Loyckh ♦ Messages : 260♦ Date d'inscription : 13/03/2011♦ Age : 35♦ Race : Humain♦ Camp : Marine♦ Équipage : -Feuille de personnage Niveau : (24/50) Exp : (77/120) Sujet: {Flashback} Vers l’océan le plus majestueux du monde. La route vers Alabasta! Lun 4 Avr - 22:47
Me revoici, Poland Colaros. Voilà maintenant le jeune Loyckh en partance pour Grand Line. Le voyage n’étant pas de tout repos, je vais vous faire un résumé des passages du journal d’aventure de Loyckh afin que vous ayez une petite idée de la difficulté qu’ont les voyageurs pour traverser certaines parties maritimes.
{Flashback} Vers l’océan le plus majestueux du monde. La route vers Alabasta! VIDEOJ ’ai quitté l’ile de Guimguenome cela fais maintenant trois jours et depuis, je suis a bord de ce rafiot marchant afin de rejoindre le grand océan. Les conditions de voyages ne sont pas des plus aisées mais je n’ai pas à me plaindre, la nourriture se laisse manger, l’humour bien présent enjoue les journées et le capitaine possède une sympathie hors du commun. L’équipage se compose de sept hommes, le capitaine étant aussi navigateur, la vigie, le barreur, le médecin de bord et les trois derniers travaillent en temps que matelot; il y a aussi deux femmes à bord, toutes deux aux cuisines, la femme du capitaine et sa fille, Henriette Bibelot et Pocahontas Bibelot. Jolie et coquette, la jeune fille prend de très bonnes décisions lors des repas. C’est grâce à elle que le bateau fit une escale chez les moines afin de s’y réapprovisionner en eau douce et nourriture fraiche, et donc que je suis ici aujourd’hui. La mère reflète la même personnalité que son mari, simple et très gentil. Son sens du commerce aiguisé aide dans les transactions et ventes diverses du navire. Le physique très apprécié des êtres féminins de l’équipage permet un marchandage entre celles-ci et un acheteur potentiel assez efficace. Le chiffre d’affaires de la petite frégate tourne au alentour de 2millions de berry’s par an, ce qui n’est évidemment pas négligeable. Le commerce de ce bateau s’est diversifié au fur et à mesure des années mais reste continue sa première activité étant la vente et acquisition de livre encyclopédique. Celui qui me l’a raconté, c’est le propriétaire et capitaine du vaisseau, monsieur Jacques Bibelot. J acques est né sur West blue, il doit avoir la soixantaine bien faite. De corpulence svelte et de bonne taille, il souffre cependant de mal de dos fréquent, ce qui l’oblige à marcher en courbant son dos vers l’arrière. Il fut d’abord pirates mais ce métier risqué lui valu une forte déprime et si il n’avait pas rencontré Henriette, il ne serait déjà plus parmi nous. Celle ci a su lui faire reprendre gout à la vie et l’a reconverti dans le milieu du transport marchant. Comme ce navire se dirige vers Alabasta et que je rêve d’aller voir la splendide architecture de son palais et de sa ville, je n’ai hésité à aucun moment à monter à bord. Monsieur Bibelot ne me demande pas d’argent, comme il sait que je suis architecte, il m’a chargé d’apporter quelques améliorations à l’esthétique du navire et des idées pour une meilleure qualité de manœuvre du navire. Pour l’instant, il n’y a que la voile et le gouvernail auxquels j’ai apporté des modifications. A près plusieurs jours de voyages, nous arrivons à Logue Town. Cette ville où ma crainte par rapport à mes parents s’est vue vérifiée ne me donne pas l’envie de débarquer, mais je prend sur moi et pose le pied sur le parterre de son port. Nous amarrons le navire pour deux jours, le temps de faire des provisions et de prendre des informations pour se rendre sur Grand Line. De mon coté je visite la ville à l’architecture banale mais où certaines techniques de construction m’apportent une petite satisfaction car elles m’aideront pour deux trois améliorations du navire. Le capitaine revenu, nous repartons en direction de Rivers Mountain. Quelques heures nous ont suffit pour rejoindre cet axe indispensable à la navigation sur les différentes mers. Elles se rejoignent toutes au sommet de cette montagne. West blue, Est blue, North blue, South blue et Grand line, cinq mers reliées ici en un seul point commun. C’est magnifique, l’eau remonte la montagne à une vitesse impressionnante. Le commandant nous demande de nous accrocher et pour ceux qui comme moi ne participe pas aux manœuvres, de rester dans nos quartiers. Je rejoins aussitôt mon lit et m’y accroche. Voilà on est dessus, le navire tangue dans tous les sens, j’ai même du mal à rester accroché à mon lit, l’accélération à la base fut incroyable. Je ne sais comment ils ont réussi à accrocher le courant sans nous fracasser contre Red Line, une grande montagne qui fait barrière et sépare le monde en deux. Dix minutes qu’on est secoué comme des pruneaux, finalement je décide de sortir pour porter assistance au reste de l’équipage. VIDEOE t là, stupefaction, le navire décolle dans les airs, on est pile à l’intersection des cinq océans! C’est magnifique. Le bateau atterri sur le canal descendant et commence sa dégringolade vers le grand océan. La vitesse qu’on attend est énorme, je ne sais si le bateau résistera bien longtemps. L’arrivée sur Grand Line fut rapide, nous sommes maintenant arrêté à un demi kilomètre de Red Line. Au pied de celle-ci, un phare y attendait certainement quelques arrivants, mais nous n’y accostons pas. Cette océan est magnifique, c’est magique, la joie nous envahit, c’était la première fois pour tout le monde. Monsieur Bibelot regarde une espèce de truc en forme de sphère, c’est un eternal pose, il indique la direction à prendre pour rejoindre Alabasta. Son acquisition n’a pas du être gratuite. "Les gars, notre entrée sur la route de tous les périls s’est faites de la meilleure façon qu’il soit. Je tiens à vous dire tous mes sincères remerciements, car sans votre aide, nous n’aurions jamais pu rejoindre Grand Line. A présent, cap sur Alabasta!!! " G rande ovation pour le capitaine et navigateur, nous avons fait une bonne partie de la route sain et sauf! Il reste la route jusqu’à Alabasta. Nous espérons ne pas croiser de pirates. Après quatre bonnes heures de routes sans croiser personne, la vigie alerte l’équipage, des pirates. Ne nous ayant visiblement pas remarqué, nous mettons les voiles. Nous ne l’avons pas vu tout de suite mais il est en train de livrer bataille à trois vaisseaux de la Marine. Je ne donne pas cher à leur peau. Tout en nous éloignant, nous regardons le spectacle qui s’offre devant nous, les pirates sont acharnés et les militaires ont bien du mal à contenir ceux-ci. A présent, nous ne les voyons plus, une brume épaisse envahit le pont d’un seul coup. Je ne vois guère devant moi, même mes mains sont toutes floues. Monsieur Bibelot nous donne les directives à prendre et tous le monde exécute le boulot malgré la visibilité quasi nulle. U ne fois sorti de la purée de poids, nous constatons qu’un navire de la Marine naviguait côte à côte du nôtre. Nous nous arrêtons et Jacques va à la rencontre du commandant de vaisseau de la Marine. Il négocie une escorte monnayant quelques barry’s. Après trois jours, les marines arrêtent leur protection rapprochée, ils doivent s’en aller car ils sont appelé sur une île où il y a du grabuge. Le capitaine nous explique qu’il reste encore deux jours de voyage. Contrairement aux premiers jours qui étaient plutôt mouvementés niveau météo, le temps devient stable et clair, nous approchons d’Alabasta, plus que quelques heures et c’est bon. L’explication sur le temps nous est donnée par Pocahontas: nous entrons dans la zone d’influence météorologique de l’île. Le climat restera donc normalement stable jusqu’à notre débarquement. "Terre en vue!!!" L e voyage touché à sa fin, sans encombres, nous débarquons sur la magnifique île.
Suite: Royaume d'Alabasta, sa magestueuse architecture.
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