Voici un Flash Back lors de mes six ans à avoir parcouru le monde. Je marchais de ville en ville. De nouveaux paysages s'offraient à moi. Je découvrais de nouvelles civilisations, des cultures différentes, des cultes. Bref, j'étais dépaysé ! Je pouvais marcher, naviguer, rouler. Mes moyens de locomotion étaient différents chaque jour. Je ne restais pas plus de trois jours dans un même village. Je n'ai jamais eu de problèmes avec aucune personne lors de mes six ans passés à voyager.
Pour la simple et bonne raison que lorsque j'arrivais en ville, je ne me présentais pas comme pirate mais, comme médecin. C'était de la pure logique. Tout ça pour ne pas m'attirer d'ennuis. Sauf qu'un jour j'ai dû rester plus longtemps que prévu. Une maladie contagieuse c'était propagée dans l'un de village que j'avais traversé.

Chapitre 1 : une maladie bizarre !

Je suis arriver dans le village de Parocerado. Un village sur East Blue, c'est ce que j'ai entendu ! Je suis arrivé dans la nuit, vers vingt-trois heures. J'ai cherché une auberge et je l'ai trouvé. Cependant, elle était fermée. Sur la porte de l'auberge était écrit « Fermé pour cause d'épidémie ». Lorsque je lus l'écriteau, je jetai un regard sur trois-cent soixante degrés. Le village était vide aucune lumière. Je me suis dit qu'il était peut-être tard alors tout le monde dormait. Je dormis à la belle étoile. D'habitude, j'aime bien mais là, il faisait un froid de canard. J'ai pas très bien dormi cette nuit là.
Je me réveillais le matin avec un seule idée en tête, prendre un bon déjeuner. Je revins en ville dans la matinée, le temps de ranger mon campement. Dehors pas un chat. Le village était vide en plus que vide. Je fis le tour du village. En arrivant devant un lieu très spécifique, je fis surprit, tellement surprit que je mis en commun toutes les informations que j'avais pu remarquer depuis mon arrivée dans le ville fantôme. J'étais dans un cimetière. Le plus grand cimetière que je n'ai jamais connu. Cette place morbide était tellement pleine que des corps étaient entassés enfin je ne sais pas si on pouvait dire des corps. Il ne restait plus que des os. Je revins au village, un peu chamboulé. Il devais bien y avoir du monde dans cette ville. J'eus une idée pas très brillante. C'était la seul qui me vins à l'idée. J'envoyais des vocalises pour savoir s'il y avait un âme en vie. Je criais : « Y'a quelqu'un ? Je suis docteur ! », Je les répété tellement de fois autour du village pendant au moins deux heures. Au bout de ces deux heures un homme sortit de sa cachette. Je ne sais pas si c'était en cachette car, un bar n'est pas la meilleur cachette. Il sortit de son bar. Le visage tout ramolli, les yeux rouges, Le visage violet comme un gros bleu. Je l'interpellai de loin. Il n'avait pas l'air dans son assiette. Nous entamions un dialogue :


" - Bonjour à vous ! Dis-je d'une petite voix
- Bonjour à toi étranger ! Peu de monde viens dans votre village depuis l'épidémie ! Répondit-il d'une voix faiblarde.
- Ah, oui ! J'ai vu ça, votre cimetière en surcharger on dirait ! Rétorquai-je bêtement
- Nous étions plus de cinq mille dans le village mais, aujourd'hui à cause de cette pourriture qui nous tue jour après jour, nous ne sommes plus qu'une cinquantaine. Dit-il en baissant les yeux.
- Quoi !?! criai-je
- Vous m'avez bien entendu ! Rétorqua-t-il agacé
- Quelle est ce genre de maladie ? Questionnais-je
- Tout ce que je peux vous dire : c'est une maladie mortel, contagieuse et elle est très rapide ! Me dit-il avec son accent de paysan.
- Vous savez, je suis médecin, je peux peut-être faire quelque chose. Affirmai-je au paysan.
- J'aimerais tellement, cependant je vous ne le conseille pas, car, le dernier médecin n'a rien pu faire et il en est mort de la maladie. C'est comme bon vous semble ! Répondit-il heureux par ma proposition, mais déçu par la gravité de la situation.
- Je vais vous dire une bonne chose, mon but dans la vie est de soigner toutes les maladies de cette planète, je sais ce que j'ai à faire maintenant ! Dis-je fermement
- Comme bon vous semblera, Monsieur ?
- Monsieur Diaz, Aaron Diaz ! Emmené moi vers l'un de ces malades, Je vous pris !" Lui répondis-je motivé.

L'homme m'emmena d'où il était sorti lors de notre interpellation. Dans un bar. Un bistro bien glauque. Le ménageLn'avait pas été fait depuis très longtemps. Nous descendîmes un escalier vers une sorte de cave aucun lumière n'y était apparente sauf une lampe à pétrole. Des hommes, des femmes et très peu d'enfants allongés sur le sol avec une qualité de vie médiocre. Je m'approchai d'une personne presque mourante. Elle gémissait de douleur. Elle essayait de me parler mais, ses mots se perdaient dans ce silence morbide. J'auscultais la personne malade. Je pouvais remarquer sur son corps, des plaques violettes. Une peau ramollie. Je n'avais jamais vu des symptôme pareilles. J'eus quelques initiatives qui on bien arrangé les choses. Pour les plaques violettes, j'ai concocté une crème à base de plante. Un peu le même genre que pour l'exéma. Des soins toniques pour revigorer la peau : menthe, orange, Aloe Vera. C'était un pays ou les escargot était très présent, je ne sais pas si vous le savez mais, la bave d'escargot régénère la peau. De la gelé royale et toutes les plantes que je connaissais qui pouvaient aider la peau à se revigorer. J'ai demandé à l'homme qui m'avait accueilli, depuis combien de temps était-il malade ? Il me répondit depuis le début. J'eus une idée brillante. Je ne voulais rien leur dire, car je ne voulais pas leur faire de faux espoirs.

J'ai fait une prise de sang sur l'homme. Sachant que les autres sont morts. Son corps a dû créer une sorte de barrière contre ce virus. J'ai eu accès à des microscopes que j'ai réussis à trouver dans l'ancien cabinet du médecin du village. Le système de défense de l'homme sur laquelle j'ai fait la prise de sang a crée, un anticorps pour repousser la maladie et non pas la guérir. C'était déjà un très bon début. J'ai prélevé cette anticorps. J'ai tout d'abord regardé comme était-il constitué. Au cas ou si on pouvait le trouver dans la nature. J'ai aussi fait une culture de cette anticorps, j'ai prélevé des plaques violettes sur l'un des hommes pour que les anticorps se reproduisent sur celles-ci. Un long travail. Cependant, du temps s'écoulait, des hommes et des femmes mourraient. J'ai donc fini par obtenir une assez bonne culture de cette anticorps pour pourvoir créer un médicament. J'ai mélangé les anticorps avec un excipient. Je l'ai donné et quelques jours après des résultats enfin ! Sur le premier homme que j'ai ausculté, son cas restait stable. Sur les autres auxquels j'avais donné des fortifiants leurs peaux étaient redevenues comme presque comme avant. Les plaques avaient disparu. Tout était redevenu comme presque comme avant. Il fallait juste améliorer l'anticorps pour pouvoir vaincre la maladie. J'ai demandé à l'homme ce qu'il mangeait, ce qu'il buvait. Il me répondit que par ces temps, il ne mangeait que des avocats.
Il buvait du Whisky, que des alcools forts. J'ai donc exploré cette piste. J'ai donc fait des expériences avec tous les ingrédients que l'homme m'avait épelés. Après des jours de recherche (Une bonne semaine). L'alcool qu'il consommait l'avait sauvé. Il fallait juste boire de l'alcool pour guérir. Plus l'alcool était fort plus, les chances de guérir étaient grandes. Comment trouver un alcool fort. J'en connaissais beaucoup, car certains alcools permettaient de désinfecter, j'ai donc choisi par simple hasard : l'absinthe. L'homme en avait des bouteilles dans son bar. J'ai fait tourner la bouteille à chaque personne malade. Ça faisait maintenant un mois que j'étais dans le village. J'avais réussi à guérir le monde. Une maladie que je venais de guérir. La seule chose que je n'étais pas content, c'est que la cinquantaine d'homme et de femme qui était dans le village à mon arriver n'étaient plus que vingt ! Je suis reparti un matin avec des vivres pour une semaine. Je suis reparti seul, découvrir le monde.