Première mission de haut vol ! [en cours, solo]

Mission du Gouvernement ! Assassiner les assassins !

Je suis Kurohyou, également appelé aussi le Devil Eyes. Je suis un missionnaire du Gouvernement Mondiale, je me charge de faire passer des messages venant des hautes autorités vers les équipages de marines. J'ai aussi la même fonction que tout les marines, c'est-à-dire protéger les civils et combattre les ennemis de la société : les Révolutionnaire et les Pirates... Je suis nouveau dans le Gouvernement Mondiale, j'ai tout d'abord été un simple Lieutenant et à force de faire mes preuves et de faire des rencontres, mon nouvel employeur m'a recruté pour travailler directement sous ses ordres. Après un entraînement typique des plus grands soldats de la Marine, on m'a appris à être discipliné et à ne pas montrer ses sentiments, je suis devenu un véritable soldat que chaque armée aimerait avoir. Malheureusement, tous mes traits n'ont pas disparu, lorsque je me retrouve gravement blessé, mon aspect sanguinaire fou revient au galop... Je suis un épéiste, j'utilise le sabre légendaire Shusui, je la manie maintenant avec une extrême facilitée et je pense être le seul à pouvoir l'utiliser avec autant d'aisance technique. Mon arme est belle et rutilante, il suffit que je la prenne en main pour avoir la sensation d'être indomptable et immortel. Je suis certain que j'impressionne mes opposants lorsque je me tiens face à eux avec ses étranges sentiments provoqué par ma légendaire...

Aujourd'hui, je me dirigeais vers une île de Grand Line que l'on appelait Green Island, littéralement l'île verte. Si on l'appelait comme ça, c'est parce que c'était une sorte de jungle, tout n'était que végétation, à part en plein milieu de la forêt où se trouver un château. C'était la demeure d'une famille de criminel, les Zoldik. C'était une véritable organisation, seulement deux membres de la famille ne sont pas des assassins, mais pour les remplacer, ils ont engagé deux autres criminels qu'ils considèrent maintenant comme garde du corps. La plupart sont des anciens chasseurs de primes et sont devenus des tueurs à gages. Ils étaient neuf dont sept combattants, moi j'avais une petite légion d'une quinzaine d'hommes, autant dire que ce n'était clairement pas suffisant et qu'il faudrait s'attaquer intelligemment aux membres de cette famille. J'avais repéré deux hommes dans le navire qui avait l'air meilleur que les autres. L'un d'entre eux était un homme poisson, assez imposant physiquement et puis la force de cette espèce est toujours intéressante quand elle est de notre côté ! Il avait la tête d'un requin marteau et avait une arme qui semblait être un immense maillet. L'autre était un jeune homme basané, avec des cheveux blancs, je pouvais voir des pyro-dials dans ses gants, il était assez connu chez la marine, tout le monde le voyait comme LE grand espoir.

On était bientôt arrivé, il fallait mettre en place un plan. J'avais réuni mes hommes et on parlait pour voir les divergences et on était tous d'accord, il fallait d'abord passer le premier obstacle, la forêt. D'après les informations que j'avais reçues, les deux gardes du corps, pendant la journée, étaient dispersés dans la forêt pour s'assurer que personne ne parvient à rentrer dans le château, tandis que tous les autres se trouvait dans leur habitat. J'avais décidé de séparer en trois notre groupe. Je serais à la tête d'un groupe, l'homme poisson qui s'appelait Cousto serait lui aussi à la tête d'un groupe et enfin la même chose pour l'utilisateur de dials, qui lui se faisait appeler Bakugan. On accosta, à première vue personne à l'horizon mais l'île était immense. Aucun doute qu'il devait y avoir des sales bêtes par ici. Notre objectif était tout d'abord de trouver les deux gardes du corps et de les abattre pour ne plus avoir affaire à eux dans la maison. J'étais confiant, Bakugan et Cousto semblaient avoir un bon niveau même si l'homme poisson n'est pas très sérieux et plutôt loufoque, je sais qu'il pourra faire mal en combat. On se sépara tous, je ne connaissais pas spécialement la famille Zoldik, mais les hommes qui étaient avec moi avaient l'air d'en connaître un peu plus. Ils étaient terrifiés à l'idée de rencontrer un seul petit membre de ces criminels. Soudain, j'entendis un bruit d'impact fort, puis des tirs de fusils. C'était sûrement le groupe de Bakugan qui était parti sur le flanc droit, tandis que Cousto avait pris le flanc droit et moi j'étais partis tout droit. J'envoyai deux de mes soldats vers Cousto pour l'avertir qu'il reste sur son flanc pendant que j'allais porter secours à l'homme aux cheveux blanc...

J'ai fait une erreur, nous n'aurions jamais dû nous séparer... Mais c'était trop tard, en courant à toute vitesse vers j'entendis des cris ainsi que des tirs de l'autre côté... C'était le groupe de Cousto... J'étais près de Bakugan alors je n'avais pas le droit, ni le temps de reculer pour aller voir l'homme poisson... Tant pis, j'espérais sincèrement qu'il s'en sorte pour que la mission soit une réussite. Qu'ils meurent je m'en fiche, en s'engageant dans la marine, il fallait s'y attendre, mais ne pas accomplir la mission c'est autre chose... Je vis enfin l'espoir de la marine, il était en plein combat avec une espèce de monstre de deux mètres, poilu sur le torse, habillé comme un homme de la jungle et des longs cheveux blanc. Ils étaient en plein combat au corps à corps, Bakugan avait réussi à empêcher les membres de son groupe de mourir et avait lancé un combat en un contre un. Les soldats étaient abasourdis par la puissance du garde du corps et la vitesse de percussion du jeune marine. Sans perdre une seconde, j'ordonnai à tous les hommes de pointer leur arme sur le géant et j'utilisai le Soru pour me rapprocher de lui, je lui tranchai le torse d'un coup sec puis je m'éloignai en poussant Bakugan avec moi. Je voyais le grand gaillard regarder sa blessure avec un sourire horrible, il avait l'air content d'être touché, son sang coulait à flot et pourtant il avait l'air de rien sentir.

- « ENVOYEZ LUI UNE RAFALLE DE BALLE, ON N'A PAS DE TEMPS À PERDRE COUSTO A BESOIN DE NOUS ! »

J'étais troublé par la réaction du grand et j'avais ordonné à tout le monde de lui tirer dessus, ce qu'ils firent à la seconde près. Les balles avaient pénétré son corps et pourtant il s'en fichait, il crachait du sang et me regardait comme s'il allait me tuer. Je serrai fort mon arme Shusui me donner du courage, je sentais l'âme de ce sabre m'envahir, cette haine, cette violence qu'elle pouvait contenir. Je fonçai sur le géant avec l'aide de Bakugane qui avait enflammé ses poings, j'envoyai ma technique préférée, même si ce n'était pas la plus puissante Punishment pour ouvrir le passage à l'espoir de la marine... Le géant mit son bras gauche en opposition et son avant bras fut gravement coupé et une irruption de sang sortit en même temps. Lorsque Bakugane voulu lui asséner ses coups de poings fétiches, il se prit une droite monumentale du géant qui lui brisa le nez, le jeune marine ne semblait pas capable de se relever de suite. Ce type avait mangé une vingtaine de balle, a perdu la mobilité d'un de ses bras et a été blessé au torse... et il était encore debout !!! Je n'arrivais pas à croire ce que je voyais... Tous les hommes rechargèrent et lui tirèrent à nouveau dessus et il ne ressentit rien une nouvelle fois. Il commença à prendre la parole.

- « Sachez que vous ne me tuerez jamais ! Le seul moyen de me tuer, c'est de passer à travers mon épaisse couche de peau qui est d'une robustesse sans égal ! Vos balles n'atteignent aucun de mes organes... Le seul moyen de m'abattre, c'est que tu arrives à planter ton sabre jusqu'à mon coeur ou un autre organe vital... MAIS TU N'Y ARRIVERAS PAS, PREPAREZ VOUS À MOURIR ! »

Après ces paroles, il fonça sur nous et je pris ma responsabilité en allant devant tout le monde pour l'accueillir. Il enchaîna les coups de poing, que je réussis à esquiver sans trop de difficultés grâce au Kami. Je contre-attaquai souvent en utilisant le Soru pour me téléporter derrière lui et l'abîmer ne serait ce qu'un petit peu. Je savais qu'il ne ressentait rien, mais pour mon mental, c'était très important de pouvoir lui faire quelques égratignures... Puis, je compris où je devais attaquer... Ce fourbe me conseillait d'attaquer le coeur, mais comme il dit sa peau est très résistante, il fallait que je lui transperce la gorge. Je compris que ce serait beaucoup plus facile, la couche serait forcément moins épaisse et j'arriverais à le tuer facilement. Shusui tremblait, elle sentait le sang parcourir son corps voluptueux, nous étions en parfait harmonie et elle a compris que j'ai trouvé la solution à notre problème. Sans même perdre une seconde, j'attendais la bonne occasion pour pouvoir contre et le lui enfoncer ma précieuse ! Maintenant ! Mon sabre a transpercé son cou, je l'enlevai rapidement et m'écartai grâce au Soru. Je le voyais, il tomba à genou et me regardait, il était surpris et me voyait son dernier adversaire. Pas de temps à perdre, je frémis de plaisir d'avoir mis fin à la vie d'un si vaillant combattant et je commençai à parler aux hommes qui fêtaient ma victoire, avec un Bakugane qui avait bien repris ses esprits et était sur pied.

- « Soldat ! Vous allez porter secours à Cousto, j'ai entendu des tirs de son côté ainsi que des cris... Je suis persuadé qu'ils sont tombés sur l'autre garde du corps... J'espère que vous pourrez les aider... En ce qui me concerne, je file directement au château pour préparer la bataille, vous me rejoindrez quand vous en aurez fini c'est compris ? »

Ils étaient tous heureux et me crièrent un oui spontanée, ils avaient repris courage et étaient prêts à tout anéantir. Bakugane avait un regard de tueur, il avait perdu le combat face au géant, il avait à coeur de se rattraper sur un autre face à face. Puis soudainement, on entendit des pas et des respirations qui se rapprochaient de plus en plus de nous. On était prêt à attaquer quand à notre grande surprise, on pu apercevoir l'homme poisson ! Il avait quelques blessures futile, il nous expliqua qu'il avait vaincu le second garde du corps, mais à un prix accablant... Tous ses hommes étaient morts ainsi que mes deux hommes que je lui avais envoyés comme messager... On était très affaibli, mais je reste persuadé que la mission ne sera pas un échec, peu importe le nombre de mort qu'il y aura de notre côté, je sais que le nombre de vivant du côté de la famille Zoldik serait de zéro. On avança un peu, heureusement que l'un d'entre nous à penser à prendre une boussole car avec tout ce remue ménage, on ne savait pas du tout où on était. Après avoir repris la direction du Nord-Est, on marcha pendant de longue minute dans un silence de mort... Vingt longues minutes de marche et enfin, on contempla la demeure de la famille d'assassin... On ne savait pas du tout s'ils étaient au courant que des intrus étaient présents, s'ils s'étaient préparés à nous recevoir.. Je regardais mes hommes, ils étaient prêts à combattre, vaillant comme jamais avec le regard du tigre... On avança déterminé vers notre grand combat de la journée ! Zoldik, nous voilà !

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