terrible, les corps valsaient, le sang giclait de partout; les deux camps se battaient avec acharnement et par ma grande surprise, les citadins arrivait à tenir tête aux barbares. Un gars me prit en duel à l’épée, n’en ayant pas, j’en ramassai une et me battis contre lui. Malgré mon manque de technique, je pris facilement le dessus et le mis par terre en peu de temps. La suite des combats fut très sanglante, j’eu un peu de mal contre un gros tas de graisse mais celui-ci, bien qu’ayant une force colossale, se mouvait aussi rapidement qu’une mamie grabataire. Je ne me fis pas blessé et les vilains battirent en retraite. La bataille fut brève et intense. Beaucoup de villageois gisaient au sol, inanimés, je ne pu rester plus longtemps en ces lieux car il me fallait vite rejoindre mes compagnons si je voulais encore les sauver. L e retour en traineau se passa bien, sans bavures ni soucis autre qu’une petite avalanche qui faillis nous faucher, mais aux vues de l’allé, c’était une partie de plaisir. Il me fallu deux jours pour revenir au petit village en bord de mer. Ignorant totalement ce qu’il s’était passé à quelques centaines de kilomètre d’ici, le gars repris son traineau et ses chiens et me souhaita une bonne journée. Je regagna ma petite embarcation et fila vers le Calipso. "Enfin de retour! Mon grand, il en a fallu de peu avant qu’ils ne passent l’arme à gauche. La prochaine fois, tâche de ne pas trainer."
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