~ Les achats et les tracas ~Ça faisait longtemps !Après avoir combattu contre l’homme aux diamants et celui à la couverture. Je demandai à mon capitaine de me laisser sur la prochaine île, histoire de me dégourdir les jambes et faire un peu de shopping. On fit le voyage avec tout l’équipage qui eux buvaient comme des troues du rhum et fumaient des pètes gentiment offert par notre capitaine adoré. Je trouvais ce voyage assez long, par le simple fait que j’avais une folle envie de m’acheter de nouvelle fringues et housses pour mes guns.Enfin arrivé sur l’île de Micqueot, ville réputé pour ses grands vins et ses champagnes. J’accostais dans le port, j’accrochais le bateau avec les boutes, fis signe à mes nakama’s et me voilà parti pour une aventure en solo. Cela faisait longtemps ! Bob m’interrompit dans ma course et me dit :« Hey ! Vieux, on te reprend comment ? »Je lui rétorquai en lui faisant un signe de la main :« J’ai des ailes non ? »Je partis dans la direction inverse de mes nakama’s. J’étais seul dans la nature comme avant. Je me sentais mal en repensant à mes années militaires, à l’année où j’avais découvert ce fruit bizarre, ce végétal que j’ai mangé et qui a transformé ma vie. Et qui me l’a facilité aussi bien entendu. Bref, j’avais de l’argent, il y avait des magasins pleins les rues, à moi les nouveautés. Le froid me tapait les oreilles. Le vent me soufflait au visage comme des gifles que l’on me donnait.Malgré ça, j’arrivais dans l’allée principale. Cette rue pullulait de magasins de différentes sortes. J’entrais dans un magasin de costumes. Je ne cherchais rien de précis, je regardais juste et si quelque chose me plaisait, je l’achetais. Après quelques minutes, enfin non quelques heures passées dans le magasin, je trouvai sous une pille de vêtement ; un costard d’une splendeur. Je ne serais comment vous le décrire tellement, il m’a tapé dans l’œil. Je l’essayai et il m’allait à comme un gant ! Je ne me sentais pas trop serré, ni trop ample. Enfin parfait, l’achat qui me fallait ! Mais bon, je me cachais les yeux en regardant le prix. Mais bon comme on dit lorsque que l’on aime, on ne compte pas !Et se fit ça tous les magasins que je pénétrais, un coup des chaussures et autre de la nourriture, un autre, des vestes d’hivers. Au final, budget ménage : aie ! Aie ! Aie ! Mais en arrivant dans une boutique assez spéciale. Je contemplais la vitrine et une chose me tapa dans l’œil. Un sabre très joli, raffiné et très basique. Je n’hésitais pas une minute de plus, la lame m’avait charmé comme un serpent. Je fis signe au vendeur de quel sabre je désirais. Il m’indiqua quelques consignes. Tout d’abord, les précautions d’emploi. Ensuite, il me dit son alliage, il rétorqua précisément ; cette épée n’a rien de spécial, à par son esthétisme et son alliage très résistant qui permet de résister à de très grande chaleur. Je lui donnai un bon paquet de billet pour ce petit bijou. Je l’avais sur le dos comme un sac à dos. Après cette longue journée de shopping. Je posai mes fesses dans une taverne ou le monde y était tranquille. Je pris une bière à la cannelle avec son morceau de citron posé sur le bord du verre. Le barman était d’une gentillesse à en tomber. Je levai mon verre à mes compagnons qui devaient se fumer des joins dans notre super bateau. Je gardais bien mes nouveaux objets en vue car les voleurs sont nombreux par ici. Je posai mes pieds sur la table, je mis la tête en arrière et…Oh ! Merde, je me suis assoupi. Je contemplais l’heure et je vis : 16 h 43. Je me suis endormi plus d’une heure et demie. Mes affaires étaient toujours en place. Je me remis dans une position normale. Je fis signe au barman de me remettre la même chose dans mon verre. Il me versa, le liquide de couleur marron dans mon récipient. Les choses avaient changé en plus d’une heure. La personne aux cheveux longs avant ma sieste était partie. Elle fût remplacée par un vieil homme aux yeux bridés. De plus, au loin près du bar, un individu très étrange était positionné devant le Bar. Il buvait une flasque de rhum. Il n’avait pas l’air très atteint pas l’alcoolémie. Ce que je veux dire par là, c’est que le temps a passé vite. Je n’avais plus rien à faire ici, mes bagages à la main, le petit billet pour le barman. Et hop ! On est parti ! En posant, le billet sur la paillasse, le même homme à la flasque d’alcool dans ma main me bouscula et me regarda dans les yeux comme un animal. Quelle réaction, devais-je avoir là-dessus ? En tant que pirate ? Je remarquai que le barman me faisait des signes de la main. Il passait sa main avec le pousse levé pour me dire d’arrêter. Je suivis le conseil du serveur et parti, simplement en tapotant la joue de l’étranger assis sur son siège et dit :« Désolé vieux, je m’en excuse ! »Je partis dans la direction opposée de l’homme. Je repris ma route, près à rejoindre mes nakama’s en un battement d’aile. Mais je voulais aller voir l’arrière ville, la ville dites historique. En arrivant devant un château d’une splendeur inouï. Je fis tomber mon sac et en me relevant, je reçus un coup de poing dans la face. Je ne compris pas ce qu’il m’arrivait. Je me relevai sous l’effet de surprise et je vis une bande d’homme. Ils étaient dix, j’étais sur mes deux jambes et je vis leurs visages à chacun. L’un d’eux dit :- Tu nous remets là ?- Heu… Non désolé !Dis-je d’un air étrange en fixant l’homme qui parlait. Une personne bouscula la foule et arriva sous mes yeux… Le vieux de toute à leur, il était là. Il voulait me faire la peau, tout ça pour une tapette sur la joue. Il injecta :- Alors, je ne vous présente pas car il ne sait pas présenter »Des rires sortirent de la bouche de certain. Le vieux lui rigolait en beuglant. Il dit une dernière phrase :« Bon les mecs, on ne va pas s’attarder sur son cas, faites en de la chair à pâté ! »Après avoir dit cette phrase, les hommes se ruèrent dans ma direction. Tous armés d’un poignard ou d’une hachette. Je n’avais pas le choix. Je sortis mes guns placés au niveau de ma ceinture. Et j’appuyai sur la gâchette. L’une des balles de mon gun droit atteignit le buste d’un, il tomba sur le dos. L’autre toucha la jambe d’un autre. Ils se sont tous. Je me mis en réflexion comme je le fais bien des fois. Je parlais dans ma tête, je visualisais toutes les possibilités qui s’ouvraient à moi. C’était comme un cadenas à code. Pour finir le combat, il faut trouver le bon code. Certaines fois, le code est d’une évidence et d’autres fois vraiment pas simple. Ici, je ne pensais pas mettre beaucoup de temps à réfléchir.« Je n’ai plus beaucoup de solutions… »Après cette petite minute d’inattention, les hommes couraient dans ma direction, les armes pointaient dans ma direction. Je devais utiliser du gros pour pouvoir en finir vite. Je dis tout bas, d’une voix douce et silencieuse.« Aato Chouyaku Chained »Mon corps sous mon contrôle se mit à faire des bonds dans toutes les directions en donnant des coups de pieds et des coups de mains. Les adversaires volaient les uns après les autres comme des pions sur un échiquier. En m’arrêtant, je vis qu’une seule personne debout. Le vieux ! Il tenait dans ses mains fébrilement un sabre. J’eus une idée terrible et très drôle selon moi ! J’allais me battre avec ma nouvelle arme. Cela allait me remémorer mes années militaires, mais bon tant pis. Mes achats étaient posés dans un coin, dans une intersection à dix mètres de moi. Je courus dans la direction de mon épée, je la sortis de son fourreau. L’homme suait, la sueur dégoulinait de son front comme une cascade. On entama le combat. Je frappais comme un bœuf sur mon adversaire. Le vendeur m’avait bien dit que l’alliage était solide. Le bougre lui en chier pour esquiver. Je donnais des coups, vers le bas, vers le haut, à droite, à gauche. Je n’avais rien perdu de mes vieilles années. Je magnais la « bête » comme un dieu. J’eus une idée de génie, peut-être pourrais-je enflammer mon épée. Je devais trouver un combustible, mais quoi ? Je continuais de donner des coups au bonhomme malotru. En frappant comme un dératé, je fis tomber une flasque. Du rhum ? Je pris la bouteille et je vidais tout son contenu sur ma lame. Le liquide de couleur brun coulait comme une fontaine. Je posai ma main, elle s’enflamma et la lame prit feu comme une allumette. L’homme fit surpris par cela et je fonçai dans sa direction. La lame dans les mains pointées sur la face de son ennemi. J’armais mon bras, je l’abattis sur ce qui allait devenir ma victime ! Il n’eut pas le temps de contrer… Le sang gicla dans tous les sens. J’en eus même sur ma veste. Il tomba en arrière, les yeux dirigés vers le ciel. Lorsque, le corps tomba, il fit un sacré bruit. Je n’avais pas remarqué, mais je n’étais pas seul dans la rue. Les gens me regardaient dans la rue avec des yeux immenses. Les mères cachaient les yeux de leurs enfants, les hommes eux cherchaient du secours. Dans ce mouvement de panique, un policier, il criait :« Arrêtez- vous, Arrêtez- vous, Arrêtez- vous ! Au nom de la loi ! »J'avais envie de lui dire « Tu crois quoi toi, je suis un pirate ». Je courus à toute vitesse, dans les rues, j’entamai une course poursuite avec le flic. Après quelques rues parcourues à toute vitesse et en ayant le champ de vision libre, j’accélérai un dernier coup et pris mon envole en forme phénix. Mes achats dans les pattes. Je prenais la direction de… mes nakama’s !